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Synopsis
Ken Harrison est un sculpteur, jusqu'au jour où il se retrouve impliqué dans un accident de voiture, qui le paralyse. Il ne lui reste que l'usage de la parole et entreprend des démarches judiciaires pour avoir le droit de mourir.
John Badham a touché à tout dans sa carrière. Il a fait du coming-of-age (Saturday Night Fever), du film d’horreur (Dracula), de la comédie (Bingo Long Travelling All-Stars). Donc on ne sait jamais où l’attendre.
Quand on le voit donc à la tête d’un drame psychologique avec un Richard Dreyfuss qui assure n’avoir aucun souvenir du tournage de ce film (effet de son addiction à la drogue dans les années 1980), on n’est pas ...
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chrischambers86
13 952 abonnés
12 478 critiques
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3,5
Publiée le 2 février 2014
Avec son savoir faire, son à propos visuel, son sens critique, John Badham se place dans le peloton de tête de ces cinèastes agissant, sur commande et dont la volontè est d'exprimer des actes et non des idèes! Le père Badham en a des idèes, lui aussi se mèfie des institutions vieillottes, de l'armèe, d'un avenir compromis! Les rèussites que sont "Short Circuit", "Wargames" et "Blue Thunder" se ressemblent à bien des ègards! Dans la ...
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cinono1
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2 064 critiques
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2,0
Publiée le 15 juillet 2013
Tiré d'une pièce de théatre, ce film en retrouve les qualités et les défauts. C'est brillamment écrit et de plus interprété par un génial Richard Dreyfuss, facétieux patient auquel on goute les saillies verbales mais hélas le film, en plus de ne pas faire ressentir la douleur physique, finit par prendre le tour d'un grand débat autour du choix de fin de vie. Et le discours de prendre le pas sur le ressenti, d'ou un film mi-figue mi-raisin.
AliceL
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82 critiques
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3,0
Publiée le 27 février 2013
Un mélo un brin démago (avec son héros plus que parfait dans l’épreuve), mais dont on ne peut nier l’efficacité dramatique. Cela vient autant de l’écriture, assez alerte, que du duo Dreyfuss/Cassavetes qui fait des étincelles. Les excès de lyrisme de la mise en scène sont plus regrettables...
Avant de passer devant la caméra de John Badham et d'interpréter Ken Harrison sur grand écran, l'acteur Richard Dreyfuss lui a demandé de le mettre en scène dans une pièce de théâtre qui deviendrait ensuite le film. A l'été 1980, la pièce a donc été montrée au Williamstown Theatre Festival, dans le Massachusetts.
Tournage fantôme
Le tournage ne fut pas de tout repos pour Richard Dreyfuss : alors en pleine période de toxicomanie, il ne pouvait tourner que 2 à 3 heures par jour. Des années plus tard, il dira ne plus du tout se souvenir avoir tourné ce film, tant il était dans un état second !
Noir et blanc en couleur
Le cinéaste John Badham tenait à ce que C'est ma vie, après tout soit tourné en noir et blanc mais le directeur du studio producteur, la MGM, n'était pas de cet avis. Le compromis fut de tourner le film en couleur et de le passer en noir et blanc lors de la phase de post-production. Après deux projections en Californie où le film était montré dans les deux versions, celle colorisée, plébiscitée par le public, fut finalement choisie.