J'ai du mal à comprendre pourquoi cette série est si bien notée. La série est à l'image du personnage principal: lente, creuse, lourde, atone, ennuyeuse. En plus, cette légume nous étale à longueur d'épisodes ses pensées/commentaires à deux balles, sa pseudo philosophie de la vie de sa vie d'huitre. Quelques scènes cocasses, un personnage du chef d'équipe assez réussi (ouf...), et un ensemble assez efficace pour se détendre et s'endormir devant la télé avant de rouvrir un oeil pour se trainer jusqu'à son lit. 1.5/4
"Dead Like Me" est une série extrêmement sympathique. Cependant l'idée de base (les faucheurs d'âme), bien qu'intéressante, est très vite répétitive et la série devient d'ailleurs plus un drama familiale qu'une série fantastique.
« Dead Like Me : Life After Death » : 5 années sont passées depuis que la lunette des WC de la station Mir a percuté Georgie Lass et a fait d’elle une Faucheuse. On la retrouve dans ce « direct-to-dvd » avec presque tous les personnages de cette série. Les fans qui attendait la concrétisation de ce projet vont être déçu.
Les Faucheurs rempilent sous la tutelle d’un nouveau superviseur. Exit Reuben, son côté « vieux jeu » et sa morale désuète que tous vont regretter. Les scénaristes ont modernisé sa fonction avec un nouveau venu au look « bling-bling » et une gestion « In » du passage vers l’au-delà. Il a remplacé les post-it de Reuben par des Smartphones avec lesquels il contacte son équipe. « La maison de la Gaufre » - repère des Faucheurs - étant tombé en cendres, le nouveau « boss » les convie dans un grand restaurant.
La magie de la série s’est envolée ainsi que son esprit ironique et mordant. Le résultat est quelconque et soporifique. On ne rit ni ne sourit, on n’accorde pas d’attention particulière aux nouvelles péripéties des Faucheurs.
Les responsables de ce projet sont des profanateurs de sépultures peu consciencieux. Ils ont remplacé Reuben mais pourquoi avoir fait incarner Daisy Adair sous les traits d’une nouvelle comédienne ? Son physique vulgaire ne rappelle en rien le charme et la fraîche désinvolture de l’interprétation de Laura Harris.
Reggie, la sœur « invisible » de George, est devenue une jeune fille de 16 ans. A travers elle, son ainée nous adresse un dernier message : « La vie vaut vraiment la peine d'être vécue ».
Un semblant de grâce ne souffle que lors du générique final. Reuben adresse, depuis sa résidence dans les cieux, un ultime signe à Georgie. Une pluie de post-it se déverse sur elle. L’inspiration arrive trop tard pour sauver le désastre.
Ce vidéofilm devait relancer la série s’il rencontrait un succès auprès des aficionados. Avec un projet aussi médiocre, répondront-ils présents à l’appel ?
cette serie a une bonne idee de depart,mais le casting est raté et les gags ne font pas vraiment rire.l'actrice principale est inexpressive ,c'est dingue !pas moche ,pas belle,jeu limite...La grosse erreur de casting ,suivi de rebecca gayheart(je me suis toujours demandé comment elle reussit a decrocher des roles)et le reste n'est pas fameux ,seul le mec qui joue ruben a du charisme.sinon niveau scena,ben y'a un mort a chaque fois ,donc elle touche le mec qui meurt et voila. vu qu'on connait deja la fin ,on voit pas trop les surprises...pour suivre la série ,faudrait s'attacher aux heros a la limite ,mais vu le casting...je met 1 etoile pour l'idee de depart innovante ,ca nous change des experts à melun ou new york :section qui arrete le mechant tueur ,mais c'est pas la série de l'année ,loin de la ...et avec la tonne de series sur le marché...
Deux ans après Six Feet Under, les américains nous refont une série sur la vie et la mort. Point ici de croque-mort mais des faucheurs non-morts. La série est agréable à regarder, et par moment, drôle. En dépit de quelques acteurs sympathiques, la série épuise 75% de son scénario dès l'épisode pilote. Dès lors, les épisodes sont répétitifs, et cachent difficilement les faiblesses du scénario. On regrettera que la série n'aille pas jusqu'au bout, que les acteurs ne se donnent pas à fond, le manque de développement des personnages qui devrait être logiquement le pendant du quotidien de nos faucheurs. ça se laisse regarder, mais disons que ça manque quand même d'enthousiasme...
Il est toujours « difficile » pour une série d'avoir une idée particulièrement originale : risque d'essoufflement, situations insuffisamment exploitées... Avec « Dead Like Me », aucun souci à se faire tant son splendide point de départ est développé remarquablement. Pas très courant en effet de voir une première saison mélanger avec autant d'habileté humour noir et émotion, le tout à coups de trouvailles narratives constantes et de personnages souvent irrésistibles. Qu'il est bon de voir parler de la mort avec cette liberté, cette légèreté même, sans leçon de morale ni cynisme mal placé. Au contraire, il y a une réelle sensibilité dans ce drôle de récit, à la fois introspectif et universel, qui, malgré son postulat clairement fantastique, n'en parle pas moins avec beaucoup de justesse du travail, de la famille, de l'amitié... Le mixe est improbable, mais la magie opère totalement, à l'image d'une héroïne rafraîchissante fort bien interprétée par la jeune Ellen Muth. Rien à dire : que ce soit la savoureuse voix-off, les dialogues aux petits oignons ou les scripts régulièrement inventifs nous emmenant vers des chemins inattendus, c'est un sans-faute : de quoi attendre le second volet avec impatience et sérénité. Un régal.
On pouvait craindre une baisse de régime après une succulente première saison : il n'en est rien. Bryan Fuller rivalise une fois encore d'inventivité pour nous offrir un second volet tout aussi cocasse et réjouissant, l'impression de répétition étant ainsi banni d'emblée. Au contraire, le créateur va toujours plus loin dans ce qu'il avait développé jusque-là, tout en gardant intact la qualité des intrigues secondaires et des différents personnages, à l'image d'une sœur toujours aussi décalée et d'une équipe de « fantômes » de plus en plus drôles, la magnifique Daisy Adair en tête. Voir la série s'arrêter aussi brutalement n'en est que plus regrettable et frustrant, tant on sentait que Fuller avait encore de nombreuses choses à raconter : tant pis, ces deux saisons n'en resteront pas moins un délicieux souvenir, intelligent, ludique et surprenant. Un vrai coup de cœur.
Dead Like Me est une série originale créée par Bryan Fuller. L’idée de base est intéressante, la série est bien exploitée et a su s’arrêter au bon moment. Les épisodes sont toujours intéressants et la mise en scène est irréprochable. De plus, Ellen Muth est irréprochable dans son rôle. Bref, c’es à découvrir, 3 étoiles.
Une série très intéressante qui aura la malheur de ne pas avoir pu se développer un peu plus. On nous laisse sur un paquet d'interrogations. Le sujet des faucheurs d’âmes est bien réalisé et on s'amuse devant certaines morts. Une belle BO en sus
Emprunt de mélancolie, Dead Like Me est une série atypique mêlant science fiction et problèmes humains (de société). Arrétée au bout de deux petites et malheureuses saisons, elle a pourtant très vite trouvée son public, qui a su reconnaître le travail des scénaristes ainsi que des acteurs (tous très bons). Pas étonnant que lon retrouve lun des acteurs principaux dans une série comme Esprits Criminels (qui fait un carton aux USA cette saison encore), ou Laura Harris, qui jongle parfaitement entre télé (24, Dead Like Me) et cinéma (Severance, The Faculty). Lambiance glauque, à la fois sobre et cynique ressemble beaucoup à celle dune série récemment créée : Eureka (on peut espèrer un traitement différent pour cette dernière). Reflet dune génération dado, Georgia (Ellen Muth) est parfaite, à la fois drôle, charmante, et pourtant si complexée dautant plus quelle est morte, ce qui narrange en rien ses affaires sentimentales, ou sa relation avec ses collègues ! Une héroïne peu ordinaire que lon aimerait voir plus souvent, tant la gaucherie, faisant ressortir une certaine « vérité intangible » , sur des sujets pourtant graves comme la mort, sont traités de manière exquise !
Dead like Me, une série que j'ai découvert par hasard. Au début, je trouvais une série à l'humour noir, et assez inhabituelle, mais au fil d temps, on rigole bien, cet humour décalé nous donne l'impression d'une réalité cachée dans le scénario. je conseille ;)