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    Helix
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    149 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 13 janvier 2014
    Ronald D. Moore, le papa de ("Previously on") Battlestar Galactica, a gagné mon éternel respect en accouchant de l'une des meilleures séries jamais portées sur le petit écran -so say we all. Aussi me suis-je tout naturellement jetée sur Helix, son dernier bébé, également produit par l'excellente chaîne du câble SyFy qui, par souci de cohérence, fait dans la science-fiction et les genres qui lui sont traditionnellement attachés avec plus ou moins de légitimité. Le créateur de ("Previously on") BSG revient donc avec un projet alléchant, dont les deux ou trois premiers épisodes, le pilote comptant double pour mon plus grand plaisir, donnent un aperçu de son potentiel. Il signe avec Helix un nouveau huis clot : ses personnages, qui ont troqué leur combinaison spatiale pour une combinaison antibactérienne, ne sont plus confinés dans un vaisseau de guerre sillonnant l'espace intersidéral, mais dans une base de recherches internationale construite en Arctique. En d'autres termes, il fait trop froid pour mettre le pied dehors, même si l'ennemi fait des ravages à l'intérieur ; et à cet égard, la cadette de la famille Moore se pose dès la scène d'introduction en série horrifique qui, au vu des quelques épisodes déjà diffusés, tient largement ses promesses.
    À mi-chemin entre Alien, pour le côté enfermé-dans-une-boîte-de-conserve et le mode d'inoculation du virus, et 28 Days Later, pour le côté approche-scientifique-du-zombie, les singes de laboratoire agressifs et le maquillage, Helix raconte l'histoire d'un groupe d'experts en virologie d'un CDC envoyés en mission spéciale sur la banquise. À titre informatif, les CDC, Centers for Disease Control and Prevention, sont comme leur nom l'indique des lieux d'expérimentation sur des chihuahuas, cousins des rats, d'agents pathogènes mortels ; personnellement, je me rassure en pensant à The Walking Dead : en cas de contamination du personnel, il suffit à l'immunisé de service d'appuyer sur le bouton qui déclenche l'explosion nucléaire, car mieux vaut avoir trois bras que... quatre. Bref, le groupe se compose d'Alan, de son ex-femme, de sa potentielle future femme et d'une quatrième femme qui n'a aucune chance avec lui ; un militaire, qui ne s'est pas servi de son arme à feu depuis le boot camp, les accompagne. Ensemble, ils se rendent dans une station arctique où trois chercheurs, parmi lesquels le frère d'Alan avec qui son ex l'a trompé, ont été infectés par un virus qui transforme le sang en pétrole -enfin, en quelque substance y ressemblant. Le nombre de victimes croît rapidement, et celles qui ne se liquéfient pas avant d'être récupérées par Total (« Notre énergie est votre énergie. ») voient leur force décuplée et l'envie montée de vomir ledit liquide noire dans la bouche des non-infectés.
    La série, qui ne bénéficie pas des mêmes effets spéciaux que ("Previously on") Battlestar Galactica, laisse sans problème s'installer une tension permanente ; quelques scènes méritent même d'être qualifiées d'effrayantes, à l'instar de celles qui demandent aux personnages de ramper dans les conduits d'aération à la poursuite de Peter, le frère, qui s'y faufile comme un chat arracheur de bras ; Helix remplit mieux son office qu'une production comme American Horror Story. Les mystères s'accumulent et la font inexorablement pencher vers la théorie du complot : libre à chacun de croire que le responsable de la base, Hiroshi Hatake, met des lentilles de contact simplement parce qu'un Japonais n'est pas censé avoir les yeux de Riddick et qu'il redoute la moquerie, mais je crois, moi, qu'il cache quelque chose de plus important.
    La nouvelle création de Ronald D. Moore promet donc : personne ne viendra les chercher...
    moonboots
    moonboots

    60 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 7 mars 2015
    Helix est une série B fantastique fort distrayante : peu de moyens, des scénarios rocambolesques, de belles ambiances psychédéliques... que demande le peuple ?
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Après avoir visionné la première saison, le constat n'est pas terrible. Je m'attendais à beaucoup mieux. Le rythme est poussif, ce qui laisse le temps de réfléchir aux incohérences, ces dernières étant nombreuses. S'il y a bien un domaine dans lequel les exigences de sécurité doivent être élevées, c'est bien dans la recherche virale. Eh bien pas dans cette série !!! spoiler: A : On isole les patients potentiellement infectés ensemble au lieu de les séparer dans des cellules individuelles. On s'étonne ensuite que le virus se propage à 1/3 de la base. On s'étonne également que les patients s'énervent. Tout ça pour finalement se rendre compte après 2 ou 3 jours qu'il existe un étage isolé pouvant servir à la mise en quarantaine. B : D'un autre côté, malgré le fait qu'un des malades, en mode super violent, est en liberté, on se balade en solo au risque de se faire...attaquer sous la douche. L'erreur classique des films d'horreur de série Z : Et si on se séparait pour mieux se faire tuer ? Circuler par groupes de 2, dont au moins 1 serait armé, semble logique...mais pas dans cette série. C : On dissèque un singe contaminé au milieu du hangar où on l'a trouvé, sans plus de cérémonie. Pire, on laisse le singe en question sans protection et sans surveillance alors qu'il s'agit d'un élément crucial dans la résolution de l'énigme qui se pose. Une fois disparu, on remplace ce singe "vecteur", pour reprendre le vocabulaire de la série, et on le remplace par un autre dont on ne sait pas s'il était "vecteur". Les conclusions de l'étude ne peuvent qu'être faussées, et pourtant, personne ne s'en préoccupe. D : Chaque membre de l'équipe fait ses propres recherches dans son coin, et la mise en commun des découvertes ne se fait pas ou peu, ce qui laisse songeur quant à leur définition du "travail d'équipe". E : Le comportement des chercheurs est également à noter, puisqu'ils semblent totalement étrangers aux risques encourus dans ce genre de centre de recherche. Il faut tout leur expliquer, alors qu'ils sont censés être des sommités dans leurs domaines respectifs. Au final, ils font tous passer leur petite personne avant la survie de l'espèce, et ne souhaitent que s’échapper et prendre le risque de laisser échapper le virus, ce qui est un comble pour des profils comme les leurs. Concernant le test rapide élaboré à l'épisode 3, le docteur Walker met des lustres à se rendre compte qu'il ne fonctionne pas. Les compétences des héros peuvent sembler douteuses. F : On nous dit en début de pilote que le centre est équipé d'une liaison fibre permettant de communiquer avec l'extérieur à une vitesse folle...mais on oublie totalement ce détail et l'équipe attend de pouvoir utiliser le satellite qui n'est disponible que quelques heures de temps en temps. Et quand l'antenne satellite explose, le téléphone interne de la base se retrouve coupé...mais bien sûr !!! E : Les contraintes en termes de température ne sont pas prises en compte. La respiration des personnages en plein froid ne se voit pas. Ils se promènent sans gants par -50°. Un des personnages est laissé pour mort à moitié dénudé, toujours par -50°, et il survit sans problème. F : Et tout ceci finit par se "comprendre", puisque la série perd totalement son esprit science fiction après quelques épisodes pour devenir un survival horror basique. Cette saison 1 nous donne des retournements de situation en veux tu en voilà. Mais rien n'est crédible. Les méchants sont les gentils, les gentils sont les méchants. On ne nous donne aucune clef pour comprendre tout ça. C'est du grand n'importe quoi.
    Conclusion : Parti d'une idée sympathique, cette saison 1 s'égare pour finir en thriller bas de gamme. Au final, cette série nous prend pour des imbéciles.
    gunbuster
    gunbuster

    392 abonnés 1 630 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    2,0
    Publiée le 19 février 2015
    La première saison avait pour elle de relancer le genre du thriller sur fond d'épidémie.
    La seconde saison paraissait prometteuse, mais après 5 épisode, je ne peux qu'arrêter de la regarder tant une forme de lassitude et le sentiment de tourner en rond ronge le téléspectateur.
    Pourtant, la série commençait bien, avec le retour de l'équipe (en dehors d'Alan Farragut), sur une nouvelle épidémie, les envoyant sur une île perdue dans l'Atlantique Nord, et peuplée par les adorateurs d'une secte mystérieuse.
    De nouveaux personnages émergeaient, et l'on prenait plaisir à retrouver les anciens, avec de nouveaux enjeux clairs et concis.
    Et puis patatras, les scénaristes décident de saborder leur show en multipliant les intrigues à tiroir, en découpant le récit avec des allers-retours dans le futur et le temps présent, qui finissent par perdre les spectateurs.
    Idem pour les personnages qui ont tous des dizaines de secrets, qui apparaîtront au pire moment pour l'équipe du CDC. Tous les personnages sont dans le cambouis jusqu'au cou et pourtant, ils continuent comme si de rien n'était à comploter, comme si leur survie était totalement secondaire, sans laisser paraître le moindre sentiment d'inconscience ou de caractère sanguin.
    Trop d'intrigue tue l'intrigue, à l'image de la série Lost, les scénariste en font beaucoup trop et perdent la cohérence, le fil de l'histoire et tue la crédibilité de leur oeuvre.
    Sérieusement, "Hot Zone"? "Le miel et les Abeilles"?, cette saison reprenait beaucoup trop d'intrigue de X-Files pour le pas le mentionner, et là où le duo Mulder-Scully avait du sens, le casting choral et les sous-intrigues multiples d'Helix laissent le spectateur sur le quai.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    2,5
    Publiée le 2 février 2015
    Après l'éclatement progressif du huis-clos articque et mortel de Helix saison 1, direction l'isolement insulaire et tropical de Helix saison 2. Contrairement à la saison précédente, les scientifiques sont très rapidement en action commence dès le départ pour ne plus nous lâcher. La mise en scène se permet même un étrange montage alterné sur deux temporalités (passé/présent) pour accroître le mystère. Les survivants de la saison sont tous là, enfin à l'image peut-être mais...

    En tout cas, le pilote annonce plusieurs pistes à explorer dans les 13 épisodes au risque de nous égarer un peu en cours de route. L'arrivée de l'équipe de scientifique dans une étrange communauté annonce bien des secrets qu'il n'aurait peut-être mieux valu ne pas chercher à percer. Une curiosité attisée mais à confirmer.
    this is my movies
    this is my movies

    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 14 juin 2015
    Au début, la série est assez excitante et le rythme est assez enlevé. Peu à peu, les auteurs développent une mythologie intéressante, pas franchement novatrice mais intéressante. La 1ère saison s'avère efficace, bien menée et présentant quelques persos qui valent le détour avant de virer peu à peu au grand n'importe quoi avec un final season qui relance complètement l'intrigue tout en l'emmenant vers un WTF le plus total. La 2ème saison est elle aussi assez intéressante durant quelques épisodes avant que je ne me rende compte que les auteurs ont tout simplement décalqué les péripéties de la 1ère saison dans un autre endroit en déplaçant aussi les rebondissements qui se répètent dan le même épisode de chaque saison. C'est d'autant plus dommage que malgré son côté portnawak, la série développait une mythologie passionnante, avec une gestion audacieuse de sa timeline, tout en multipliant les invraisemblances, les facilités et des idées complètement barrées. Mise en scène assez pauvre, quelques acteurs complètement à côté de la plaque, des scénarii pas toujours bien menés et un abus de gore gratuit pour une fausse série événement, abusivement vendu sur le nom de son producteur exécutif, même si on retrouve son exigence avec des maquillages souvent bluffants et quelques effets spéciaux de qualité malgré un budget que j'imagine assez réduit.
    orlandolove
    orlandolove

    137 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    1,0
    Publiée le 27 avril 2015
    Le concept est alléchant mais les bonnes intentions ne tiennent que le temps d'un épisode ou deux. Ensuite, les scénaristes naviguent à vue, multipliant les pistes, accumulant les incohérences et les séquences absurdes. Le casting est inégal mais a au moins le mérite d'y croire...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 2
    4,0
    Publiée le 15 juillet 2015
    Une deuxième saison glauque, malsaine et intrigante qui distille ses indices et ses rebondissements, répond à quelques interrogations de la première saison et nous tient en haleine jusqu'à un épisode final effroyable... Dommage que la série soit annulée après 2 saisons !
    g0urAngA
    g0urAngA

    85 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Helix est une série sans caractère qui nous laisse trop souvent de marbre.

    On a pourtant un scénario doté d’un fort potentiel, mais qui ne parvient jamais à convaincre et s’égare en présentant des intrigues inintéressantes et peu crédibles, dommage !!!
    Alexis Seny
    Alexis Seny

    57 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 4 août 2015
    Décidément, en cet été résolument chaleureux et généreux, on ne trouve à vous parler que de froid, de blizzard et autres paysages désertiques et glacés. Ce n’est pas avec la série Hélix qu’on va s’arrêter, préparez les glaçons, ça va saigner. Car oui, on a adoré!

    Rien ne prédestinait le brillant Docteur Alan Faragut (du Centre de contrôle et de prévention des maladies, campé par Billy Campbell) à se retrouver perdu au milieu de nulle part sur une base arctique. Et pourtant, c’était sans compter son frère, scientifique chevronné en mal de reconnaissance, qui s’est exilé dans ce centre de recherche, Arctic Biosystem, éloigné de tout. Peter Faragut (Neil Napier) est en effet l’une des premières victimes d’une épidémie qui frappe soudainement et inexplicablement la base avec de mortelles conséquences. Appelé à la rescousse par son ex-femme virologue (Kyra Zagorsky), Alan ne peut que se précipiter et constituer une équipe pour rallier ce territoire hostile et glacé. Mais rien ne peut le laisser présager de ce qu’il va y trouver, dépassant tous les possibles et imaginables, entre des malades assoiffés de sang, de rage et de violence et une menace anonyme et extérieure, peut-être encore plus latente et dangereuse. Comment les « bons » arriveront-ils à garder leur calme pris en tenaille entre dissensions internes et externes, entre secrets de famille, doubles-jeux et troubles-jeux et autre triangle amoureux. Une vraie lutte s’engage mais les forces s’équilibreront-elles?

    Treize épisodes qui s’avalent à vitesse vévéprime, un créateur novice associé à un grand héros de la SF et un sérieux travail sur l’univers développé. Rien à dire, sur papier, la première saison de la série Helix - Syfy - Sony Pictures Home Entertainment - Saison 1 (5)développée par la chaîne américaine Syfy avait de quoi convaincre et porter de belles et grandes promesses. Dès les premiers épisodes, elle a fait plus que ça, parvenant à nous glacer d’effroi et à nous emporter dans ce périple scientifique et implacable. Et même si, au bout de deux saisons, la chaîne a décidé d’annuler la série, inutile de bouder votre plaisir, voilà un plaisir coupable et absolument incontournable.

    Pas besoin de long discours, dès les premières minutes et le prégénérique, nous voilà happés sans nulle retenue au cœur de la torpeur et de l’horreur âpre de ces labos enneigés. Les bribes scientifiques bien intégrées à l’intrigue ne freinent pas l’avancée dans ce huis-clos claustrophobique et grandeur nature hérité un peu du The Thing de Carpenter. Sans en faire trop, les créateurs Cameron Porsandeh (ne cherchez pas son nom sur une quelconque filmographie, avant Helix, il « n’était » qu’un économiste à.. Harvard) et le prolifique Ronald D. Moore (un baron de la SF, derrière les Star Trek des années 90 et, surtout, le mythique Battlestar Galactica) parviennent de manière fascinante à mettre en place une histoire complexe aux personnages travaillés (et, apprend-on dans les bonus, réécrit en fonction des acteurs castés) et aux rebondissements nombreux et toujours fignolés de mains de maître sans jamais tomber dans le grotesque.

    Du côté des acteurs, que du bon mais pas que du connu! Si l’on ne présente plus celui qui est un peu le Pierce Brosnan de la SF, le gigantesque Billy Campbell, et qu’on retrouve avec joie Hiroyuki Sanada (acteur de The Ring mais aussi d’une autre série de survie, Lost); les autres acteurs sont quasiment tous des inconnus qui assurent. À tel point que le scénario a été réécrit pour coller à leurs capacités de performance. Ainsi Neil Napier (qui incarne le frère maudit et contaminé, Peter Faragut) devait disparaître à la fin du pilote avant de devenir une des pierres d’achoppement de la série, avec un charisme phénoménale et un talent à couper le souffle, c’est la révélation d’Helix. Aucune faute de goût au casting donc, et un plaisir d’autant plus grand de faire la connaissance des novices Kyra Zagorsky, Meegwun Fairbrother, Mark Ghanamé ou Jordan Hayes.

    « Ce n’est pas du virtuel mais des enjeux réels« , et c’est là aussi la grande force de la série: arriver à monter une série de (science-)fiction qui ne soit pas abracadabrantes et avec des éléments tout à fait plausibles (la reformatation du cerveau qui transforme le malade en véritable machine à contaminer son prochain, l’utilisation mortelle de nombreux singes comme éprouvettes scientifiques et cette quête irrémédiable du pouvoir et de la vie éternelle). Entre science salvatrice et (incon)science dévastatrice. Dans les bonus, le créateur Cameron Porsandeh explique même s’être servi de sa propre expérience d’une maladie en Asie et des comportements réels de certains chercheurs qui l’entouraient en situation de crise. Et c’est sans doute cet ancrage réel qui nous a permis, dès les premières minutes de la série, d’avoir les palpitations qui augurent les meilleures séries, riches en frayeurs et en rebondissements. Avec en prime, une formidable force de conviction et de mise en scène et un crescendo bluffant d’épisodes en épisodes ponctué de musiques WTF, détendues et joyeuses complètement barrées (du Fever de Peggy Lee au Temps de l’amour de… Françoise Hardy!). Seul petit bémol, trop souvent dans cette première saison, on a l’impression que les personnages vivant dans cette base scientifique ne sont qu’une petite vingtaine alors qu’ils sont beaucoup plus que ça. Pour le reste, c’est parfait.

    Bref, Helix, c’est du lourd, inventive et entièrement acquise à sa cause, conçue par des maîtres du genre et absolument prenante. Une série à recommander de toute urgence parce que c’est bien, c’est très convaincant, mais aussi parce que le coffret de la saison 2 (qui s’échappera de l’Arctique) arrive d’ici quelques jours chez Sony Pictures Home Entertainment.
    ZOC
    ZOC

    57 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 17 février 2022
    Un excellent huit-clos horrifique se déroulant dans l'arctique.
    Captivant et passionnant, de beaux moments de tension, une ambiance réussie, je me suis bien amusé à visionner cette série.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    147 abonnés 3 100 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 20 avril 2021
    Selon le principe que c'est vraiment original et complexe en même temps que peu populiste et modal c'est annulé, ce que j'appelle la loi de la contre-créativité. Il y a cependant dans ces deux saisons des histoires qui se terminent et qui ont comme principal attrait des personnages, des idées bizarres, des changements importants et un déroulé prenant. Le tout est un poil sordide et limite du mauvais goût mais aussi une forme de réalisme intéressant et des idées surprenantes.
    alex117dlmassif
    alex117dlmassif

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 31 mai 2015
    La saison 2 manque serieusement de budget .effect a 2 balles et la fin aussi stupide que le debut
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    138 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,0
    Publiée le 4 février 2018
    Le début de la première saison est très bien fichu, très bien pensé. Les décors sont superbes, les acteurs remarquables, la réalisation plus que correcte et l'ambiance est particulièrement réussie.
    C'est une série à la croisée des chemins entre le thriller, l'horreur et le fantastique. Le problème c'est que l'on bascule dans le fantastique très lentement, et que plus on avance dans la saison, plus l'histoire est tirée par les cheveux, avec en particulier un final à la limite du grotesque.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    67 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    2,5
    Publiée le 8 avril 2016
    Dans cette mystérieuse base en plein Arctique, le frère d’Alan, Neil Napier (Dr. Peter Farragut), est l’une des victimes du virus dévastateur… A la tête de cette base, on retrouve l’énigmatique scientifique, Hiroshi Hatake incarné par Hiroyuki Sanada (Revenge, Lost, Le Dernier samouraï, Sunshine, Lost, Wolverine : le combat de l’immortel…), un homme aux multiples secrets, très intéressé par Julia, l’une des scientifiques…

    Cette série apporte une certaine diversité dans le paysage télévisuel, en abordant le thème des zombies et autres vampires sous l’angle d’un virus nommé Narvik, un agent mutagène d’une agressivité incroyable. La première saison laisse une impression mitigée, bien que le mélange thriller et science-fiction fonctionne plutôt assez bien. Les intrigues mettent du temps à se développer, une lenteur dommageable pour une série comprenant quelques bonnes idées, comme ce cimetière de singes aux visages déformés par la peur, pétrifiés dans la glace…
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