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Votre avis sur Halloween 5 : La Revanche de Michael Myers ?
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Halloween 5 est une parfaite réplique de Halloween 4, scénario plat et répétitif, c'est toujours la même histoire. Le nouveau réalisateur Dominique Othenin-Girard n'apporte rien de plus à la saga et sa mise en scène ressemble à celle des précédents réalisateurs. Les acteurs comme Donald Pleasence ou Matthew Walker sont convaincants mais ce n'est pas suffisant pour sauver le film, je mets donc un 09 / 20.
un de mes préférés. un scénario bien écrit, une réalisation réussie et efficace, et toujours une jeune actrice géniale! malgré des trucs un peu inexpliqués, un classique du samedi soir et ici et la quelques innovations bien venues.
Sans doute de meilleure qualité de réalisation que l'opus précédent (avec un masque plus effrayant et une photographie faisant moins penser à un téléfilm), mais avec un scénario moins intéressant (la venue d'un mystérieux homme en noir, et l'insupportable nièce de Michael Myers qui ne parvient pas à inspirer la pitié auquel elle devrait prétendre). Donc niveau note, ça s'équivaut.
Ce n'est pas une très bonne suite, d'ailleurs au fil du temps ça devient de plus en plus pathétique la manière dont Myers échappe toujours à la mort, limite on dirait un mort vivant dont il faudrait carrément couper la tête pour qu'il meurt enfin. Le film passe du côté fantastique plutôt que horreur, ça ne fait pas peur, et des choses improbables tout au long du film. 2/5
Ce cinquième chapitre est pathétique ! Sérieusement ! Ils auraient dû arrêter il y a très longtemps... Franchement, j'ai été très déçu par ce volet. Les acteurs sont insupportables, Micheal Myers est carrément transparent, et la petite fille est vraiment débile ( c'est bien plus qu'insupportable ). Le scénario du film est sans grand intérêt, on découvre juste ce qui se passe après le quatrième chapitre, et ceci sans en savoir d'avantage, c'est vraiment dommage de rajouter une nouvelle intrigue alors que la précédente n'est même pas complète. Bref, le film n'a aucune intensité, on nous fait même pas peur, l'ambiance angoissante du premier volet est bien loin. Mise à part cela, la bande-originale du film est écoutable mais sans plus. Bref, en conclusion, " La Revanche de Micheal Myers " est ratée !
La dimension psychologie de Michael Myers est explorée en profondeur, et la mise en scène, l’interprétation (un oscar pour l’interprétation époustouflante de Danielle Harris n’eut été que justice) et la bande originale sont excellentes ; et dignes du chef d’œuvre originel du Maître John Carpenter !
Une fois de plus le tueur à l'arme blanche et au silence permanent continue de revenir et d'enchainer ses meurtres. Etait-ce vraiment nessecaire de faire cette suite ? Surtout avec tant de longueur, tant de manque d'originalité par rapport aux précédent volet ? cela en devient vraiment lassant mais bon, si il y a une suite, pourquoi ne pas la voir et rester avec des questions que l'on se pose à la fin du 4eme opus. Cette suite ne nous apporte vraiment rien, on a hate que ça se finisse mais on n'est pas deçu pour autant. 2.5/5
Si le quatrième film avait offert un bon divertissement, cette suite est malheureusement un peu bonne et passe presque inaperçue.
Un an a passé depuis que Jamie a attaqué sa belle-mère et que Michael a disparu. Le docteur Loomis s'occupe du traitement de la jeune fille, enfermé dans le silence et interné dans un hôpital psychiatrique pour enfants; il est persuadé que Jamie et Michael ont un lien et compte l'utiliser pour arrêter le tueur, car la fête d'Halloween approche...
La réalisation n'est pas très bonne: le cadrage n'est pas très bon, la mise en scène un peu faible, les prises de vues pas excellentes, la profondeur de champ pas très bien exploité et les mouvements sont un peu fades.
Le scénario n'offre rien de vraiment palpitant; on a droit à des scènes de meurtres assez sanglantes, des courses-poursuites assez réussies mais ça s'arrête à peu près là. Le scénario a souvent tendance à traîner en longueur, il y a de gros clichés et le rythme est vraiment très mal géré. De plus, le film n'offre guère de frissons et c'est un comble pour un film d’horreur. Quelques scènes ne sont pas trop mauvaises mais on reste sur sa faim.
Les acteurs ne sont pas tous très bons mais ça reste passable.
Les personnages manquent pour la plupart de profondeur et sont pas très intéressants.
Les dialogues ne sont pas très bien écrits et sont assez clichés.
La photographie a une lumière assez intéressante et les couleurs sont assez jolies.
Le montage et parfois trop lent.
Les décors sont beaux mais un peu clichés, les costumes de Simon Tuke ne sont pas géniaux et la musique a perdu un peu de charme.
"Halloween 5 : La Revanche de Michael Meyers" tient plus du harcèlement que de la véritable vengeance.
Un an a passé depuis que Jamie a attaqué sa belle-mère et que Michael a disparu. Le docteur Loomis s'occupe du traitement de la jeune fille, enfermé dans le silence et interné dans un hôpital psychiatrique pour enfants; il est persuadé que Jamie et Michael ont un lien et compte l'utiliser pour arrêter le tueur, car la fête d'Halloween approche...
La réalisation n'est pas très bonne: le cadrage n'est pas très bon, la mise en scène un peu faible, les prises de vues pas excellentes, la profondeur de champ pas très bien exploité et les mouvements sont un peu fades.
Le scénario n'offre rien de vraiment palpitant; on a droit à des scènes de meurtres assez sanglantes, des courses-poursuites assez réussies mais ça s'arrête à peu près là. Le scénario a souvent tendance à traîner en longueur, il y a de gros clichés et le rythme est vraiment très mal géré. De plus, le film n'offre guère de frissons et c'est un comble pour un film d’horreur. Quelques scènes ne sont pas trop mauvaises mais on reste sur sa faim.
Les acteurs ne sont pas tous très bons mais ça reste passable.
Les personnages manquent pour la plupart de profondeur et sont pas très intéressants.
Les dialogues ne sont pas très bien écrits et sont assez clichés.
La photographie a une lumière assez intéressante et les couleurs sont assez jolies.
Le montage et parfois trop lent.
Les décors sont beaux mais un peu clichés, les costumes de Simon Tuke ne sont pas géniaux et la musique a perdu un peu de charme.
"Halloween 5 : La Revanche de Michael Meyers" tient plus du harcèlement que de la véritable vengeance.
Un film décevant et c'est bien dommage ! Conçu comme la suite direct du quatrième épisode, le film aurait pu être intéressant s'il avait pris en compte la fin pour le moins surprenante du chapitre précédent.
Mais c'est tout l'inverse qui se produit : Michael Myers a cessé de faire peur, le Docteur Loomis devient inintéressant et l'intrigue est fade. Vraiment dommage pour une série qui n'était pas si mal partie jusqu'ici. Heureusement, la scène du vide ordure permets tout de même, bien qu'elle soit improbable, d'avoir un petit peur.
Mais c'est tout l'inverse qui se produit : Michael Myers a cessé de faire peur, le Docteur Loomis devient inintéressant et l'intrigue est fade. Vraiment dommage pour une série qui n'était pas si mal partie jusqu'ici. Heureusement, la scène du vide ordure permets tout de même, bien qu'elle soit improbable, d'avoir un petit peur.
Encore une suite inutile pour Halloween. "Halloween 5 : La Revanche de Michael Myers" est encore une fois un assez mauvais film, et une suite encore ( comme les autres suites ) honteuse. Danielle Harris est très bien, mais le reste n'est pas terrible.
Une suite toujours aussi surprenante. Les aventures de Michael Myers sont toujours aussi effrayantes.
Halloween 5 réitère hélas les mêmes défauts que le quatrième opus et l'agrémente d'un ridicule poussif dont on se serait bien passer. Suite directe comprenant les mêmes acteurs et le même suivi scénaristique, cette cinquième mouture va malheureusement au-delà de la déception... La fin du précédent volet laissait plus la place à une fin nihiliste qu'à une porte ouverte et si une suite était envisagée, elle n'aurait pas laissé Michael Myers revenir et aurait au contraire mis en avant la nouvelle folie meurtrière de la jeune Jamie, la nièce du serial killer masqué. Malheureusement, la production n'a que faire d'une gamine psychopathe et, à travers une pirouette scénaristique vulgaire dévoilée en début de métrage, fait de ce cinquième film un énième slasher on ne peut plus conventionnel... Outre le fait que le film traine en longueur, il perd surtout toute once de crédibilité et se perd dans une double histoire/fonctionnalité des plus navrantes : d'un côté nous avons la suite des mésaventures de la nièce de Myers et de l'autre le slasher de base qu'attendent les djeun'z en manque d'hémoglobine... Aussi, le métrage peine à convaincre et ennuie, la faute à une réalisation mollassonne et à une interprétation hasardeuse : Donald Pleasance surjoue et devient plus un cinglé qu'un véritable docteur calculateur, l'acteur étant fatigué de rempiler à chaque épisode. La jeune Danielle Harris n'a hélas pas beaucoup changé, ne faisant ici que pleurer pendant tout le film, exaspérante et énervante ; son interminable jeu de cache-cache avec Myers lasse plus qu'il n'effraie. Au final entre meurtres insipides, histoire peu inventive, interprétation ridicule et ambiance quasi-cartoonesque, Halloween 5 devient facilement le plus mauvais épisode de la saga.
Félix F
Suite un peu monotone et longuette, l'esprit d'halloween est là mais on ne tien pas le meilleur épisode de la saga. Un bon opus tout de même !
Une énième mauvaise suite pour cette série qui n’en avait vraiment pas besoin. Michael Myers s’échappe (encore) et part à la poursuite de jeune victime à désosser (encore). Les mises à mort se suivent et se ressemblent sans jamais provoquer une lueur d’intérêt chez le spectateur. Donald Pleasence (qui avait sûrement besoin d’une nouvelle voiture) vient à nouveau cachetonner dans ce navet. Seul le talent de la jeune Danielle Harris dénote complètement avec la médiocrité ambiante.
On prend les mêmes, et on recommence. Donald Pleasance, toujours partant pour traquer Michael Myers rempile pour cette suite, ainsi que la petite Danielle Harris. Ellie Cornell, qui jouait la grande sœur de Jamie, n’apparaîtra pas longtemps dans cet épisode, et c’est Wendy Kaplan, qui n’apparaissait qu’anecdotique ment dans le numéro 4 qui va remplacer la grande sœur.
Mais cette fois-ci, la saga a beaucoup perdu. Déjà en crédibilité. On avait accepté que Michael Myers ne soit en fait pas mort à la fin du 2, même si ceci paraissait assez gros quand même, mais cette histoire de coma qui prend fin justement la nuit d’Halloween, ça commence à faire beaucoup. D’accord, le docteur Loomis ne cesse pas de dire que ce tueur n’est en fait pas humain mais une incarnation du mal, mais quand même ! La petite Jamie, enfermée dans une clinique après avoir poignardé sa mère sous l’influence de son oncle, est ici durant toute la première partie du film assez agaçante, à sans cesse geindre. Désormais, elle semble avoir un lien « spirituel » avec le tueur, ressentant un malaise quand celui-ci va tuer.
Pourtant, une fois encore, ce sont les mêmes ingrédients qui sont utilisés dans ce film, mais mal utilisés. On a le droit à la fameuse fête d’adolescents dans une ferme durant laquelle quelques uns vont vouloir aller se rouler dans le foin. Les amateurs de paires de seins seront déçus cependant car on n’en verra finalement qu’un petit bout et Michael arrivera trop tôt sur les lieux pour qu’on en voir plus.
La dernière partie du film remonte un peu le niveau zéro de celui-ci, mais ne parvient tout de même pas à lui faire atteindre celui des précédents épisodes. Danielle Harris est déjà moins agaçante dans cette dernière partie du film, et retrouve plus son personnage tel qu’elle le jouait dans le numéro 4. Reste cet étrange personnage en noir coiffé d'un chapeau de cow-boy qui libère Michael de prison dans le passage final sans qu'on sache pourquoi. La réponse sera donnée dans le 6...
Mais cette fois-ci, la saga a beaucoup perdu. Déjà en crédibilité. On avait accepté que Michael Myers ne soit en fait pas mort à la fin du 2, même si ceci paraissait assez gros quand même, mais cette histoire de coma qui prend fin justement la nuit d’Halloween, ça commence à faire beaucoup. D’accord, le docteur Loomis ne cesse pas de dire que ce tueur n’est en fait pas humain mais une incarnation du mal, mais quand même ! La petite Jamie, enfermée dans une clinique après avoir poignardé sa mère sous l’influence de son oncle, est ici durant toute la première partie du film assez agaçante, à sans cesse geindre. Désormais, elle semble avoir un lien « spirituel » avec le tueur, ressentant un malaise quand celui-ci va tuer.
Pourtant, une fois encore, ce sont les mêmes ingrédients qui sont utilisés dans ce film, mais mal utilisés. On a le droit à la fameuse fête d’adolescents dans une ferme durant laquelle quelques uns vont vouloir aller se rouler dans le foin. Les amateurs de paires de seins seront déçus cependant car on n’en verra finalement qu’un petit bout et Michael arrivera trop tôt sur les lieux pour qu’on en voir plus.
La dernière partie du film remonte un peu le niveau zéro de celui-ci, mais ne parvient tout de même pas à lui faire atteindre celui des précédents épisodes. Danielle Harris est déjà moins agaçante dans cette dernière partie du film, et retrouve plus son personnage tel qu’elle le jouait dans le numéro 4. Reste cet étrange personnage en noir coiffé d'un chapeau de cow-boy qui libère Michael de prison dans le passage final sans qu'on sache pourquoi. La réponse sera donnée dans le 6...
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