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Le souvenir que je conserve de ce film, c'est la plongée dans un autre monde, une autre époque, une autre culture. Dépaysement garanti avec cette course tellement difficile qui met en valeur le courage et la résistance des jeunes hommes. Superbe film qui porte aussi quelques messages écologiques et sociétaux.
Se dépasser est la vraie motivation de cette apnéiste finlandaise qui dit que le record en lui-même est secondaire. Quand même, c'est impressionnant à cause du fait que l'eau fait 2 degrés et qu'elle n'a ni palmes, ni combinaison qui couvre les épaules et les bras.
Il se peut que ceux qui ont aimé la série « les 100 » apprécient ce film de science fiction. Pour ma part, le principe de départ (se faire opérer à 16 ans pour supprimer les défauts extérieurs et intérieurs) me semble un peu trop naïf. Le développement est simpliste et c'est difficile d'y adhérer pour un adulte. Pour le côté écologique et les effets spéciaux, je vais jusqu'à deux étoiles
J'imagine que les acteurs ont adoré jouer dans ce film pour se replonger dans les débuts du cinéma muet et s'amuser de devoir accentuer les expressions du visage. Seulement le spectateur là dedans, est-ce qu'il y trouve aussi son compte ? Pas forcément, si j'en juge par mes impressions en le visionnant. Beaucoup de minauderies, de cabotinage qui lassent assez vite. Le film est prévisible, il ne décolle pas.
Pas franchement passionnant car le scénario est trop sommaire avec essentiellement une chasse à l'homme. Quant aux actions, de la poursuite en voiture ou à pied, elle n'avance pas et le spectateur finit par se lasser. En plus, la fin n'est vraiment pas terrible. Seul le casting tient la route.
Un petit rouge-gorge est élevé par une famille de souris et se prend pour une souris. Seulement comme elle n'en est pas une, elle n'est pas aussi discrète pour aller voler de la nourriture. Cette petite histoire d'animaux en feutre est charmante pour des enfants.
Le scénario de base est une affaire de vengeance donc rien de bien original. Par contre le traitement réserve quelques surprises et comme c'est sur le mode second degré, cela ajoute un peu de piment. Je mets la même note que « Refroidis » car c'est juste une version américaine de la même histoire norvégienne.
Une comédie fantastique qui est moins percutante en version française qu'en version originale. Des passages vraiment amusants avec une composition remarquable d'Emma Thompson qui n'a pas eu peur de s'enlaidir pour le rôle.
Le principal reproche que je ferais à ce film porte sur sa longueur qui le rend insupportable. Il n'y a pas un contenu qui le justifie. Alors, aller au bout devient une entreprise ennuyeuse même si le dernier quart d'heure amène un peu de diversité. Sinon la photographie est magnifique et les acteurs sont bons. Dommage qu'il manque des italiens dans le casting.
Le drone permet aujourd'hui d'approcher ce grand singe contemplatif dans la canopée où il se déplace et s'alimente. Ce film suit, environ sur une année, une femelle et ses deux petits ainsi que divers grands mâles. De très belles photographies et commentaires pour un documentaire animalier de qualité.
Sur ce thème, il y a eu beaucoup d’œuvres cinématographiques. Est-ce que celle-ci ajoute une dimension à ce qui a déjà été fait ? Hélas non car le film ne se distingue ni par son étude psychologique, ni par sa mise en scène originale ou réaliste. C'est lent, très très lent. Plusieurs événements sont hautement improbables à commencer par la maladresse des dix premières minutes. Et cela se renouvelle par la suite, des actions ...
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Sans guère de moyens, ce téléfilm réussit à nous divertir. L'idée de s'intéresser au recrutement et à la formation des futurs agents est bien vue. Certains enseignants font un peu sourire comme le prof de sports de combat mais le tout fonctionne plutôt bien. A tel point que l'on se prend à souhaiter une suite car la fin s'y prête bien.
Un concept de science fiction intéressant avec un environnement de départ motivant. Il y a les ingrédients pour faire quelque chose de vraiment original. Sauf que le scénario bascule au bout de trois quart d'heure vers autre chose, bien plus trivial où la réminiscence n'a plus vraiment sa place. Pendant quasi une heure, l'histoire s'enlise et se banalise. Grosse déception même si sur la fin, il y a un ré-accrochage au thème. C'est trop ...
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Dans un monde futuriste éloigné, un robot se révolte et décide d'éradiquer la race humaine qu'il trouve imparfaite et dangereuse. Un sujet de SF sur l'avenir de l'IA ou plus exactement ses dangers pour l'homme, ce n'est pas nouveau. Ceci dit, Brad Peyton, le réalisateur, nous présente une histoire simple et cohérente. C'est bien fait avec des effets spéciaux suffisants qui ne prennent pas le dessus sur l'intrigue. Atlas (Jennifer Lopez), ...
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Pour un film d'animation, les humains sont très réalistes et cela apporte beaucoup. Je n'avais vu que le premier opus et bien sûr, si ce cinquième film est loin de le valoir, il reste néanmoins assez distrayant même s'il y a quelques éléments confus dans le scénario. Un peu déçue aussi par les parasites qui, en dehors d'être innombrables, ne font pas grand chose d'autre que d'avancer vers leur cible.
La plastique de l'héroïne est magnifique et la musique mémorable mais le reste est moyen. Les passages dansés restent trop rares à mon goût et la romance n'est pas très enthousiasmante. Alex se comporte de manière excessive au point qu'elle en devient pénible à supporter. Heureusement, la fin rattrape un peu l'impression défavorable.
Ne devrait-on pas plutôt dire « les félines » car il y a deux femmes qui tournent et manigancent autour de Marc (Alain Delon) dans cette riche demeure. Rôle adapté à un acteur jeune et séducteur de ces dames. Intrigant avec une fin surprise.
Ce film de René Clément prend un relief particulier grâce au jeu d'acteur d'Alain Delon. Il incarne magistralement Tom Ripley, ce personnage inventé par Patricia Highsmith, prêt à tout pour prendre la place d'un fils de millionnaire. Il est fascinant dans sa capacité à anticiper les problèmes et à concocter des fausses pistes. La musique et le cadre naturel de l'Italie, complètent un tableau d'excellence.
Ce policier s'avère assez efficace pour décrire l'action d'un commissaire qui cherche à démasquer un meurtrier et en particulier comment il organise la filature dans le métro. Delon reste placide dans toutes les scènes et n'a guère de dialogues. Les autres personnages ne sont pas non plus très bavards. L'ensemble fonctionne bien avec une grande minutie portée au moindre détail.
Pourquoi mettre une note si élevée à un film dont le thème a déjà été souvent traité y compris dans des séries comme Real Humans ? Tout simplement parce que la réflexion est plus soignée et traite vraiment de ce qui fait notre humanité, de ce que chaque être humain recherche, peut accepter et espérer comme complémentarité dans sa vie de couple.
Il n'y a pas très longtemps, j'ai visionné la série canadienne « Little Bird » et comme pour ce film, le point de départ est en rapport avec l'action d'autorités anglophones qui enlèvent les enfants à des familles autochtones indigènes (amérindiennes ou aborigènes). Peu importe les justifications officielles, c'est toujours destructeur et donc monstrueux pour les enfants comme pour leurs familles. Dans Le chemin de la liberté, si ...
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Agnès Varda, la réalisatrice nous fait assister, sans complaisance, à la descente aux enfers d'une jeune routarde. Sandrine Bonnaire qui interprète magistralement cette sauvageonne avec sac à dos, fait de nombreuses rencontres mais n'arrive jamais à se fixer. Elle n'a nulle envie de faire des concessions et son aspect extérieur finit par être un repoussoir. C'est un film dur, hypnotique par moment.
A chacun son obsession. Pour l'une, c'est de rajeunir, pour l'autre, c'est de pouvoir contrôler sa virilité et satisfaire son désir de conquête féminine, pour le troisième, c'est juste régler ses problèmes de boulot et mener une vie normale. Le subterfuge est fantastique et assez original.
Un court métrage césarisé, cela se regarde ! Eh bien j'ai apprécié le jeu de l'acteur principal (Bastien Bouillon), les dialogues avec ses parents et les petites séquences chantées qui donnent du caractère à cette courte œuvre bien cadrée.
Entouré de bons acteurs et de la jolie Louna Espinosa, Franck Dubosc (Tony) réalise un film sentimental sur la difficulté de renouer avec sa fille qui ne le connaît pas. En dehors d'un passage où Tony fait vraiment le « vieux beau » et dépare dans le paysage de la danse, l'ensemble est très honorable avec quelques touches comiques.
L'équipage de l'Enterprise, sous la direction de son emblématique capitaine Picard, se démène pour empêcher les Borgs d'assimiler la terre. La lutte contre ces aliens ainsi que le retour sur terre en 2063 au moment de l'atterrissage d'un premier vaisseau extraterrestre (Romulus) font tout l'intérêt de ce film.
Un film d'espionnage endiablé avec plein de trouvailles et qui emprunte aussi aux théories complotistes présentes sur le net. Je fais quand même un reproche en rapport avec l'excès de violence.
Western sur le thème de la vengeance avec un traitement peu original. Les deux héros de l'histoire ont chacun une bonne raison d'en vouloir à la même bande. Le plus âgé a fait quinze ans au bagne et le plus jeune a survécu au massacre de sa famille. Le positif réside dans la relation qui va s'instaurer entre les deux hommes qui cherchent à se venger et sur la scène de fin. Pour le négatif, l'image qui est de mauvaise qualité et la ...
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Étrange film qui est prétexte à montrer un monde imaginaire de sorciers et de créatures sorties d'une imagination féconde. Ne pas se focaliser sur l'intrigue, sous peine d'être déçu car elle est peu développée. Le plus important n'est pas dans l'histoire ou dans les dialogues, mais dans le visuel. Pour apprécier ce film, il faut simplement se laisser aller comme un enfant qui découvre un monde magique.
De la science fiction uniquement parce que c'est un thème post apocalyptique car sinon, c'est plutôt un film intimiste sur une forme de solitude. De grands acteurs mais un rythme de dialogue dérangeant. En effet attendre plusieurs secondes pour répondre, cela passe une fois en suggérant que la personne réfléchie. Seulement quand c'est constant, cela fait très artificiel.
Le réalisateur Van Peebles a bénéficié d'un budget de 40 millions de dollars pour réaliser ce film historique sur l'histoire de l'USS Indianapolis, un vaisseau américain qui a transporté des composants pour la bombe atomique, à Tinian, dans les Philippines. A son voyage retour, il est coulé par des torpilles japonaises et les marins vont rester dans l'eau pendant 5 jours. De film de guerre, il devient film de survie et d'horreur car les ...
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Un western totalement irréaliste mais sympathique. Pas d'excès de violence et encore moins de sexe et les plus jeunes apprécieront de pouvoir bien distinguer les méchants et les gentils ! Je n'ose pas dire qui gagne... L'intrigue n'a rien de spéciale mais comme c'est un western de 1969, rien d'étonnant. Belle musique, de la luminosité et belle frimousse de l'italienne Femi Benussi qui joue le personnage de Victoria. Je suis juste pas fan ...
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Brandon est un acteur hypnotique dans ce film comme dans d'autres. Ce regard, cette justesse dans l'interprétation, tout est remarquable. Le film en lui-même est bien trop long et c'est vraiment dommage car sinon, il serait excellent.
Pour son premier western, Burt Lancaster campe un cow boy positif, quasi sans défaut alors que le fils du propriétaire est juste son contraire. Même si le film a plus de soixante dix ans, une netteté pas exceptionnelle et un scénario un peu léger, il se laisse regarder sans ennui.
Ce n'est pas un film que j'ai apprécié. Rien ne m'a semblé plausible. Ni le personnage de Michel (Yves Montant) bien lourd dans son rapport avec Lydia (Romy Scheider), ni le comportement de celle-ci. Pas davantage, celui du dresseur de chiens. Les dialogues sonnent faux. Ce n'est pas du langage parlé mais plutôt du texte à lire, du langage littéraire. Pourtant les acteurs sont des pointures mais rien ne va. Jamais on ne parle ainsi dans la ...
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