Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
chrischambers86
13 613 abonnés
12 377 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 14 novembre 2018
L'une des meilleures comèdies musicales de tous les temps! Tirè du best-seller d'Anita Loos, "Gentlemen Prefer Blondes" de Howard Hawks consacre, en 1953, les qualitès de Jane Russell, aux côtès de Marilyn Monroe dont on fit une sorte de retardèe mentale, une grande naïve en tout cas avec son physique de poupèe vulgaire! Cette dernière a une façon bien à elle d'expliquer certains jeux èrotiques à un vieux richard èbloui, incarnè ici par le formidable Charles Coburn! Russell (la brune) et Monroe (la blonde) traquent le millionnaire et finiront - pour l'une d'entre-elles - par èpouser un homme sans le sou! Hawks montra une fois de plus qu'il ètait capable de diriger de main de maître un film où chansons inoubliables (« Diamonds are a Girl's Best Friend ») et numèros fabuleux (« Ain't There Anyone Here for Love ? » ) sont extrêmement importants! En tout cas les deux comèdiennes, sans conteste, sont absolument parfaites! Extraordinaire dans ses numèros, Jane & Marilyn entre avec ce nouveau chef d'oeuvre de Hawks dans la lègende du cinèma...
On peut dire que ce film aura eu le mérite de m’étonner. Pensez, moi qui n’apprécie que peu les comédies musicales et Marylin Monroe j’ai bien aimé. Déjà pour une comédie musicale il n’y a pas tant de chansons que ça, 5-6 en gros, donc comme ça ne chante pas sans cesse ça passe beaucoup mieux. Tant mieux pour l’ensemble car Marylin n’a pas une belle voix, quant aux paroles c’est limite. Bon on notera les 2 principales « Diamonds are girls best friend » qui résume bien l’état d’esprit de l’héroïne, et « Bye bye Baby » que j’ai nettement préféré (oui c’est la pub d’Evian). La musique sinon reste pas mal mais sans apporter grand-chose de plus. Il faut noter qu’elle s’insère bien dans les scènes, trop peu fréquent dans ce style de production pour être souligné. Autre point important : les chansonnettes ne sont pas tout, il y a une histoire, et comme c’est rare dans ce genre je me permets de le souligner. Cette opposition de deux styles d’amour, existant bien à l’époque, est une bonne trouvaille qui aurait même pu être creusée d’avantage sans gâcher quoi que ce soit. Après c’est pas un truc sensationnel, mais c’est bien construit, on ne s’y perd pas, et le « twist » final avec l’explication de Marylin m’a scotché perso. La trame est du même acabit, les décors assez moyens (le Paris carte postale tant décrié) et l’humour passable. Par contre les dialogues sont un peu cuculs, très 70’s et pas passionnants, néanmoins le rythme tient bien et les longueurs sont peu présentes. Même si cela reste un peu un « film de filles », romantique et comédie musicale, je pense que tout le monde peut y trouver son compte tant il reste bien fait.
Comme le dit si bien Henry Spofford III, Marilyn dégage un si puissant magnétisme animal que sa seule présence garantit un grand intérêt à "Les Hommes préfèrent les Blondes", comédie musicale liant amour et argent de façon magistrale. Lorelei Lee est ainsi une femme d’un charme fou mais aussi d’une vénalité sans limite, à tel point qu’elle en est désopilante. Mais le film ne serait pas une telle réussite si le couple qu’elle forme avec Jane Russel, tout autant excellente, n’était pas aussi harmonieux. Les deux femmes arpentent le long-métrage avec l’assurance et la joie de vivre des grandes vedettes de l’âge d’or hollywoodien, le transformant en l’un des grands films marquants de cette époque. La mise en scène de Howard Hawks, surtout, achève de faire de "Les Hommes préfèrent les Blondes" un véritable chef-d’œuvre : les cadres sont soignés, les décors colorés et éclatants, au diapason avec le goût pour le luxe de Lorelei, et les chorégraphies magnifiques – celle dans la salle de gymnastique laisse bouche bée. C’est drôle, c’est frais, c’est divertissant, mais c’est surtout très beau.
Unique comédie musicale signée Howard Hawks, il ne lui en aura fallu pas plus pour signer une merveille du genre. C'est simple : tout est parfait. Du phénoménal duo Marilyn Monroe - Jane Russell (même si la première mange quand même un peu l'autre) à la réalisation prodigieuse de Hawks, du scénario aux petits oignons aux dialogues constamment savoureux, de la drôlerie des situations aux somptueuses couleurs en passant par un rythme virevoltant, le plaisir est constant, mieux : c'est un véritable régal, visuel et auditif. Car il ne faudrait surtout pas oublier les virevoltants numéros, tous éblouissants (« Ain't There Anyone Here for Love ? » un petit cran en-dessous quand même), avec en point d'orgue le mythique « Diamonds are a Girl's Best Friend » par la sublime Marilyn, avec pourtant une petite préférence me concernant pour le non moins génial « Bye Bye Baby », immense moment de cinéma. Cerise sur la gâteau, l'œuvre s'amuse follement à jouer avec les tabous de l'époque tant elle est sensuelle et délicieusement amorale (Lorelei aime les hommes fortunés et l'assume spoiler: sans que la moindre « prise de conscience » ne vienne la remettre dans le droit chemin : que c'est bon (et drôle) ! Non, vraiment, « Les Hommes préfèrent les blondes » est de ces films qui ravivent en nous la passion du septième art et ne faisant pas les choses à moitié. L'âge d'or, le vrai. Chef-d'œuvre.
Le gros atout de ce film, c'est son tandem d'actrices principales : Marylin Monroe et Jane Russel, qui enflamment littéralement la pellicule ! Les seconds rôles sont un tantinet moins convaincants, mais le problème n'est pas la. On a beau avoir affaire a Howard Hawks, qui est un grand cinéaste, ce film est extrêmement plat. Le scenario n'offre pas le moindre rebondissement, parvient a ennuyer, et jamais on ne rigole (dommage pour une comédie). Les chansons ne sont pas tellement mauvaises, mais manquent un peu d'originalité... Le film en lui même manque cruellement d'originalité, il malgré une excellente mise en scene. On a du mal a se laisser emmener, certaines chorégraphies frisent le ridicule, c'est presque désagréable. Et le gros problème de "Les Hommes Préfèrent Les Blondes" c'est qu'il a un certain penchant pour la Misogynie : La blondes pas maline (qui a tendance a etre un peu sur-jouée par la belle Marylin, malgré que la présence de cette actrice soit tres réconfortante) qui ne pense qu'a l'argent, et la brune mangeuse d'homme... C'est inconsciemment vulgaire, et en voulant offrir une caricature amusante, le film présente rien de plus que des personnages inintéressants.
Une comédie drôlement agréable ponctuée de chouettes séquences musicales. Marylin Monroe est magnifiquement pétillante et même si le scénario n'est pas d'une grande originalité, le film fonctionne et on passe un instant délicieux ; j'ai beaucoup aimé la scène du tribunal en France.
Une comédie plus pétillante que drôle,c'est avant tout la bonne humeur qui règne sur ce film plutôt qu'une avalanche de gags. Le duo formé par Jane Russell & Marilyn Monroe fonctionne parfaitement. Et contrairement à beaucoup d'autres films musicaux Hawks, insère parfaitement les passages chanté au déroulement de l'histoire. Les hommes préfèrent les blondes est un agréable moment et charmant moment de cinéma.
Howard Hawks n’a fait qu’une seule comédie musicale dans sa carrière et cela est regrettable quand on voit à quel point Les Hommes préfèrent les blondes est génial. À l’exception d’une insertion de générique originale (il apparait en plein milieu d’une chanson qui reprend après au point où elle s’était arrêtée), nous sommes face à une comédie musicale des plus classiques dans son aspect (Howard Hawks a toujours revendiqué une mise en classique mais constamment efficace) mais assez audacieuse dans son histoire puisque le film regorge de sous-entendus sexuels ("Celles-là ne peuvent pas couler !", "vous avez énormément de magnétisme animal"...) et car il se permet de montrer des personnages féminins qui feraient bondir les féministes d’aujourd’hui puisque l’une des héroïnes ne s’intéresse qu’à l’argent chez les hommes (principe annoncé dès la chanson d’ouverture) tandis que la seconde essentiellement à leurs physiques. Toutefois, ces caricatures ne sont pas surprenantes (il faut dire que les hommes ne sont pas mieux traités) car le film ne cherche nullement le réalismespoiler: (Paris y est complètement irréaliste tout comme la séquence du procès se déroulant directement à la suite de l’arrestation, au cours duquel on peut danser et où l’accusée peut être une usurpatrice d’identité sans trop s’inquiéter et que cela soit repéré par la justice) . Ce qui compte c’est de rendre le public heureux et Howard Hawks y arrive totalement grâce à un humour constamment présent et efficace, à des chansons géniales, à une débauche de décors luxueux et colorés (le numéro Diamonds are a girl’s best friend en est un parfait exemple) et au duo d’actrices principales. Il faut noter que si Jane Russell apparait en premier dans le générique (Niagara qui avait réellement rendu Monroe célèbre, malgré une vingtaine de films à son actif, n’était sorti que six mois plus tôt), c’est Marilyn qui vole la vedette à sa partenaire grâce à son interprétation de ravissante idiote vénale car elle est hilarante, parfaite dans les numéros musicaux et éblouit l’écran à tout instant : ce n’est pas pour rien qu’elle reste une icône du cinéma plus de 50 ans après sa disparition. Film absolument génial et extrêmement drôle, Les Hommes préfèrent les blondes est un chef-d’œuvre qui rend heureux à chaque vision et reste une des meilleures comédies musicales de l’histoire du cinéma.
Un bonheur pour les yeux et les oreilles. Marilyn est sublime et hilarante dans le registre de l’autodérision. Le duo qu’elle forme avec Jane Russell est d’une complémentarité parfaite. Les dialogues sont brillants, les costumes et décors d’une beauté absolue et les numéros musicaux sont mémorables sans être envahissants. Je trouve ce récit très féministe dans sa manière de montrer non seulement qu’aucune femme n’a vocation à servir de définition au genre féminin tout entier, mais aussi que chaque femme est un être multiple, qui résiste aux jugements hâtifs. Même en robes de mariée, Russell et Monroe dégagent une liberté folle. Seul petit point faible: après un démarrage en trombe, on perd un peu le rythme vers le milieu du film, à cause d’un scénario légèrement en dessous du reste.
Excellent film qui ne perd pas le rythme, du début à la fin on est emporté par le jeu des actrices (de vraies beautés) et des acteurs, de la musique, des costumes... Un superbe divertissement.
"Les hommes préfèrent les blondes parce que les blondes savent ce que les hommes préfèrent". Alors que l'une, la blonde et naïve Lorelei, est attiré par les diamants et les hommes riches, l'autre la brune Dorothy, est plus "croqueuse d'homme" et plutôt intelligente. Elles sont toutes deux danseuses vedettes et qui vont embarquer pour un voyage aux frais du futur époux de Lorelei, mais elle est surveillé par un détective privé engagé par le père de celui-ci. Howard Hawks signe là une comédie musicale, montrant une fois de plus sa capacité à jongler avec divers genres cinématographique et si on a pas à faire à un chef d'oeuvre ou l'un de ses meilleurs films (en même temps la concurrence est plutôt rude !), "Les Hommes préfèrent les blondes" de révèle être une bonne comédie plutôt sympathique. Si on peut regretter que la trame soit un peu trop classique et notamment sans surprise, elle est bien écrite, tout comme les dialogues et la galerie de personnages à laquelle on a a faire, des deux danseuses que tout oppose, au détective privé en passant par le gamin de 10 ans déjà très riche. Hawks aborde des thèmes tels que le sexe, l'argent, l'avidité souvent censuré à l'époque pour ce genre de films. Il braque sa caméra sur ses deux belles actrices et elles le lui rendent bien, Marilyn Monroe joue pour une énième fois ce genre de rôles, mais toujours parfaitement (bien que l'on puisse la préférer chez Wilder) et Jane Russell est impeccable et serait pas loin de voler la vedette à sa partenaire. Quelques touches d'humours, peut être pas assez et des numéros musicaux réussi feront le reste. Finalement, on reste un peu sur notre faim, c'est léger, sympathique ou encore charmant, mais venant de Hawks on aurait pu s'attendre à mieux, juste un bon film.
J'ai énormément de mal avec les comédies musicales. Je trouve ça idiot généralement (la façon dont tout le monde se met à danser sans raison), et surtout ça vieillit très très mal. Et ce film ne fait pas exception à la règle : les passages de comédie musicale sont vraiment très très kitchs, il faut adhérer. Et curieusement, ce n'est pas ce qui m'a le plus dérangé dans le film. Non, ce qui m'a dérangé, c'est l'histoire. Elle ne me captive pas, ne m'intéresse pas. Je la suis sans forcément m'ennuyer, mais cette histoire de filles qui...cherchent l'amour grosso modo moi je m'en fiche. D'autant plus que les personnages ne sont pas assez travaillé : la brune est la plus intéressante, mais est trop délaissée au profit de la blonde (j'y reviendrai), le détective privé est transparent, le millionnaire aussi... Restent quelques personnages secondaires interessants (le gosse ou le vieux propriétaire de diamants). Puis la blonde...j'avais envie de rentrer dans l'écran pour la baffer tant le personnage est insupportable de matérialisme (malgré le fait qu'il soit joué par la charmante Marilyn). Au final je n'ai pas passé un mauvais moment, mais je n'ai pas non plus aimé.
Le film est superbe visuellement: un Technicolor flamboyant magnifié par des costumes d'une grande beauté. L'histoire est assez charmante et les chansons apportent une touche de fantaisie agréable. J'ai retenu cette jolie phrase dans la bouche de cette croqueuse de diamants : "la richesse de la femme c'est sa beauté ". L'homme n'a pas besoin d'être beau pourvu qu'il soit riche!!!! Marilyn est parfaite dans ce rôle de fausse ingénue et elle pétille dans son jeu. Sympathique