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Synopsis
Don Rafael Acosta et ses amis M. et Mme Thévenot, accompagnés de Florence, la sœur de madame, se rendent à dîner chez M. et Mme Sénéchal. À leur arrivée, ils s’étonnent de l’absence de feu dans la cheminée et constatent que la table n’est pas mise. C’est que les Sénéchal n’avaient pas noté la bonne date sur leur agenda. Ils décident quand même de se rendre dans un restaurant du coin mais son propriétaire vient de passer l’arme à gauche et repose dans la pièce d’à côté. Chaque fois que les six amis décident de se retrouver, une circonstance imprévue va interrompre leur repas...
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Venu dans l'Hexagone finir sa filmographie (après un retour d'exil du Mexique et alors que Franco, dirigeant de sa patrie, était à l'agonie), Luis Bunuel réalisa en 1972 "Le charme discret de la bourgeoisie", satire décapante des moeurs de personnages hautement placés dans la société, le tout teinté d'un surréalisme inspiré. Tout commence comme une comédie noire et grinçante un peu théâtrale où les dialogues remarquablement ...
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Grouchy
124 abonnés
1 033 critiques
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4,0
Publiée le 1 mai 2013
Inspiré du surréalisme et du culte de l'absurde, Bunuel réalise un film choral nettement supérieur aux semblables du genre, qui plus est dans un huit clos constant ( dans plusieurs salles à manger ) ; il dresse une moquerie des classes bourgeoises, reprochant l'hypocrisie ( la dispute entre Piéplu et Ray ), le mauvais goût ( le chapeau de Napoléon ). Il brise les séparations entre le réel et le rêve, où finalement, à la fin, nous ne ...
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max6m
72 abonnés
180 critiques
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4,0
Publiée le 15 décembre 2009
Certes, "Le charme discret de la bourgeoisie" est une caricature de la bourgeoisie, de l’armée et de l’église. A cet égard, le film est moins réussi que ne pouvait l’être "L’ange exterminateur": la caricature y est souvent simpliste et l’on y retrouve pas la finesse de ton et d’esprit du film mexicain. On sent bien que c’est autre chose, au-delà de la satire, que veut exprimer le cinéaste. Malgré que les personnages soient ...
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Tanezir
34 abonnés
583 critiques
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5,0
Publiée le 7 février 2010
Buñuel présente ici avec cynisme et non sans succès les derrières de la bourgeoisie. Il manie très bien le comique de situation en créant une histoire sans queue ni tête qui réussi plus ou moins à faire perdre pied au spectateur. Les tréfonds des âmes de ces bourgeois coincés, révélé par leur rêve le plus fou. On sourit de nombreuses fois. Le film est plaisant et passe comme une lettre à la poste. Ni plus ni moins.
A l'instar d'Un Chien andalou (1928) et de L'Âge d'or (1930), le titre du Charme discret de la bourgeoisie se construit sur une improbable association de mots discordants. Cela participe, selon les termes de Luis Buñuel, d'une démarche surréaliste.
Carrière le fidèle
Ce n'est pas la première ni la dernière fois que Luis Buñuel écrit un scénario conjointement avec Jean-Claude Carrière. Au moment de plancher sur celui du Charme Discret de la Bourgeoisie, les deux hommes se connaissent depuis de longues années. Le Journal d'une femme de chambre (1964) marque leur première association, suivie de Belle de Jour (1966) et La Voie lactée (1969). Après Le Charme discret..., ils retravailleront ensemble sur le scénario
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Cinq scenarii pour un repas
Le scénario du film a nécessité une longue préparation pour Luis Buñuel et Jean-Claude Carrière. Pas moins de cinq versions différentes ont même été écrites.