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"Sicko" empeste (...) une démagogie de comptoir assez agaçante car elle ne sert finalement que son ego et son statut de Che Guevara pour lecteurs de Télérama.
Epaulée par des acteurs exceptionnels (...) la réalisatrice fait de "Waitress" un bonbon cinématographique qui déploie habilement un véritable goût de liberté et d'euphorie girlie.
(...) la Sandra Bullock en version quadra a trouvé son credo, et se consomme désormais ménagère lasse, égarée dans des scénarios amphigouris, en version (...) nanar estival option mélo fantastique (...)
Cristian Mungiu s'impose comme un réalisateur brillant (...) Reste le rythme lancinant, l'absence d'ellipse et le caractère mutique qui (...) torpillent l'attention. On finit donc par s'ennuyer devant cette tragédie austère, malgré un talent évident et prometteur.
Vincent Lindon, impeccable, livre ici l'une de ses compositions les plus touchantes (...) En face, Emmanuelle Devos offre un contrepoint intelligent (...)
NOTHING, structure ultra-minimaliste camouflant des concepts vertigineux, devient alors un grand tout, aussi formidablement ludique qu'intelligent.
(...) jolie et chaleureuse fable familiale destinée aux préados. (...) on se fait avoir mais surtout on y croit.
(...) le film croule vite sous les situations, les retournements, les bons mots, encombrant les sentiments sous un rire un peu obligatoire. (...) Néanmoins, "3 amis" a ses instants de grâce (...)
Bellocchio monte une mayonnaise fantaisiste (...) Mais c'est encore mieux quand elle retombe : le film projette alors les angoisses de son auteur (...) C'est dans ces scènes-là que se dégage une véritable fièvre hallucinatoire...
C'est juste un bon petit film pour un moment pas déplaisant.
Le scénario est méandreux, ce n'est pas très grave : c'est la mise en scène qui mène la danse. (...) Assayas y va parfois à la machette mais toujours avec une curiosité fébrile d'explorateur.
Aussi inédit qu'inabouti.
Malgré les quelques frissons d'une liaison salvatrice entre paumés, l'électrocardiogramme reste plat. Aucune envie d'avoir envie.
(...) une joyeuse boum 60's vraiment très fun et très contagieuse.
(...) cette description de l'irruption des premiers désirs sonne étonnamment juste, nuancée. Tout juste lui reprochera-t-on quelques facilités allégoriques (...)
(...) le comique de situation laisse progressivement la place à la passion évangélique (...) quand c'est le déluge à l'écran, c'est l'apocalypse dans la salle.
(...) pas de grandes surprises thématiques dans "Caramel". En revanche, il est fait d'une grâce terriblement envoûtante (...)
Le spectateur qui a dépassé les trois ans d'âge sera perplexe (...) Grotesque.