Neuf courts métrages de jeunes réalisateurs européens dévoilent les faces lumineuses et les zones d’ombre de notre continent.
Programme :
- Un dimanche à Babylon de Sebastian Stern (Allemagne/République tchèque) : En 1991, alors que l’Est est encore une terra incognita, un ado bavarois en voyage en République tchèque avec ses parents rencontre une jeune fille de son âge. Malgré l’absence de langue commune, ils semblent se comprendre.
- À la croisée des continents d’Alex Schaad (Allemagne/Kazakhstan) : Rendant visite à son petit-fils en Allemagne, un vieux Kazakh vivant à la campagne reste bouche bée devant la société d’abondance qu’il découvre.
- Ma corres' et moi de Charlotte Regan (Royaume-Uni) : Une famille britannique s’apprête à accueillir la correspondante allemande de leur fille. L’adolescente, musulmane et voilée, devient la cible de brimades de ses nouveaux camarades.
- Comme un oiseau de Michaela Kezele (Croatie) : Dans un atelier de couture, une ouvrière ose s’élever contre les violences de son patron.
- Le Vieil homme et le seau de Tomasz Emil Rudzi (Pologne) : À Varsovie, un vieil homme aigri et homophobe se prend d’une amitié inattendue pour le propriétaire du bar gay installé sous son appartement.
- La Fuite en Europe d’Aline Fischer (France) : Une histoire d’amour naissante, à Paris, entre une artiste-peintre française et un reporter de guerre libanais.
- Qu'est-ce qu'on s'amuse de Lisa Brooke Hansen et Even Hafnor (Norvège) : Témoins d’une altercation entre deux femmes musulmanes et la vendeuse d’un snack, un couple de Norvégiens décide d’intervenir.
- L'Entrée de Laura Bispuri (Italie) : En entrant dans un luxueux immeuble de Rome par l’entrée principale, Patience, une femme de ménage, provoque un scandale.
- Le Loup du bois de Sofia Georgovassili (Grèce) : Un jeune Afghan échoué à Athènes parvient à se faire embaucher dans une menuiserie et à se faire adopter par la famille du patron – sans parler un mot de grec.