Petite, Maka Gogaladze était forcée de suivre des cours de piano qui la poussaient jusqu’aux larmes. Confrontée aujourd’hui, sa mère répond par l’argument d’un nécessaire apprentissage de la discipline. Partant de son expérience personnelle, la cinéaste observe avec un humour caustique les mécanismes de la mise au diapason par l’éducation d’une société entière, ici géorgienne.