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Fille de la première cinéaste géorgienne, qui fut déportée sous Staline, cinéaste elle-même et mère d'une cinéaste, Lana Gogoberidze déroule au soir de sa vie le fil puissant qui la relie à sa mère disparue, dans un récit en forme de lanterne magique. -
Au travers d'un événement surréaliste, mais authentique, survenu en Géorgie, une métaphore magnifique de l'asservissement de la nature par l'avidité humaine. -
Soso, un père de famille au grand cœur, se lance avec ses proches dans une exploitation de myrtilles afin d'assurer leur avenir. Mais avec leur maison, au nord de la Géorgie, est proche de la frontière troublée avec la région d'Abkhazie, état souverain autoproclamé, occupé par la Russie où des conflits font rage depuis 30 ans. Ingénieur à la retraite, Soso se lance avec sa femme Nino et leurs fils Giorgi et Lazare, dans le programme « Planter l'avenir » mis en place par les autorités géorgiennes pour stabiliser la région. Nino, hantée par les souvenirs de la guerre, rêve que ses enfants découvrent le monde, tandis que Soso veut maintenir leur lien avec la terre. Giorgi et Lazare, quant à eux, aspirent à un avenir différent, se plongeant dans les dessins animés et rêvant de visiter le Japon. -
Le documentaire est tourné dans le sanatorium pour les tuberculeux d'Abastumani, qui sert de pour représenter l'histoire de la Géorgie.
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Au printemps 2022, la réalisatrice se prépare à quitter la Russie, sa patrie qui a changé. Ce départ se transforme en une série d'adieux inattendus : sa mère meurt d'un cancer, son amant fuit la conscription militaire, et tout, y compris son ancien moi, s'effondre. Pour surmonter son chagrin, elle fixe tout avec son appareil photo.
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Des journalistes locaux s'intéressent à l'actualité et aux traditions culturelles d'une ville de Géorgie occidentale dans ce documentaire tragicomique de Salomé Jashi.
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En 1992, un peu plus d’un an après la proclamation d’indépendance de la Géorgie vis-à-vis de l’Union soviétique, débute la guerre d’Abkhazie. Ce conflit pousse à la fuite plus de 200 000 personnes et amène plusieurs milliers d’entre elles à trouver refuge à Tskaltubo. Dans cette ancienne station thermale de l’ère soviétique, ces réfugié·es s’installent dans des sanatoriums de luxe désormais abandonnés. Trente ans plus tard, l’hôtel Metalurg s’est vidé de ses hommes au fil des ans, mais il est toujours occupé par une communauté de femmes et leurs enfants. Alors que Khatuna, Dali, Tamar, Lika, Liana et les autres survivent parmi les ruines du passé soviétique et vivent avec l’espoir – de plus en plus ténu – de retourner un jour en Abkhazie, la mise en vente de l’hôtel bouscule leur vie.
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À travers quatre personnages aspirant à réaliser leurs rêves se dessinent trois Arménie. Il y a la conductrice d'ascenseur dans un hôpital désirant voyager dans l'espace, le fermier en quête d'épouse parfaite, et deux jeunes femmes queer et féministes qui souhaitent simplement vivre leur vie… en attendant les manifestations et les espoirs d'une révolution.
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Quel est le coût des demi-vérités que racontent les hommes politiques ? En 2012, le président géorgien voulait que la nation sourit. Dans la course à la réélection, le parti du président sortant promettait des soins dentaires subventionnés aux plus démunis. Dans tout le pays, les médecins de l'État ont commencé à enlever les dents cariées en promettant de les remplacer dans les mois suivant, puis le président a perdu l'élection. À travers des entretiens avec les personnes les plus touchées par cette campagne, Smiling Georgia raconte l'histoire des lubies du pouvoir politique et la défiance de ceux qui généralement se méfient le moins. Un film qui manque de dents, certes, mais qui a pourtant bien du mordant.
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Dans une vallée géorgienne infestée par le radicalisme, où la plupart des gens vivent dans la peur constante que leurs parents sacrifient leur vie au nom de Dieu, deux jeunes filles musulmanes découvrent le cinéma et décident de filmer leur quotidien.
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Petite, Maka Gogaladze était forcée de suivre des cours de piano qui la poussaient jusqu’aux larmes. Confrontée aujourd’hui, sa mère répond par l’argument d’un nécessaire apprentissage de la discipline. Partant de son expérience personnelle, la cinéaste observe avec un humour caustique les mécanismes de la mise au diapason par l’éducation d’une société entière, ici géorgienne.
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Jusqu’à 50% du manganèse mondial, un métal essentiel à travers le monde, était exploité à Chiatura, dans l’ouest de la Géorgie. Aujourd’hui, Chiatura ressemble à une ville fantôme apocalyptique. The City of Sun présente quelques-uns des habitants restants.
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Des travailleurs géorgiens risquent leur vie pour récolter des graines de sapin et des Danois, prospères, les font pousser pour vendre des arbres de Noël.
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Une réalisatrice lance un casting dans le but de rendre compte de ce qu'est grandir en Géorgie, son pays natal, et filme la vie quotidienne des participants.
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Ramin, alias Fantomas, un vieux champion de lutte libre, traverse la Géorgie en voiture pour se rendre sur la tombe de sa mère. Il devient alors témoin du lent déclin d’un sport qui, en son temps, fut l’un des plus populaires dans le Caucase.
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À Tbilissi, un petit monde de silence existe au cœur d’un des quartiers les plus bruyants du centre-ville. C’est l’école publique n°203, l’école des sourds-muets.
