Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Pendant la guerre Iran-Irak (1980-1988), un groupe de musiciens kurdes iraniens se lance à la recherche de Hanareh, une chanteuse à la voix magique qui est passée de l'autre côté de la frontière, au Kurdistan irakien.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'histoire de ce film nous emmène à voir la situation dans le Kurdistan Iranien an lendemain de la guerre Iran-Irak à travers un père et ses fils. On découvre l'état du pays et l'état d'esprit de la population. Tout est en ruine, en désolation, il y a les orphelins de guerre, les mutilés, les champs de mine, les bandits,...on apprend beaucoup de choses à travers des moindres détails.Mais au milieu de ce chaos, Mirza et ses fils ...
Lire plus
Comme pour de nombreux autres metteurs en scène, la réalisation de son deuxième film a été une expérience difficile pour Bahman Ghobadi. Tout juste honoré de la Caméra d'Or lors du Festival de Cannes 2000 pour Un temps pour l'ivresse des chevaux, le metteur en scène a enchaîné avec Les Chants du pays de ma mère, sur un film bien différent du précédent dans une veine plus truculent tout en gardant la même philosophie: en tant que cinéaste, il a
Lire plus
L'ironie de la guerre
Les avions irakiens sillonnent le ciel du Kurdistan. Pendant ce temps-là, juste en dessous, un instituteur tout droit sorti du Tableau noir fait la classe à ses élèves, en plein air. Quoi de plus naturel en somme que le thème de la leçon porte sur les avions? En guise de conclusion, Bahman Ghobadi nous montre l'une des images les plus enfantines qui soient: un lâché collectif d'avions en papier.
Dans l'ombre d'Abbas Kiarostami
Comme de nombreux cinéastes iraniens, Bahman Ghobadi nourrit une grande admiration pour Abbas Kiarostami. Mais avant même de réaliser son premier film, Un temps pour l'ivresse des chevaux, le futur cinéaste originaire du Kurdistan a même assisté Kiarostami sur l'un de ses tournages, celui du Vent nous emportera en 1998. A coup d'appels téléphoniques insistants, Bahman Ghobadi a réussi à convaincre Kiarostami, qui venait tout juste de recevoir u
Lire plus