Avis The Office (US)

J'écris cette critique dans l'émotion ressentie du final de la série que je viens de terminer à l'instant. Un pure chef d'oeuvre à mon sens, et ces cinq étoiles ne sont pas suffisantes, loin de là ! Toute l'équipe qui est à la base de ce projet (Ricky Gervais pour la version originale, Greg Daniels pour l'adaptation, les scénaristes, les acteurs...) à fourni un travail remarquable d'originalité. Pour commencer, Le concept même de la série est des plus intéressants; une sorte de faux documentaire sur une base humoristique qui relate la vie des employés d'une entreprise de papier "Dunder Mifflin". Ce concept de documentaire offre donc à la réalisation de la série une manière de procéder qui elle même en devient attachante : Les débuts de chaque épisodes par des situations comiques (et même très souvent burlesques) toutes plus tordantes les unes que les autres, les jeux de regards avec la caméra de Jim Halpert, la manie de Michael Scott à toujours vouloir être le centre de l'attention, les entretiens en tête à tête avec les personnages sur le mode de la confession concernant un fait marquant d'un épisode... Tant de choses qui font qu'on se laisse inconsciemment séduire par cette petite compagnie qui en réalité est comme une sorte de grande famille. Bien qu'il doit y avoir au moins une vingtaine de personnages "principaux importants" ayant chacun un caractère bien spécifique, aucun n'est négligé, ils évoluent tous au fil des saisons et je pense que c'est ce qui fait la force de la série. Même les personnages ayant intervenus au cours de la série (Erin, Clark, Plop Robert California, Nellie...) ont tout de suite su s’immerger dans la trame en apportant quelque chose de nouveau. En évitant de faire un topo trop long sur les personnages (que j'affectionne tous je crois), je vais quand même dire que Steve Carrell est un acteur remarquable et qu'il signe dans The Office l'une des plus grandes performances humoristiques jamais donnée dans une série du genre, ce personnage de Michael Scott doit être tellement difficile à jouer (être agaçant voire exécrable tout en étant drôle et attachant) qu'il à de loin mérité son prix aux Golden Globes. Franchement on ne s'ennuie jamais, aucun épisode n'est barbant, les scénaristes ont su jouer habilement avec la temporalité des événements tout en proposant de nouvelles choses à chaque nouvel épisode. Il y a tellement de répliques cultes dans The Office qu'on pourrait créer un dico spécialement dédié. Et Dieu merci !!!! Il n'y a pas les faux rires (Friends, HIMYM) à chaque vanne, ce qui donne une réelle puissance comique puisqu'on vous laisse le droit de rire sans vous y forcer !! Cette série crée en vous le paradoxal sentiment qui vous donne envie de voir la suite au plus vite tout en regrettant le jour ou vous ne pourrez plus en avoir d'avantage puisque vous aurez fini la série. Et j'en suis arrivé à ce jour à l'instant, mais c'est avec grande joie et pleins de souvenirs notables que finalement je quitte cette histoire de société de vendeurs de papier qui aura enchantée bon nombre de mes soirées. A REGARDER SANS ATTENDRE SI CE N'EST PAS DEJA FAIT (et même si ça l'est déjà d'ailleurs). PARKOUR !!!

The Office est une série exceptionnelle pour de multiples raisons. Premièrement le format aux alentours de 20 minutes fait mouche, ni trop peu ni trop. Au premier regard, on se demande de quoi traite cette série. Elle semble décousue, sans queue ni tête et ensuite ça se confirme, c'est du n'importe quoi. Ca part dans tout les sens et les personnages sont dans la surenchère permanente sans en faire des tonnes ce qui renforce encore le divertissement. Au tour du contenu, la vie des employés d'une succursale de Dunder Miflin, entreprise new-yorkaise qui vend du papier. Sur papier justement, pas de quoi arracher un sourire mais rapidement on apprécie tout ce petit monde à commencer par le boss Mickael Scott, hilarant (Steve Carrell dont on perçoit toute la dimension humoristique assez méconnue chez nous), sorte de papa poule raté passant son temps à divertir son personnel. Gravite ensuite autour du personnage le plus atypique, Dwight (sorte de Monsieur je sais tout, "l'aliénation" en plus..), une pléiade de personnalités toutes plus déjantées les unes que les autres. The Office pourrait être une expérience humaine, une immersion d'un groupe d'individus dans un environnement clos. Nous en serions les professeurs prêts à étudier les comportements de ces cobayes. Rapidement, hilares, nous déciderions de les laisser sortir pour que le monde puisse en apprécier chaque seconde.. Donc, profitez-en bien (et sans modération) !

9 ans à suivre le quotidien d'employés de bureau d'une société de vente de papier à Scranton, Pennsylvanie.
9 saisons à assister à leurs réussites, leurs échecs, leurs amours, leurs désillusions, leurs amitiés, leurs prises de têtes, leurs délires, et finalement leurs adieux.
Hilarant, touchant, humain.

Pas besoin d'en débattre longtemps : ce "The Office (US)" fait définitivement partie du top des meilleures séries américaines.

"Il y a beaucoup de beauté dans les choses ordinaires."
Et comme le dirait si bien Michael Scott : "That's what she said."

À (re)visionner sans aucune modération !

L'humour est assez spécifique mais bon dieu qj'est-ce qu'on rigole de ce bureau loufoque et atypique ! Tous les personnages ont des défauts et des qualités ce qui les rendent plus humains, plus attrayant et plus vrais ! Ils permettent aussi de faire une incroyable évolution des personnages au fil des saisons et ainsi rendre cette série intéressante

« The office » est une sitcom sortie en 2005 aux USA. Elle met en scène des employés de bureau accompagnés de leur responsable qui leurs en fait voir de toutes les couleurs. Ce n’est pas le genre de série vers lequel je me tourne habituellement, mais à force d’avoir de bons retours, je me suis enfin lancé début 2020 (mieux vaut tard que jamais). Quelle belle surprise ! Rares sont les séries à me faire autant rire ! Le dosage de l’humour entre les scènes comiques et les situations gênantes est un délice. Steve Carell incarne à la perfection ce manager complètement déjanté. Les thèmes abordés sont encore d’actualité en 2020 (journée pour la diversité, discriminations, bien-être des salariés etc..). J’ai hâte d’en découvrir davantage après cette courte première saison de 6 épisodes.

Si j'avais dû faire ma critique après avoir vu 2 ou 3 saisons du Bureau ("The office", donc "Le bureau"), j'aurais sans doute mis deux étoiles sur cinq. Pour tout vous dire, c'est d'ailleurs ce que j'ai fait dans un premier temps, persuadé qu'après avoir vu deux ou trois saisons qui m'avaient paru bien longues, rien ne pourrait sauver cette série.

Cependant, mon avis a changé. Et, avant de vous expliquer pourquoi, voilà ce que j'avais écrit :
"Allociné a oublié de mentionner Steve Carell parmi les premiers au casting. logique : après tout, il n'est que le personnage central de la série...
C'est d'ailleurs lui qui fait que j'ai très moyennement apprécié "Le bureau". Je l'ai regardé pour faire plaisir à quelqu'un, mais Michael, incarné par Steve Carell, m'a tapé sur le système. Cela aurait pu passer si c'était un des employés, qu'on verrait un peu moins que les autres, mais là, vu que c'est lui qu'on suit quasiment tout le temps, ça ne peut que nuire à l'ensemble. Son personnage est en quasi permanence à la limite du supportable, voire franchement insupportable. Il fait peine à voir et j'ai souvent eu honte pour l'acteur, fréquemment ridicule.
L'ensemble n'a rien d'exceptionnel, à part quelques personnages à peu près sympathiques. Quant à l'essentiel, l'humour, je n'ai pas assez accroché, la raison étant, comme je l'ai dit précédemment, les bides permanents réalisés par le responsable du bureau.".

Tel était mon premier ressenti. Un peu plus de trois mois plus tard, j'ai fini la série, et mon avis n'est plus le même. Au-delà d'une fin qu'on pourrait pratiquement qualifier de rêvée (sauf pour son ultime message, qui se veut être un beau conseil, certes en partie vrai, mais trop exagéré, un peu irréaliste voire utopique), comme j'en ai rarement vu, c'est l'évolution des personnages, certes progressive mais bien là, qui fait qu'on se met à aimer The office. Des couples se forment, certains durent, d'autres non, certains employés prennent du galon, certaines promotions ne durent pas, certains quittent la boîte, certains reviennent...
Je peux d'ailleurs vous annoncer sans spoiler, puisque c'est un fait connu de par sa disparition du casting, que Steve Carell, alias Michael Scott, quitte la série à la fin de la saison 7. Lui-même a un peu changé entre le début de la série et son départ, et, même si je garderait toujours en moi l'image d'un personnage surfant toujours sur l'affligeant et le pathétique, je reconnais qu'il m'a parfois manqué par la suite. Il faut dire que c'était tout de même un sacré numéro, et le (presque) calme qui suit son départ donne (presque) l'impression d'un silence assourdissant, comme lorsqu'on quitte un endroit très bruyant et qu'on se retrouve dans un endroit très calme.
La série, en bonne partie grâce aux personnages principaux que sont Jim, Pam et Dwight (qui sont déjà importants durant les 7 premières saisons avec Michael, et qui le sont encore plus après), réussit toujours à donner de l'intérêt à ce qu'on la regarde, abordant un certain nombre de sujets, et le tout sur la simple base d'un bureau de vendeurs de papier.
Pour vous dire, les personnages qui ont le plus évolué sont Pam, Jim, Dwight, Andy, Angela, et dans une moindre mesure, Ryan, Darryl et Michael. Celui-ci reviendra d'ailleurs dans le dernier épisode, comme un clin d’œil, bien que quasi muet. On y retrouve également Kelly et Ryan, qui bénéficient de la seule fin heureuse quelque peu douteuse (en raison du sort d'un bébé, je ne vous en dirai pas plus... et d'ailleurs, la série pas vraiment non plus).

Ainsi, je ne saurais que trop vous conseiller de résister à l'envie d'abandonner son visionnage en cours de route, si cela vous tentait comme moi. En ce qui me concerne, j'ai poursuivi parce que je finis toujours les films et les séries que je commence - sauf exceptions aussi rares que les éclipses -, mais, après avoir vu ses 9 saisons, je pense qu'elle vaut le coup d'être regardé en intégralité.

Et voilà, j'ai signé ma plus grosse critique de série. Sans doute ne sera-t-elle jamais lue, mais ce n'est pas grave. J'espère avoir correctement expliqué et justifié pourquoi j'ai changé d'avis. Elle prouve qu'à moins de vraiment détester les premiers moments ou le premier épisode d'une série, cela peut valoir le coup de continuer de la regarder...

Tout simplement l'une des meilleures séries comiques de tous les temps. Les personnages y sont drôles et attachants. Les situations, toujours bien trouvées, ne sont pas sans rappeler nos déboires quotidiennes au travail, puissance 1000! Les saisons se valent toutes, le turn over des personnages, s'il peut rebuter de prime abord, s'avère en fait salvateur pour apporter toujours un vent de fraîcheur, tout en conservant un noyau dur dont on a bien du mal à se passer. J'ai pleuré de rire à de nombreuses reprises, j'ai aussi versé de chaudes larmes parce qu'on s'y attache à cette équipe, un peu comme si on travaillait avec eux au quotidien. C'est sincèrement réussi et c'est avec un pincement au coeur que l'on visionne le dernier épisode. Si vous doutez lors de la première saison "pilote" qui peut paraître spéciale, continuez l'aventure, ça vaut assurément le coup!

Terminer The Office c’est dire au revoir à des collègues devenus des proches au fil des saisons, c’est embrasser une dernière fois des amis parfois éreintants et toujours touchants. C’est l’une des grandes qualités du dispositif de la série, sa forme documentaire distille du réel dans les personnages qui n’en deviennent que plus attachants, on adorerait travailler pour Dunder Mifflin avec eux. On aimerait rire avec Pam, pièger Dwitch avec Jim, manger des gâteaux avec Kevin, parler le dothraki avec Erin, faire des mots croisés avec Stanley, des quizz avec Oscar, boire avec Meredith, fumer avec Creed, avoir Michael comme patron et Toby comme ami...non pas Toby. En dehors de sa qualité d’écriture évidente, le scénario ne laisse aucun employé sur le bord de la route de Scranton et le casting atteint la perfection. Avec un Steve Carell au sommet, génie comique capable de provoquer rires puis larmes en une fraction de seconde, quand il quitte la série, celle-ci perd une partie de son âme, Will Ferrell puis Ed Helms n’arrivant jamais à nous le faire oublier totalement. Bien sûr certaines saisons sont mieux que d’autres, la 8e est même piteuse, le contre-coup du départ de Michael Scott sans doute, certains épisodes sont des petits chefs-d’œuvre, d’autres anecdotiques mais le final est très réussi, sobre, élégant et bouleversant. The Office restera pour moi le grand sitcom des années 2000, une célébration amusante et émouvante de la vie de bureau, de l'amitié, du temps qui passe et de la beauté de l'Ordinaire.

Dès ses premiers balbutiements dans la saison 1, "The Office" a captivé et intrigué avec son format novateur de faux documentaire. Même si cette première saison n'a pas atteint les sommets espérés, elle a jeté les bases d'une aventure télévisuelle inégalée. Ce qui suit est une apothéose de comédie, de drame et de moments humains sincères qui ont solidifié cette série comme un monument de la culture populaire.

Évolution et Maturité des Personnages

La série s'est rapidement distinguée par sa capacité à évoluer et à se réinventer. La deuxième saison marque un tournant décisif, transformant l'humeur mitigée de la première en un chef-d'œuvre de comédie. Michael Scott, interprété par l'incroyable Steve Carell, devient un personnage à la fois hilarant et profondément touchant. Son désir désespéré d'être aimé et ses tentatives maladroites pour y parvenir créent un équilibre parfait entre rires et moments de réflexion.

Chaque personnage secondaire, de Dwight Schrute à Pam Beesly, est développé avec une attention minutieuse, ajoutant des couches de complexité à leurs personnalités. Les relations entre Jim et Pam, Dwight et Angela, ainsi que la dynamique chaotique mais touchante de la branche de Scranton, sont dépeintes avec une authenticité rare.

Période d'Âge d'Or

La période de la saison 2 à la saison 7 est souvent considérée comme l'âge d'or de "The Office". Les scénaristes ont su capturer l'essence du quotidien de bureau avec une précision et une perspicacité extraordinaires. Les intrigues, bien que souvent absurdes, restent ancrées dans une réalité relatable, permettant aux spectateurs de se voir dans ces personnages excentriques mais profondément humains.

La série excelle dans l'art de la comédie de situation et du malaise. Les cold opens, particulièrement ceux de Dwight, sont devenus emblématiques, offrant des moments de pure hilarité qui résonnent longtemps après le visionnage. La "Dinner Party" de la saison 4 reste un épisode légendaire, une masterclass de comédie inconfortable qui met en lumière les talents d'acteurs et de scénaristes.

Départ de Steve Carell et Renouveau

Le départ de Steve Carell à la fin de la saison 7 a posé un défi énorme pour les créateurs. Cependant, la série a su se réinventer, en mettant davantage l'accent sur ses personnages secondaires. La huitième saison a certes connu des critiques plus sévères, mais elle a également permis à des personnages comme Andy Bernard de briller, malgré une réception mitigée.

La neuvième et dernière saison offre une conclusion satisfaisante et émouvante, bouclant la boucle de manière élégante. Les retrouvailles et les évolutions des personnages sont traitées avec un respect et une tendresse palpables, culminant dans un final qui célèbre à la fois les succès et les échecs de la vie de bureau.

Impact Culturel et Héritage

"The Office" n'est pas seulement une série télévisée ; c'est un phénomène culturel. Elle a généré une multitude de mèmes, de citations et de moments mémorables qui continuent de vivre grâce aux plateformes de streaming. La série a touché une corde sensible chez de nombreux téléspectateurs, offrant une forme de catharsis à travers ses représentations honnêtes et hilarantes des hauts et des bas du travail en bureau.

En fin de compte, "The Office" est une exploration brillante et profondément humaine des relations et des interactions qui façonnent notre quotidien. Sa capacité à équilibrer humour et émotion, ridicule et réalisme, en fait une série véritablement intemporelle.

Que ce soit pour ses moments de pure comédie, ses arcs narratifs poignants ou son impact durable sur la culture populaire, "The Office" demeure un incontournable, une série qui, saison après saison, a prouvé qu'elle était bien plus qu'une simple comédie de bureau. C'est une célébration de l'humanité dans toute sa complexité, et pour cela, elle mérite les plus grands éloges.

Des personnages trop caricaturés , de la lourdeur du début à la fin de chaque episode, esprit malaisant, etc... Rien de drôle car à force de trop faire le focus sur le personnage principal, on est vite en overdose de manager lourdingue et antipathique. Une série à fuire.

Rarement été aussi déçu par une série. J'avais lu tellement de bonnes critiques que je l'ai démarré avec un énorme enthousiasme. Bilan, après 3 saisons, aucune sourire devant. Les blagues sont lourdes et le jeu d'acteur est très moyen. D'après les avis, il semblerait que la série monte en puissance crescendo mais plus de 40 épisodes pour se lancer, c'est un peu trop pour moi.

The Office est une sitcom des années 2000 qui s’étale sur 9 saisons. Une série qui cherche le rire par le malaise, un pari très risqué qui va pourtant connaître son heure de gloire.
Après une première saison mitigée et peu intéressante, la série va prendre un tournant avec la saison 2 qui est de loin la meilleure saison. Grâce à des gages hilarants et des personnages avec de fortes personnalités, The Office deviendra culte.
La réussite de cette série est liée aux personnages tels que Dwight, Pam, Jim et le personnage principal Michael Scott. A partir de la saison 7 voire mi-saison 6 la série finira par se perdre et surtout à cause du départ de Steve Carell (Michael Scott) qui finira par enterrer la série pour ces deux dernières saisons.
Une série à voir et revoir pour ses saisons 2 à 6. La série aura aussi eu le mérite de faire connaître de grands acteurs notamment, Steve Carell et John Krasinski.

L'une des plus belles scènes de The office est qui aurait presque pu se terminer là dessus est la scène du mariage entre spoiler: Jim et Pam
. C'est l'une des scènes les plus réconfortantes et émouvantes de la série, après plusieurs saison de galère pour ce couple, ils réussissent enfin à se trouver. Cette histoire d'amour au sein du bureau a commencé depuis le début de la série, cette histoire est indissociable de la série et peut presque la conclure. Et aussi, quoi que l'on pense de Michael, il n'a toujours voulu qu'une seule chose avoir une famille, et dans cette scène cette famille est existe enfin. La musique Foverer de Chris Brown est vraiment parfaite pour cette scène, juste magique.

Une excellente série marrante avec Steve Carell hilarant dans son rôle d'employé de bureau dans une entreprise américaine.

Cette série est géniale, les personnages sont hilarants et le scènes toujours drôles, efficaces de réalisme. Humour décalé et sarcastique, j'adore.

Une Véritable Pépite. Ricky Gervais & Stephen Merchant révolutionne avec panache l'univers télévisuel a travers cette Sitcom Documentaire Satirique et Hilarant dont on ressort totalement satisfait après visionnage. Pour Commencer la Réalisation est Immersif de bout en bout en étant filmée caméra a l'épaule qui permet d'y apporter un coté documentaire particulièrement audacieux tout en nous plongeant dans une ambiance Décaler et Optimiste qui est accompagné d'une BO appréciable de Jay Ferguson qui apporte un supplément a la série. Ensuite le Scénario est Passionnant et Ludique du début a la fin de chaque épisode tout en suivant le quotidien agité d'une entreprise de papier tenu par un Directeur survolté et de ses employés de bureau hauts en couleurs qui arrive avec brio a nous faire passer du rire aux larmes dont la série parvient au passage a aborder avec Finesse des Thématiques comme le Monde du Travail,la Solidarité,l'Amitié,l'Amour,l'Ambition,le Racisme,le Féministe et plein d'autre sujets phares qui sont parfaitement mis en avant a travers son Rythme endiablé pendant 9 saisons, Ajouter a cela une multitude de Séquences devenues Mythiques grâce notamment a son Humour Pertinent et Grinçant qui regorge de Répliques savoureusement écrites en passant par des Quiproquos et des Situations Improbables qui nous provoque d'innombrables fous rires sans oublier quelques notes de Tendresse, de Romance et d'Emotion qui vient nous attendrir le cœur a travers quelques scènes intimistes trés émouvantes. Pour Finir le Casting est Magistral avec sa galerie de Personnages Pittoresques et Attachants dont on retrouve en haut de l'affiche l'incontournable Steve Carrell qui tient ici l'un des ces roles les plus marquants de sa carriére d'acteur en campant le role iconique de Michael Scott un Directeur Régional Cynique,Enfantin,Gaffeur,Solitaire et Humaniste qui connait une évolution incroyable au fil de l'avancement de la série dont l'acteur est totalement au sommet de son art a travers ce personnage Complexe et Attachant qui rentre au panthéon des Personnages marquants de la télévision, Autour de notre Directeur hors pair on retrouve a ses cotés des Seconds Roles en Or Massif qui arrive a tenir la dragée a notre protagoniste principal tout en révélant au grand public d'immenses talents tels que l'épatant John Krasinski qui campe le role de Jim Halpert un commercial Loyal, Farceur et Attentionnée en passant par l'inoubliable Rainn Wilson qui absolument grandiose dans la peau de Dwight Schrute un adjoint et vendeur Autoritaire,Ambitieux,Ignorant et Tenace sans oublier l'excellente Jenna Fischer qui est fabuleuse dans la peau de Pam Beesly une Réceptionniste Touchante, Timide et Mélancolique dont la relation ambiguë entre elle et Jim rentre au panthéon des plus beaux couples de la télévision et en prime le reste de la Distribution qui est au Diapason en étant composer de BJ Novak,Leslie David Baker,
Phyllis Smith,Ed Helms,Craig Robinson,Mindy Kaling,Ellie Kemper,James Spader et beaucoup d'autres qui viennent enrichir cette Distribution de haut niveau. En Conclusion, The Office est assurément un monument Indispensable dans l'histoire de la Télévision out en ayant rien a envier a la version anglaise tout en marquant un tournant majeur dans l'univers des Sitcoms qui confirme l'audace et la folie inégalable des créateurs Ricky Gervais & Stephen Merchant qui livre ici une Comédie a la fois Brillant,Irrévencieux,Caustique,Touchant et Loufoque qui rentre instantanément au Panthéon des Chefs D'Œuvres Incontournables de la Télévision des Années 2010 qui possède en prime une Conclusion Parfaite qui ravira les amateurs de Sitcoms qui passeront un formidable moment télévisuel en compagnie des employés de Dunder Mifflin.