Dans un petit village de Haute Provence, Jean de Florette vient s'installer sur le terrain dont il vient d'hériter et rêve à de merveilleuses cultures. Mais Ugolin a lui aussi un projet pour ce terrain : y faire pousser des oeillets. Le vieil oncle Papet va l'y aider...
Dans une galerie marchande, entre le salon de coiffure de Lili, la boutique de prêt à porter de la famille Schwartz et le bistrot de Sylvie, les employés et les clients se croisent, se rencontrent et rêvent d’amours, amours compromis, épistolaires ou impossibles. Ils en parlent, le chantent et le dansent, ponctué par les chœurs des shampouineuses.
Par une journée pluvieuse, une roulotte vient s'installer devant la maison des Briand. Ses occupants, les Bronsky et leur fille, ne se sont pas arretés là par hasard. Ils ont un but : squatter la maison des Briand et prendre leur place.
Le repas familial d'un écrivain catholique, Raoul Mons, est interrompu par une délégation de la ville qui veut faire interdire une pièce de théâtre blasphématoire. Il promet de s'en occuper. La pièce n'aura pas lieu. Peu de temps après, Raoul Mons est retrouvé mort, nu, sur la plage. L'Inspecteur Lavardin est appelé sur les lieux. Il va enquêter.
En 1945, à Vienne, la guerre est terminée. Freddy Wolff et Georges Adler, émigrés aux Etats-Unis mais d’origine autrichienne et allemande, sont devenus soldats de l’armée américaine. Vienne est en ruines et divisée en quatre zones, le marché noir y règne en maitre.
Billy est américain, il est chanteur de rock et vit a Paris, il est marie à Susan, chanteuse, et aime Julie sa dernière maîtresse. Il a tout, succès, amour, argent. Et pourtant il se suicide. Son jeune frère Tom suit sa carrière de l'Amérique. A l'annonce de ce drame qu'il n'admet pas, il arrive en France pour comprendre. Il y arrivera à ...
En 1975, un journaliste suisse découvre une lettre adressée, par une espagnole inconnue, à son son père, qui avait combattu pendant la guerre civile. Il décide alors de se rendre en Espagne.
C'est un hommage à des machines disparues, des machines qui à elles seules pouvaient reproduire toute la magie du cinéma. C'est aussi un hommage au projectionniste, cet homme que l'on ne voit jamais, cet homme qui donne l'étincelle de vie nécessaire à la bonne marche de ces " magiciennes ". Lorsque tout s'éteint, lorsque la salle se vide ...
La production du Grand Théâtre de Genève d'une oeuvre que Jérome Savary avait mise en scène des les années soixante-dix, à l'invitation de l'Opera-Comique de Berlin.