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Votre avis sur Lonesome Jim ?
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Nouvelle tendance du cinéma :
les abrutis égoïstes , chômeurs, éjaculateurs précoces sont très recherchés par les jeunes mères célibataires !! Finies les romances avec des types riches, drôles et attentionnés : complètement démodées !
Donc Anika, douce et serviable infirmière, va forcément être subjuguée par Jim, dépressif ayant dû quitter New-York pour revenir squatter chez Papa-Maman, irrésistible au point de conseiller à son frère tout autant asthénique de se suicider, ce qu'il fait en se ratant lamentablement !
Très tendance, les familles de crétins, la mère surprotectrice, l'oncle dealer qui plonge tous le monde dans la panade.
On pardonnera à Belushi pour la tendresse qu'il conserve à tout son monde, vacherie de vie mais on se pardonne et on s'aime quand même...
les abrutis égoïstes , chômeurs, éjaculateurs précoces sont très recherchés par les jeunes mères célibataires !! Finies les romances avec des types riches, drôles et attentionnés : complètement démodées !
Donc Anika, douce et serviable infirmière, va forcément être subjuguée par Jim, dépressif ayant dû quitter New-York pour revenir squatter chez Papa-Maman, irrésistible au point de conseiller à son frère tout autant asthénique de se suicider, ce qu'il fait en se ratant lamentablement !
Très tendance, les familles de crétins, la mère surprotectrice, l'oncle dealer qui plonge tous le monde dans la panade.
On pardonnera à Belushi pour la tendresse qu'il conserve à tout son monde, vacherie de vie mais on se pardonne et on s'aime quand même...
Film indépendant plutôt réussi à la fois cynique et touchant !!! Les acteurs sont très bons et on passe un agréable moment !! Drôle et sombre !!!
J'aime bien le cinéma indépendant américain, mais quand c'est fait de façon intelligente, pas quand chaque plan est estampillé "fait pour Sundance".
Le film est intéressant quand il ne cherche pas à complaire le spectateur - c'est à dire quelques moments dans sa première partie - quand il montre l'égoïsme froid et dur de ses personnages sans chercher à moraliser la situation. Mais cette maigre chose est complètement enlevée de la seconde partie, gommée, rectifiée. Il ne reste alors plus qu'un film tamponné pour être conforme aux critères du film indépendant américain. Mais Lonesome Jim n'a rien à proposer en fait. C'est ça qui est triste. Car cette histoire, racontée de cette façon, on la connait cinquante fois. Et là où il arrivait à proposer quelque chose de cruel dans ses débuts est complètement terni par la suite. Il ne reste plus grand chose. C'est triste à dire mais cette histoire on finit par s'en foutre, elle n'a plus aucun intérêt, elle n'a pas d'enjeux. Même les acteurs sont assez approximatifs, j'aime bien pourtant Casey Affleck, mais là il n y a aucune subtilité dans son jeu - c'est à l'image du film en même temps -. Bref, Lonesome Jim n'est que ce qu'il voulait être, un produit calibré pour Sundance. Mais il en oublie l'essentiel, celui de faire du cinéma.
Le film est intéressant quand il ne cherche pas à complaire le spectateur - c'est à dire quelques moments dans sa première partie - quand il montre l'égoïsme froid et dur de ses personnages sans chercher à moraliser la situation. Mais cette maigre chose est complètement enlevée de la seconde partie, gommée, rectifiée. Il ne reste alors plus qu'un film tamponné pour être conforme aux critères du film indépendant américain. Mais Lonesome Jim n'a rien à proposer en fait. C'est ça qui est triste. Car cette histoire, racontée de cette façon, on la connait cinquante fois. Et là où il arrivait à proposer quelque chose de cruel dans ses débuts est complètement terni par la suite. Il ne reste plus grand chose. C'est triste à dire mais cette histoire on finit par s'en foutre, elle n'a plus aucun intérêt, elle n'a pas d'enjeux. Même les acteurs sont assez approximatifs, j'aime bien pourtant Casey Affleck, mais là il n y a aucune subtilité dans son jeu - c'est à l'image du film en même temps -. Bref, Lonesome Jim n'est que ce qu'il voulait être, un produit calibré pour Sundance. Mais il en oublie l'essentiel, celui de faire du cinéma.
Dur pour sa réputation d'être le frère du plus mauvais acteur d'Hollywood !
Surtout quand on est beau comme un dieu, enfin, ça devrait pas être si dur que ça pour la suite de sa carrière.
En plus de l'intelligence, on sent qu'il démarre son travail quand il a suffisamment vécu pour exprimer quelque chose. Et le scénario élaboré par l'excellent Buscemi le sert parfaitement.
Le sujet et la bande annonce promet un grand moment de déprime, mais c'est (à part une grande part de puérilité dans la conclusion un peu facile) un grand moment de joie. De voir le looser complet qui ne doit son manque d'aigreur qu'à sa paresse et ses siestes assommantes.
C'est surtout le portrait d'un adulescent trop intelligent pour avoir envie de faire son bout de chemin puisqu'il a déjà tout compris. Seule la "surprise" de l'amour lui viendra en aide pour ne pas choisir le suicide ou la débâcle.
C'est gentillet, plein d'anecdotes savoureuses, plein d'humour à la fois ado et familial, avec ce qu'il faut d'action pour ne pas s'emmerder comme dans tant de films pseudo-intellos.
Un grand bravo à Liv Tyler, toujours aussi parfaite dans les rôle de cinéma indé, mais pour une fois dans un bon film indé US !
Vivement que Lynch, Spike Lee ou Triers s'intéressent à elle avant qu'elle ne soit lassée de ne voir son physique rare uniquement exploité dans les blockbusters.
Surtout quand on est beau comme un dieu, enfin, ça devrait pas être si dur que ça pour la suite de sa carrière.
En plus de l'intelligence, on sent qu'il démarre son travail quand il a suffisamment vécu pour exprimer quelque chose. Et le scénario élaboré par l'excellent Buscemi le sert parfaitement.
Le sujet et la bande annonce promet un grand moment de déprime, mais c'est (à part une grande part de puérilité dans la conclusion un peu facile) un grand moment de joie. De voir le looser complet qui ne doit son manque d'aigreur qu'à sa paresse et ses siestes assommantes.
C'est surtout le portrait d'un adulescent trop intelligent pour avoir envie de faire son bout de chemin puisqu'il a déjà tout compris. Seule la "surprise" de l'amour lui viendra en aide pour ne pas choisir le suicide ou la débâcle.
C'est gentillet, plein d'anecdotes savoureuses, plein d'humour à la fois ado et familial, avec ce qu'il faut d'action pour ne pas s'emmerder comme dans tant de films pseudo-intellos.
Un grand bravo à Liv Tyler, toujours aussi parfaite dans les rôle de cinéma indé, mais pour une fois dans un bon film indé US !
Vivement que Lynch, Spike Lee ou Triers s'intéressent à elle avant qu'elle ne soit lassée de ne voir son physique rare uniquement exploité dans les blockbusters.
Steve Buscemi est un acteur que j'adore, et il ne se débrouille vraiment pas mal du tout à la mise en scène, mais malheureusement, le scénario de "Lonesome Jim" ne présente pas beaucoup d'intérêt. Beaucoup de clichés dans ce film : un loser déprimé, sa mère surprotectrice, la rivalité avec son frère tout aussi déprimé, son père effacé, la fille avec laquelle il couche, etc... "Lonesome Jim" n'est au final qu'une énième chronique de loser, lente et déprimante, si bien qu'une fois le film fini, on a envie de parler comme Casey Affleck (décidément incapable de toute nuance). Il est évident qu'on ne se rappellera pas de Buscemi pour ça...
Julien D
Partant sur le pitch classique du fils qui revient dans son village d'enfance, Steve Buscemi, nous prouvant que ses talents ne sont pas ceux d’un acteur éclectique, nous signe un beau film indépendant où il filme superbement -grâce à une photographie très colorée- un jeune homme en plein trouble psychologique face à des soucis familiaux délicats et dont les seules branches auxquelles il peut se raccrocher sont sa passion pour la littérature la plus déprimante qui soit et cette belle infirmière mais avec qui une relation semble tout aussi difficile. Bref, il s'agit de la création d’une atmosphère dure à vivre au quotidien mais servant de cadre à une bien belle œuvre.
Un film assez réaliste sur la vie près du tournant de la trentaine : les désillusions, les questionnements, la confrontation à l'échec... Il met parfois mal à l'aise tant son anti-héros agit comme un véritable égoïste qui ne pense qu'à échapper à ses responsabilités. Dans Lonesome Jim, tout concourt à prendre le spectateur à rebrousse-poil, a ne pas céder à la facilité scénaristique ou narrative ; pas de voix-off explicative, pas de fantaisie absurde, pas de bande-son tonitruante, mais du quotidien pas joyeux, même tendrement mortifère.
Un film lent, mais dans le bon sens du terme. Une ambiance particulière s'en dégage et le héros, malgré ses défauts, est très attachant. Liv Tyler est toujours aussi ravissante. Et comme dit le héros : "Je ne cours jamais, car on a l'air bête quand on court."
Un film touchant, bouleversant qui fait passer du rire aux larmes comme on la si bien dit. Un des meilleurs films de lannée sans aucun doute (après Va,vis,deviens). Un film curieusement surtout centré sur les femmes : Anika dont la simplicité et générosité redonne un nouveau sens à une vie, et surtout la mère dans laquelle il découvre un être exceptionnel que la forêt de « fruits pourris » tentait de lui dissimuler depuis ladolescence. Car cest finalement cela tout le sujet de ce film, un homme qui renoue avec son passé, qui repart à sa redécouverte pour le réparer et finalement lui redonner un sens.
Derrière cette descente dépressive vertigineuse, cest donc le meilleur des remèdes à toute névrose ou tentation dépressive que ce film inculque, et surtout loin de tout humanisme béat à être sensible et à remarquer cet humanisme et exceptionelle générosité présente chez des gens souvent simple et ordinaires qui sont souvent loin de cette « anormale normalité », pour paraphraser Huxley, que revendique notre société.
Derrière cette descente dépressive vertigineuse, cest donc le meilleur des remèdes à toute névrose ou tentation dépressive que ce film inculque, et surtout loin de tout humanisme béat à être sensible et à remarquer cet humanisme et exceptionelle générosité présente chez des gens souvent simple et ordinaires qui sont souvent loin de cette « anormale normalité », pour paraphraser Huxley, que revendique notre société.
Décidément en ce moment on dort bien au cinéma !
Superbe !!! je viens juste de voir ce film je l'ai trouvé simple mais terriblement efficace belle histoire j'ai adoré Casey Affleck dans ce rôle de mec blasé de la vie et qui retrouve le gout de vivre grâce a la sublime Liv Tyler toujours aussi belle voila un film a voir peut être pas pour la richesse du scénario mais pour la superbe interprétation des acteurs !!
Atmosphere assez sombre pour cette nouvelle realisation de Buscemi qui brosse le portrait d'un jeune depressif de retour dans sa ville natale.Coincé entre une mere poule et un frere ainé bien looser (son divorce ,l'equipe de basket...) ,les relations conflictuelles ne manquent pas de ressurgir au coeur du foyer familial ,rajouté a cela un rythme tres lent et une BO a l'harmonica jolie mais ultra melancolique et la depression guette.Pour contrebalancer cette ambiance morose ,l'on peut compter sur la presence lumineuse de l'hyper sensuelle et talentueuse Tyler en mere celibataire dynamique tout comme celle bien delirante de l'oncle dealer.Bien que par moment ,l'envie de le secouer un peu nous taraude ,c'est plutot un sentiment de tendresse qui domine pour ce grand gamin qui se cherche incarné par la revelation du film : Casey Affleck (frere cadet du surestimé Ben) qui promene sa nonchalance et son regard triste avec un talent certain qui lui promette un bel avenir.
Bien que le thème de l’individu nouvellement arrivé dans une ville ait déja été traité auparavant; ici de nouveaux éléments entrent dans cette comédie dramatique sympatique et on suit ce solitaire et mélancolique Jim, cotoyant notamment ces groupes dont les membres ne l' incluent pas, de préférence, à l’intérieur. Une trame psychologique qui fait s’interroger enfin les sequences très réalistes montrant des "ploucs" principalement occupés à singer ces people restent des perles parmi d'autres, avec bien sûr les reflexions cyniques et désabusées sinon l’incomprehension que provoque une activité artistique.
On donne de la merde aux gens et ils la gobent. Aller, mangez, mangez, mâchez, mastiquez...
caro18
Les deux frères dépriment et nous on s'ennuie.
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