C'est un hommage à des machines disparues, des machines qui à elles seules pouvaient reproduire toute la magie du cinéma. C'est aussi un hommage au projectionniste, cet homme que l'on ne voit jamais, cet homme qui donne l'étincelle de vie nécessaire à la bonne marche de ces " magiciennes ". Lorsque tout s'éteint, lorsque la salle se vide pout toujours, l'homme est encore là, seul avec ses souvenirs, seul avec sa nostalgie. C'est un hommage au cinéma.