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Synopsis
Une chronique amusée et impertinente qui nous fait partager quelques mois de la vie des salles de cinéma indépendantes art et essai à la programmation exigeante. Le film parle de liberté, d'indépendance, des alternatives possibles aux multiplexes et à une normalisation programmée, du rôle des spectateurs dans un processus de résistance qui prend de l'ampleur et nous entraîne bien au delà du cinématographe...
Bande-annonce
J'aime la vie, je fais du vélo, je vais au cinéma Bande-annonce VF
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Intructif, frais, un document qui mêle le sport à la vie de tous les jours sinon de bureau, à l'image désormais de Pékin, Berlin mais aussi L.A. et San Francisco. Plaira surtout à Paris/région parisienne.
Le réalisateur se souvient : "Lors de la sortie de mon premier long-métrage, La Vallee des montreurs d'ours, j'avais assuré un grand nombre de projections débats dans les salles de cinéma en France. C'est de ce voyage-là, mais aussi de la sollicitation de l'équipe d'Utopia [réseau de salles de cinéma indépendantes] qu'est né le projet de ce film : parler de l'exploitation cinématographique dans un pays à tradition cinéphile."
Cinéma et lien social
Selon Francis Fourcou, le développement des multiplexes depuis le début des années 90 remet en cause l'une des fonctions essentielles de la salle de cinéma : la création de lien social : "L'impact de cette urbanisation ordonnée par la voiture est importante car cette évolution a des conséquences catastrophiques sur le lien social, sur la condition sociale des banlieues, plus généralement on peut observer un repli sur soi (...) Or, le cinéma -c'es
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Le réalisateur
J'aime la vie, je fais du vélo, je vais au cinéma est le deuxième long métrage de Francis Fourcou après La Vallee des montreurs d'ours (1997), documentaire sur les paysans d'une vallée ariégeoise. Il est l'auteur de plusieurs courts métrages sur le monde rural, notamment L'étoile du berger (1986) et Georges Rouquier ou la belle ouvrage (1992), consacré au réalisateur du mythique Farrebique. Citoyen engagé, il a été assistant du militant Peter Wat
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