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Chris46
511 abonnés
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3,0
Publiée le 28 novembre 2017
" Halloween 5 , la revanche de Michael Myers " cinquième volet de la saga " Halloween " .
Un an a passer depuis que Michael Myers a tenter de tuer sa nièce Jamie ( Daniele Harris ) . Il avait été abattu par la police mais il a réussit à s'échapper en s'enfuyant par un canal mais il est gravement blesser . il est recueilli par un ermite qui va le soigner pendant une année entière . A son réveil il tue celui qu'il l'a hébergé et reprend sa traque pour tuer la jeune Jamie . Le docteur Loomis ( Donald Pleasence ) va une nouvelle fois tenter de l'arrêter ...
Suite au succès de " Haloween 4 " les producteurs ne perdent pas de temps pour lancer un 5e opus dans la foulée pour surfer sur le succès du 4e opus . La réalisation de ce 5e volet est confié au réalisateur Dominique Othenin- Gérard . Bon que vaut ce 5e opus de la franchise ? Il est plutôt pas mal dans l'ensemble . Le film reprend au même endroit où c'est terminer le film précédent avec Michael abbattu par les flics mais qui va réussir à s'enfuir par un canal . Tandis que Jamie est conduit dans un hôpital psychiatrique pour avoir poignarder sa mère adoptive avec un couteau . Après cela une année va passer et Michael Myers soignée de ses blessure par un ermite va reprendre sa traque pour tuer la jeune Jamie . Bon l'histoire est classique mais efficace et dans la continuité du précédent avec Michael Myers qui va continuer de traqué la jeune Jamie donnant lieu à son lot de suspense , d'angoisse de frayeur et de quelques séquence horrifique gore . le problème de ce film c' est qu'ils n'ont pas exploiter le retournement de situation finale du film précédent avec Jamie qui tuait sa mère adoptif . Ils ont fait totalement marche arrière en nous montrant que Jamie avait finalement seulement blessé sa mère adoptif et que si elle l'avait poignarder c'était uniquement à cause de Michael Myers qui l'a pousser à commettre cette acte car ils sont lié par un lien psychologique et il peut la contrôler psychologiquement ce qui fait d'ailleurs basculer un peu plus la franchise dans le fantastique . Moi je pensait qu'elle avait péter un cable et était devenu aussi tarer que Michael Myers après les événements qu'elle avait vécu qui l'avait traumatisé . Ou alors que c'était dans les gènes des Myers de devenir criminel . Les producteurs ont fait marche arrière car il ne voulait pas que Jamie devienne la nouvelle méchante du film car les spectateurs voulait selon eux voir beaucoup plus de Michael Myers à l'écran . Ils ont essayé le changement avec " Halloween 3 " en écartant le personnage de Michael Myers et sa ne leur a pas vraiment réussit alors ils n'on pas tenter le risque de mettre une Jamie tueuse en avant au profit de Michael Myers reléguée au second plan voir totalement écarter . Je trouve vraiment dommage qu'il n'est pas exploiter le final de la saison 4 j'aurais aimer voir Jamie en mode " Michael Myers " et puis surtout sa casse tout le côté effrayant et dramatique du final de l'épisode 4 . Bon sinon le film , malgré une première partie un peu longuette , est un slasher classique mais plutôt efficace dans l'ensemble surtout dans sa deuxième partie
spoiler: quand Michael Myers retrouve la trace de Jamie et qu'il la traque
avec quelques séquences efficaces mélangeant suspense et angoisse comme
spoiler: celle où Michael Myers poursuit la jeune Jamie avec sa voiture ou la scène avec jamie coincer dans le monte-charge avec Michael Myers qui tente de la dézinguer
. C'est un slasher efficace même si certains personnages du film sont fade , mal jouer et nous gonfle comme les deux flics du film . Heureusement que le film est toujour porter par Donald Pleasence qui est toujour bon dans son rôle du Docteur Loomis qui continue de traqué le tueur Michael Myers toujour autant décider à éliminer sa nièce Jamie toujour très bien interpréter par la jeune Danièle Harris . La fin du film est très intriguante et laisse la porte ouverte à un 6e opus
spoiler: avec un mystérieux homme en noir qui décide de libérer Michael Myers de sa cellule . Qui peut bien être cette homme ? Et pourquoi a t'il libérer Michael Myers ?
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3,5
Publiée le 16 janvier 2012
Privilègiant la tension aux effets spèciaux sanglants, le cinèaste suisse Dominique Othenin-Girard travaillant aux Etats-Unis et, surtout connu pour avoir dirigè ce cinquième opus de Michael Myers, joue ici la carte de l'angoisse avec ce thriller fantastique dont il cosigne le scènario! Affublè de son èternel impermèable, Donald Pleasence y reprend le rôle du docteur Loomis, ennemi jurè de Michael Myers, l'indestructible tueur d'Halloween au masque blanc qui s'en prend ici à sa propre nièce, une fillette douèe de tèlèpathie que campe une sidèrante Danielle Harris! Un cinquième volet qui nous gratifie de quelques sèquences de terreur rèussie comme celle du monte-charge et qui prouve avec brio que les festivitès lièes à ce fameux jour n'en sont pas à leur terme! L'un des meilleurs Halloween à la fois cruel et angoissant...
Sans déconner, c'est pour moi, loin d'être le meilleur... Il est moins bien que le 4em... Le réalisateur a privilégié l'histoire, le frisson, plutôt que le meurtre et le sang ! C'est un choix qui fonctionne bien dans le 4em, mais, pour le coup, marche pas du tout avec celui-là. De plus, je le trouve moins bien filmé que les précédents. Et je me demande toujours a quoi il sert ce docteur qui possède un flingue, qui fait mieux le travail des médecins et de la police ! HAHA dernier point, spoiler: j'arrive pas a comprendre pourquoi la petite Jamie est comme "connecté" avec Mickaël, je sais que c'est la nièce, mais elle vit les scènes en même temps que Mickaël et sans explication, c'est étrange.
Heureusement qu'il y a la petite Jamie qui donne un point de vue intéressant au film. (c'est même LE point d'intérêt selon moi.) Et qui joue d'ailleurs très bien pour son âge.
A la fin du 4ème volet, Michael Myers est flingué et expédié au fond d'une mine. Il suffit d'une petite pirouette de la part du boogeyman (ou du scénariste ?) et hop ! Notre tueur s'échappe, s'effondre chez un ermite, pour se réveiller un an plus tard, le soir d'Halloween. Son objectif reste le même : retrouver et tuer sa nièce. Enfin du moins je crois... Car Michael Myers passe inexplicablement son temps à stalker les jeunes gens de la ville, pendant que le Dr Loomis se téléporte au gré de l'intrigue, et que Jamie, la nièce, est tantôt clouée sur un lit dans une clinique, tantôt à l'école, entre deux liaison télépathiques (?) avec son oncle. Sans compter les apparitions quasi inutiles et jamais expliquées d'une mystérieuse figure aux bottes noires argentées. Bref, vous l'aurez compris, c'est un scénario sans queue ni tête que l'on retrouve pour ce cinquième volet, dont la production a semble-t-il été amorcée à la va-vite suite au succès du 4ème opus (pas franchement glorieux non plus...). La mise en scène tient quant à elle d'un téléfilm mou du genou. Les séquences de meurtres sont sans intérêt et déjà vues (et par ailleurs assez peu sanglantes par rapport aux films précédents), le film est globalement très ennuyeux. Et ce ne sont pas les personnages jetables qui retiendront notre attention, même si des acteurs du film précédent reviennent. Des lycéens lubriques monodimensionnels, un tandem de flic dont la sagacité ferait passer Dupond & Dupont pour Sherlock Holmes et le Dr Watson, et le Dr Loomis incarné par un Donald Pleasance qui semble aussi fatigué que dépité. Allez, une originalité tout de même : pour une fois, l'inévitable couple qui fornique en cachette a la bonne idée de mettre une capote. Ce n'est pas tous les jours que l'on voit ça dans un teen-slasher, avouez-le ! Non pas que cela change leur funeste destin, mais si Michael Myers peut faire un peu d'éducation sexuelle entre deux coups de couteau, pourquoi pas !
Un cinquième épisode dont l'intrigue s'embourbe dans le lien psychique entre Michael et sa nièce. Les nouveaux personnages sont très peu développés et l'on a l'impression qu'ils ne sont introduits que pour faire le nombre de victimes.
Nouvel épisode, faible de la saga Halloween, qui cherche semble-t-il à lui donner un nouveau souffle, mais vire un peu au n’importe quoi, et s’avère faire des choix assez mauvais.Même le casting accuse un peu le coup tout de même. On retrouve les figures principales du film précédent, mais il faut bien avouer que le niveau est en baisse, avec notamment Donald Pleasence qui accuse un certain essoufflement. Non pas que Loomis traque mollement Myers, mais il commence à se faire sentir une réelle saturation, d’autant que Loomis semble aussi immortel que Myers, et ca devient assez lourd. Et puis Pleasence lui-même semble un peu apathique, pas aussi entrainant que dans les précédents films. On retrouve cette baisse de niveau, de façon moindre cependant chez Danielle Harris, qui revient avec un certain succès. Pour le reste les seconds rôles manquent franchement d’interêt.Le scénario cherche à aller plus loin que les précédents films et ce n’est pas une vraie réussite. On se retrouve avec une sombre histoire de télépathe, sur un fond très basique de slasher, et avec l’introduction d’une dimension psychologique du tueur (qui verse sa petite larme), totalement laminée par un traitement exécrable. Finalement on se retrouve avec un truc qui perd en efficacité brute, et qui nous introduit des éléments plus ridicules qu’autre chose alors que le film semblait avoir le potentiel de prendre la bonne route. La conclusion qui ouvre sur une autre suite manque de pertinence.Niveau réalisation Othenin-Girard ne démérite pas, marchant assez bien dans les traces des précédents réalisateurs. Les meurtres sont simples et efficaces, Girard ne cherche pas les fioritures inutiles et propose un travail clair et direct qui m’a assez bien plu. En revanche il n’y a pas eu un véritable effort sur des décors peu réussis (il y avait la place pourtant dans la dernière partie de faire quelque chose de plus soigné), et la photographie s’éloigne relativement de l’esthétique de base de la saga. Le style ici est plus gris, plus austère, perdant cette ambiance bleutée dominante jusqu’à lors dans les Halloween. Sinon on reste sur des meurtres soft, simple, pas très imaginatifs mais efficaces, quoique pas très nombreux, et la bande son du premier film est toujours au rendez-vous. Ça reste le meilleur atout d’une saga qui commence là à accuser le coup.En effet cet Halloween 5 est le plus laborieux, au moins à ce stade. Voulant se démarquer un peu, innover (seules justification d’une suite à la base) il finit par accentuer le sentiment de n’importe quoi et par perdre de son efficacité primaire. Outre les lacunes scénaristiques, on trouvera encore des acteurs moins solides, et des qualités visuelles pas suffisantes pour faire pencher la balance. 1.5.
Toujours dans la lignée des precedents (sauf le 3 évidemment où l'on ne retrouve pas Michael Myers) ce 5ème opus renouvelle la série puisque Michael cherche sa nièce. De bonnes scènes, toujours la même superbe musique cela vous donne un des meileurs HALLOWEEN. Se regarde et se reregarde avec toujours autant de sursauts et de plaisir.
un film qui a très mal vieillit! danielle harris, que l'on retrouvera bien des années après dans les remakes de ce cher rob zombie, joue plutôt bien. c'est effectivement le seul point positif de ce film atrocement nul.
Décevant. Dans cet épisode Myers se "jasonise" et perd de ce fait beaucoup de son aura. Et ce n'est pas une pirouette scénaristique(cette fois il cherche sa nièce) qui va relever l'ensemble. Médiocre!!!
8/20 : Toujours plus gore que les précédents...le rire est bientôt plus présent que la peur elle même...malgré ça, ce volet se laisse regarder jusqu'au bout.
Pas totalement ringard car finalement l'un des plus intéressant dans sa modernité depuis le premier opus, par son côté teenager. Pour ce qui est du fantastique et du lien entre Michael et sa soit disante nièce, la conjoncture laisse cet opus en deçà du précédent. Avec un européen à la réalisation, la franchise a pourtant franchi un cap. Avec des morts à la pelle, ou plutôt à la fourche, la plupart du temps non montré et un jeu des masques et de faux tueurs, on joue au chat et à la souris façon Scream, avec dix ans d'avance. Mais ne rêvons pas. Le plaisir reste naturellement en dessous de nos attentes pour ce genre de suite. Techniquement la lumière est soignée et les décors sympatoches, mais côté scénario les bonnes idées du précédent opus sont restés au placard et on ne comprend plus la démarche qui consiste, comme entre le 2 et le 4, à tout changer entre chaque épisode. On se moque du matériel et du spectateur.