Avis Les Bracelets rouges

Je viens de finir la saison 5 et cet ultime épisode est superbe. La saison comme toutes les autres saisons m'a fait rire, pleurer ... en fait c'est un ascenseur émotionnel. Quand une saison 4 avec une nouvelle génération est sortie j'étais très septique et elle a réussi à me faire "oublier " les premiers auteurs.

La série est émouvante. On s'attache au personnage. L'esprit de famille des bracelets rouge est adorable et touchant.
Je recommande.

C'est une Magnifique série pleine d'émotions ! Vraiment à voir. On s'attache très vite aux personnages et à l'histoire. Le seul point négatif c'est qu'il n'y a malheureusement eu que 5 saisons.

(Saison 5)

Qu'est-ce que j'aime cette série, vraiment ! C'est l'une de mes préférées ! Ça fait tellement du bien, ce genre de série ! Un gros coup de cœur !

Au départ je n'avais pas spécialement l'intention de regarder, mais je suis tombé par hasard sur l'épisode 4 de la quatrième saison lorsqu'elle était diffusée l'année dernière, et ça m'a plu très rapidement ! J'ai alors suivi la fin, et j'ai même regardé le dernier épisode deux fois !
J'étais super content de l'annonce d'une cinquième saison, mais déçu qu'il n'y ait pas tous les mêmes personnages (mais finalement il en manque peu).

Dans cette saison 5, je ne m'attendais pas à préférer finalement suivre les histoires d'autres personnages que ceux auxquels je m'attendais !
Je ne m'attendais pas non plus à autant m'attacher à Prudence (interprétée par Chaïli Souffir) ! D'une part parce que c'est un nouveau personnage et j'étais un peu réticent que l'intrigue suive moins ceux de la saison précédente, mais aussi parce qu'elle est vraiment casse-pieds. Mais c'est là que j'avais tort ; j'ai depuis longtemps un faible pour ce type de personnage. Prudence est rebelle, agaçante, ne ne se satisfait jamais de rien et passe son temps à râler, ne se laisse pas marcher sur les pieds, est têtue et sait ce qu'elle veut, mais à côté de ça elle a un bon fond. Ça m'amuse beaucoup et je craque toujours devant ce genre de comportement. Et là ça n'a pas loupé, d'autant que Prudence est tellement attachante, et Chaïli l'incarne à la perfection, elle joue hyper bien !! C'est aussi le cas de la plupart des autres acteurs bien sûr, mais elle c'est particulier.
J'aime beaucoup Prudence, elle m'a tellement touché, avec ce qu'elle ressent, ce qu'elle vit, ses pleurs, ses peurs... Je l'aime tellement ! Et Chaïli lui a si bien donné vie ! Elle est incroyable !
Qu'est-ce que j'ai aimé aussi sa relation avec Nathan (Noah Deric), ils s'entendent tellement bien !! J'envie cette relation !!

Dans cette saison il y a encore énormément de moments très touchants et émouvants, du rire, des larmes, de la tension, de l'amour et de l'amitié, c'est une série d'une extrême richesse ! Elle fait passer par toutes les émotions, et c'est ça que j'aime ! Et puis elle met en lumière des sujets extrêmement importants, traités avec justesse, tels que le deuil, la résilience, le courage, la famille, l'amitié, l'amour, les émotions, l'acceptation de soi et du regard des autres, les maladies invisibles et mentales, etc. Cette série est tellement incroyable, exceptionnelle, et pleine de positif finalement ! Elle donne de l'espoir, et fait ressortir tout ce qu'il y a de bon.

Mention spéciale à la bande originale qui est toujours aussi bien, c'est un plaisir à chaque fois d'entendre ces musiques et chansons. C'est un peu une safe place pour moi (comme cette série d'ailleurs). Les écouter est si agréable et apaisant !

J'ai juste été un peu agacé que les personnages répètent toutes les 30 secondes "T'es sérieux/sérieuse ?", c'était un peu barbant mais rien de bien méchant.

À la fin il reste quelques zones d'ombre dans l'intrigue, par exemple la plupart des relations avec les parents notamment, mais relativement peu et avec des suppositions on comble assez facilement les trous.

Tous les personnages sont extrêmement humains, et on finit par tous les aimer. Ils redonnent même foi en l'humain. De plus ils ont une évolution extraordinaire, leur intrigue est loin d'être vide ! César (Maxime Pipet) travaille beaucoup sur lui-même, Prudence apprend à être plus patiente et ouverte aux autres, Zoé (Esther Blanc) comprend qui elle est et ce qu'elle veut, Emma (Kali Boisson) va enfin de l'avant et décide d'aimer la vie, etc. Une leçon de vie !
Bref, c'était tellement bien de tous les retrouver !!

Zoé m'a toujours autant plu, elle est si attachante et touchante !! Et avec sa voix, sa façon de parler, elle est trop drôle, je l'aime tellement ! J'aime tellement aussi sa relation avec César, c'est si mignon, et ses réactions par rapport à ça... Et aussi sa relation avec son frère Darius (Michaël Gregorio), ils sont vraiment proches et leur amour se ressent bien !
Et en plus elle a de petites particularités qui me rappellent moi parfois !
Je comprends totalement pourquoi elle était mon personnage préféré dans la saison 4 ! Maintenant elle se dispute la place avec Prudence, ah ah.
(Et une petite anecdote, j'aime beaucoup sa façon de dire "OK" !)

L'amitié entre César et Nathan m'a beaucoup touché, ils se tirent vers le haut et sont de vrais lumières l'un pour l'autre ! Ils se donnent toujours de la force ! C'était un plaisir à voir, ce sont deux bons gars et deux personnages que j'aime beaucoup.

Tout comme pour dans la saison 4, j'ai bien aimé la romance entre Darius et Joyce (Blandine Bellavoir), bien que pour le début de cette saison, j'ai trouvé que ça ressemblait assez à un reboot de leur histoire.
J'ai toujours bien aimé Darius d'ailleurs, c'est un personnage un peu particulier mais ses petits défauts ajoutent à son charme, et il fait toujours de son mieux.

J'ai par contre eu un peu de mal avec ce que subit Emma. Ça n'a rien à voir avec elle, j'aime beaucoup ce personnage ! Je l'ai tellement aimée dans la saison 4 d'ailleurs ! Mais tout ce qu'elle vit dans cette nouvelle intrigue a été assez compliqué à voir pour moi. J'ai souvent été mal avec ses passages.

Je suis triste d'avoir terminé cette série évidemment (en plus 6 épisodes, c'est trop COURT !!!), et de devoir quitter ces personnages et ces acteurs que j'ai tant aimés ! J'espère retrouver certains acteurs dans d'autres œuvres très vite, d'autant que plusieurs d'entre eux ont beaucoup de potentiel ! Et je suis certain que je prendrai énormément de plaisir à revoir ces épisodes !
J'ose espérer qu'il y aura quand même une nouvelle saison un jour, même si ce n'est pas pour tout de suite. Et pour me consoler il y a toujours les 3 premières saisons que je n'ai pas vues, même si hélas elles ne sont pas avec les mêmes personnages principaux ! Mais ce sera certainement tout aussi bien !

Superbe série. Dans la lignée de Patients. Les acteurs sont très bons. Une seule envie vite connaître la suite

Cette mini saison, nous montre avec humilité, et sourire (savoir garder le moral, positivé quoi qu'il advienne), la vie de 6 adolescents face à leur maladie, ou coma (pour Côm). Le casting est relativement bien choisi, avec un Michaël Youn abordant un personnage bien différent de ceux que l’on a connu dans ses différents films. Cristiana Réali , dans le rôle de la mère de Clément, est touchante. Quant au Docteur Catalan, interprété par Lionel Abelanski, il m’a beaucoup plu (il sait être bien plus qu'un médecin). Cela nous porte à avoir un regard et un état d’esprit bien différent. Je dirais, que notre perspective d’esprit bien souvent étriquée, étroite se voit prendre un tout nouvel angle de vu. Espérons qu’il y aura une suite, celle-ci m’a touchée par sa singularité, et nous montre le personnel soignant dans la vie de tous les jours aux urgences. Il y a des hauts, des bas que ce soit face aux patients, comme pour les malades à vaincre leur maladie. Tous ont les mots, et accompagnent au maximum les familles et leurs patients. spoiler: La fin est triste, mais dans la vie, ça ne se passe pas toujours avec des rémissions, puis des guérisons mais il y a aussi des décès. Malgré les progrès de la médecine, il existe hélas des cas ou les médecins restent impuissants.
Et tout ceci est bien démontré dans cette série riche en émotion.

Le jeu des acteurs et magique, il donne envie de voir la suite.
Tout à la fois, sensible, de l'humour, quelques leçons de "Savoir vivre" cette série est prometteuse.
Et malgré l'heure tardive de fin (en principale cause la Pub :( ) il me tarde la semaine prochaine....

Adaptation française (après entre autres celles des allemands, italiens et américains) de la série espagnole du même nom, "Les bracelets rouges" est la nouvelle série phare de TF1. J’ignore ce que vaut la version ibérique (l'originale), mais nous tenons là une bonne série française, loin, très loin des séries policières américaines qui ont envahi notre petit écran. Cependant on pourrait se dire « encore une série hospitalière », mais le fait est que c’est assez éloigné de "Urgences" ou de "Grey’s anatomy". Le fait est qu’en France, on sait parler du handicap et/ou de la maladie. La démonstration a été donnée à maintes reprises par l’intermédiaire de "De toutes nos forces", "Intouchables" et plus récemment "Patients". Il est clair que "Les bracelets rouges" fait penser fortement à "Patients". On pourrait même mettre les deux œuvres l’une à côté de l’autre, de la même façon que les services se côtoient en voisinage immédiat au sein d’un établissement hospitalier. Le rapprochement entre les deux œuvres est possible grâce à l’immersion au sein d’un service bien spécifique, avec un point de vue donné principalement depuis les patients, sans oublier celui des familles. C’est ainsi que le service des enfants du centre hospitalier d’Arcachon ouvre ses portes aux spectateurs pour suivre les nouveaux pensionnaires venus affronter leur épreuve. Leur pathologie n’étant pas la moindre, ils sont là pour un certain temps et ne tardent pas à s’accommoder tant bien que mal de ce nouvel environnement. Mais les « anciens » sont là et les aident à se faire à leur nouveau cadre, trop heureux de voir de nouvelles têtes, qui plus est de leur âge. Et avec le concours du personnel, ce lieu peu attractif va se transformer peu à peu en école de vie. Autant pour les jeunes patients que pour les parents. L’accent est mis sur les jeunes : Clément (Tom Rivoire) déborde de joie de vivre et parle comme un moulin à paroles ; Roxane (Louna Espinosa) est effacée et introvertie ; Sarah (Esther Valding) est une vraie peste remplie de colère qu’elle manifeste par un manque total de respect au prix de sarcasmes particulièrement choquants ; Medhi (Azize Diabate Abdoulaye) est un insouciant qui n’accepte aucune forme d’autorité ; et puis Thomas (Audran Cattin) est quelqu’un de plus posé mais qui a du mal à accepter sa nouvelle condition, il est vrai peu aidé par les esquives éhontées de son père. Que des caractères différents. Très différents. Malgré cela, ils vont former le club des bracelets rouges, sorte de confrérie dans laquelle on se promet soutien solidarité. Une fraternisation haute en couleurs du fait des différences de caractère. Si Medhi fait rire le spectateur à vouloir casser la gueule à tout le monde alors qu’il est pour ainsi dire plâtré de la tête aux pieds, Sarah l’énerve au plus haut point par son comportement aussi irrévérencieux que dédaigneux. Et encore, les qualificatifs sont faibles, parce que franchement… il y a des baffes qui se perdent !!! Elle a de la chance d’être de l’autre côté de l’écran, parce que je vous assure que ça vous chatouille tellement que l’envie vous démange de lui en décalquer une. Donc oui, l’interprétation de ces jeunes acteurs est juste, jusque dans les classiques maladresses d’adolescents. Ma mention spéciale ira quand même vers Esther Valding, parce que pousser le spectateur dans cette rage noire provoquée par le fait qu'elle envoie valdinguer (sans jeu de mots bien sûr) tout le monde les uns après les autres tout simplement parce qu’il n’y a que son intérêt qui compte, est en soi une performance, et c’est peut-être le rôle le plus difficile à jouer. Quoiqu’il en soit, elle est très convaincante, comme si c’était sa seconde nature. Un peu comme Azize Diabate Abdoulaye, tellement à l’aise qu’on pourrait croire que c’est véritablement son comportement au quotidien. Bon, j’espère pour lui que ce n’est pas le cas, hein. Mais réduire le casting à ces jeunes acteurs serait réducteur. Les adultes y vont eux aussi de leur talent. Je pense bien évidemment au personnel, absolument génial : le très attentionné kiné Victor (Vincent Deniard), l’infirmier roublard qu’est Lucien (Diouc Koma) dont on appréciera la façon dont il mate Sarah, sans oublier le médecin Catalan, interprété par Lionel Abelanski à qui le rôle va à merveille. Je pense aussi aux parents des enfants malades avec en tête de liste Gilbert, interprété par un Michaël Youn résolument touchant dans la peau de ce père qui lui va si bien. Parmi les personnages les plus attachants, Gilbert est suivi de près par Nathalie (Cécile Rebboah), la mère de Côme entièrement dévouée. Il y en a d’autres qui sont attachants, bien sûr, mais ils sont un peu moins marquants, tels que Patrick le papa de Clément (Guy Lecluyse) qui nous offre cependant une très bonne séquence de beuverie. A l’inverse, certains personnages, à défaut d’être attachants, marquent aussi les esprits. Le plus emblématique est Yves, interprété par un Pascal Elbé excellent dans le rôle du père de Thomas qui ne parvient pas à assumer le nouvel état de son fiston au point d’en faire un pauvre type. Et je ne parle même pas de l'entrée en scène percutante de Romain (Mathieu Madenian, visiblement très amusé par son rôle de tombeur). Je crois qu’on peut dire que nous avons là une radiographie à peu près complète de la société française. Au gré des événements, les mentalités évoluent et c’est en cela que l’hôpital n’est pas seulement un hôpital, mais aussi une école de la vie. Une constatation illustrée par la définition même de la vie au cours du dernier épisode de cette première saison. La réalisation est bonne. Elle ne s’enfonce pas dans le pathos, piège pourtant facile dans ce genre de sujet. Les moments graves n’ont pas été pour autant évités, mais il règne une atmosphère de bonne humeur et elle est si communicative qu’elle prend le dessus. Si la façon d’aborder le thème est très bon, la mise en œuvre laisse quand même à désirer : on circule librement dans cet établissement à n’importe quelle heure de la journée et de la nuit (héliport, salle de réveil, salle de rééducation…), on y organise des soirées quand on veut, les couloirs sont souvent déserts de blouses blanches. Nous savons bien que les hôpitaux manquent de plus en plus de personnel, mais à ce point… Cela dit, si c’est une façon de dénoncer cette intolérable situation, alors pourquoi pas ? Il n’empêche qu’au cours de ces six épisodes, nous accompagnons avec beaucoup de compassion et de plaisir ces jeunes frappés par une terrible épreuve, ainsi que les familles qui les soutiennent tant bien que mal de près ou de loin, ces mêmes adultes qui doivent composer avec leurs obligations professionnelles et leurs aptitudes psychologiques. "Les bracelets rouges" est donc une très bonne série française certes perfectible dans sa mise en œuvre, mais qui n’a pas à rougir de la comparaison avec "Patients".

Cette série mise à part le faîte qu'elle est malheureuse regardez là ! Pour les gens qui critiquent sur ces personnes là vous allez comprendre que c'est très dur pour eux en tout cas je vous conseille fortement la série !

Magnifique série. Acteurs convaincants, ambiance « patients »
Ça nous change des séries policières !

Une série remplie d’émotions, pleine d'espoir et surtout sans pathos sur le quotidien de parents et d'enfants adolescents en milieu hospitalier.

C'est excellent films qui m'as touché personnellement car il ma fait rappeler mes épisodes à l’hôpital qui est douloureux aussi bien pour moi que pour ma famille et mon entour

TRÈS BONNE SÉRIE rien que l'épisode 1 m'as satisfait
Il y a une histoire palpitante et qui donne envie contrairement à d'autres SÉRIE française
TF1 à réussi à faire mieux que UNE CHANCE DE TROP
À VOIR ET REVOIR

J’ai vu tous les épisodes de la saison 1 en replay, quasi en 3 soirs, idem pour la saison 2.
Les acteurs jouent vraiment bien. On s’attachent tellement aux personnages.
Puis la fin de la saison 2... bouleversante !
Bravo pour la réalisation de cette série et dans le choix des acteurs !

Aïe. Enfin, « aïe »... C'est surtout la seconde moitié de saison qui m'amène à ce constat. Car jusque-là, effet de surprise excepté, l'ensemble gardait une bonne tenue, le plaisir de retrouver ces personnages, le scénario prenant soin de les placer dans des situations un minimum différentes, les enjeux ayant logiquement évolué. On reste ainsi dans une continuité sans éviter la redite, l'arrivée de Louise, dont l'humour à froid tranche joliment avec la grave maladie, apporte un vent de fraîcheur bienvenu, la présence des adultes m'ayant même paru plus équilibré, apportant un vrai plus dans la relation avec leurs enfants. Le ton est ainsi souvent juste : ni trop, ni trop peu. Du moins, c'est ce que j'ai ressenti durant les quatre premiers épisodes car après, cela se gâte sans que l'on comprenne bien pourquoi. J'imagine une grosse panne d'inspiration quant à l'intrigue et les nouvelles directions à lui donner, mais on a presque l'impression que la série s'est arrêtée. Ça devient banal, les personnages manquent de saveur spoiler: (Louise en tête)
, on trouve vraiment au forceps des rebondissements pour donner l'illusion d'une avancée : peine perdue ou presque. Presque parce qu'il y a toujours un bon moment, qu'on s'est attaché à ces adolescents, que le récit retrouve une certaine gravité lui allant plutôt bien. J'écris bien « retrouve », car c'est clairement le vrai problème de cette fin de saison : alors que la série avait toujours pris soin de rester assez réaliste, avec un minimum de distance, cette dernière n'est alors plus du tout présente, préférant nous asperger de bons sentiments et de platitudes (même la voix-off perd de son intérêt) : presque tout le monde est heureux dans un monde idéal (j'exagère un peu mais à peine), les dernières secondes (même si évidemment pensées pour attirer le spectateur à l'avenir) apparaissant on ne peut plus logique. Maintenant, cela reste plutôt agréable, et je ne suis pas contre l'idée de jeter un œil à la future saison. Pour autant, « Les Bracelets rouges » semble déjà atteindre ses limites dans ce qu'il avait à raconter : j'espère me tromper mais si cela se confirme, je serais nettement moins indulgent la prochaine fois.