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Votre avis sur Quoi de neuf, Pussycat ? ?
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« Quoi de neuf, Pussycat ? » a été le premier film à m'offrir mes premiers émois cinématographiques devant le petit écran lorsque je commençais à sortir de l'enfance. Ce film, scénarisé par Woody Allen et porté par une distribution étoilée incluant Peter Sellers, Peter O'Toole et Romy Schneider, se distingue par son humour débridé et son manque de crédibilité assumé. Malgré un rythme inégal et certaines longueurs, le film excelle dans ses moments d’humour débridé et son audace narrative. Le Paris imaginé par Woody Allen offre un cadre à cette comédie sexuelle, riche en satire sociale et quiproquos amoureux. Divertissement excentrique qui, malgré ses défauts, reste un témoignage joyeux de l'esprit des années 60. J'ai eu tort de le revoir il y a quelques mois avec mon regard d'adulte et j'admets que l'ensemble peut sembler daté. « Quoi de neuf, Pussycat ? », bien que son charme ait pu s'estomper, est animé par des acteurs manifestement divertis par l'excentricité de leurs rôles. La chanson « What's New Pussycat? », interprétée par l'immense Tom Jones, me revient encore en mémoire. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un séduisant rédacteur en chef d'un magasine feminin, Peter O'toole, est accusé d'adultère, par de ravissantes femmes, trois jolies actrices , et épauler par deux énergumènes, Peter Sellers, psychanalyste farfelue et Woody Allen, dont ce dernier, ecrivit le scénario. Humour burlesque, et situations cocasses. Pour son cadre, c'est Paris, qui offre et sa province. Un excellent vaudeville. Très drôle.
Foutraque et douloureux. Une galère !
Une galère dans laquelle s’agite une distribution royale mais la frénésie sexuelle de la plupart des principaux protagonistes manque de souffle contrairement aux apparences. Les bons moments sont fugaces, comme un premier orgasme d’adolescents et se comptent sur les doigts d’une main.
Décevant.
Une galère dans laquelle s’agite une distribution royale mais la frénésie sexuelle de la plupart des principaux protagonistes manque de souffle contrairement aux apparences. Les bons moments sont fugaces, comme un premier orgasme d’adolescents et se comptent sur les doigts d’une main.
Décevant.
Comédie délirante et loufoque. Follement sixties, encensée et récompensée par un prix sous la houlette d'Henri Langlois.
weihnachtsmann
Un sommet de désolation. Une cavalcade de vulgarité malgré les acteurs présents.
Tout y est laid franchement et la réalisation navrante au possible.
C'est peu recommandable et ennuyeux car répétitif dans sa médiocrité.
Tout y est laid franchement et la réalisation navrante au possible.
C'est peu recommandable et ennuyeux car répétitif dans sa médiocrité.
Un casting formidable: Peter O Toole, Peter Sellers, Romy Schneider, Woody Allen.Sellers joue un psychanalyste déjanté et caricatural.Peter O Toole un séducteur indécis.La musique est très sympa.Les gags s' enchaînent.Une grosse Walkyrie digne d' une parodie de Wagner.Woody Allen a participé au scénario
Voir Peter Sellers jouer un psy allemand fou de désir au milieu de femmes magnifiques d'une ambiance Sixties devrait être un plaisir. Mais la mise en scène saccadée et le scénario étonnamment amateur du scénariste et acteur Woody Allen rendent Quoi de neuf, Pussycat ? insupportable. Annoncé comme une farce sexuelle le film nous présente les tourments singulier de Michael James (Peter O'Toole) prisonnier de son charisme meurtrier qui veut être fidèle à son amante Carole (Romy Schneider) mais ne peut pas dire non aux nombreuses filles qui ronronnent pour avoir son attention. Son analyste le Dr Fassbender (Sellers) et son ami Victor (Allen) le regardent avec une rage jalouse. Sellers sortait tout juste d'une crise cardiaque quasi fatale et essayait peut-être trop fort de montrer qu'il avait encore de la classe. Dans le rôle de Fassbender il bondit, hurle, se roule sur le tapis mais semble à moitié l'homme qu'il était dans d'autre de ses films. Il est amusant mais pas assez réaliste avec des répliques qui s'étirent pour des rires qu'il n'obtient pas. Les blagues tombent les unes après les autres dans cette comédie trop bête et complètement ennuyeuse. Le vide des blagues est d'autant plus irritant que le casting est familier. Cependant aussi sympathiques qu'ils puissent être les acteurs ne peuvent sauver ce film. A cause du pauvre scénario de Woody Allen. La fin avec la poursuite en voiture et le chaos est aussi ennuyeuse et peu drôle que possible et Benny Hill a fait ce genre de choses bien mieux...
Oh...mon...dieu ! Mais juste oh...mon.dieu ! Déjà, dès le générique de début, rythmé par la chanson (donnant son titre au film et qui, au passage (le titre) sent le Russ Meyer à plein nez) interprétée par Tom Jones, j'ai su que j'allais me la fendre en mille morceaux. Il ne pouvait en être autrement et ça n'a pas loupé. En fait, pour espérer aimer ce film, il faut tout simplement admettre qu'il n'y a aucune histoire à proprement parler, que ça n'a ni queue ni tête (ce qui est ouvertement voulu et assumé) et que tout n'est que prétexte pour se moquer des mésaventures d'un Don Juan malgré lui. À partir de là, on est prêt à accepter toutes les incongruités que le film nous lance au visage. Comme par exemple,
spoiler:
cette scène nocturne sur les quais de la Seine entre Woody Allen (par ailleurs scénariste du film) et Peter Sellers
. Ou encore, spoiler: Ursula Andress ratant son saut en parachute et qui, comme par hasard, tombe dans la voiture de Peter O'Toole
. Dans ce genre de films, on sait qu'il va y avoir un final qui va partir complètement en vrille. Et on y a droit. Comment résister spoiler: aux scènes dans le château et à cette poursuite en voitures de karting
? On est d'accord, c'est du over the top, mais du bon, les limites du raisonnable ne sont jamais franchies. Ce qui, par exemple, faisait méchamment défaut à "Un monde fou, fou, fou, fou" qui finissait par tirer beaucoup trop sur la corde et qui finissait par devenir franchement horripilant. Autre point fort ? La galerie de personnages à laquelle nous avons droit. Je ne rentrerai pas dans les détails, ce serait trop long et trop fastidieux, mais tous, sans exceptions, sont complètement frappés. Le tableau est juste d'enfer. Et tous, ne sont obsédés que par une seule chose : le sexe. Tous ces personnages sont interprétés par une pléiade d'acteurs (de Peter O'Toole à Ursula Andress, en passant par Peter Sellers) qui s'éclatent comme des petits fous. L'humour des années 60 n'est pas ce qui vieillit le mieux, mais dans certains films, comme ce "Quoi de neuf, pussycat ?", à l'instar de Papy (oui, j'ai osé faire cette blague nulle) il fait de la résistance et franchement, ce n'est que du bonheur.
. Ou encore, spoiler: Ursula Andress ratant son saut en parachute et qui, comme par hasard, tombe dans la voiture de Peter O'Toole
. Dans ce genre de films, on sait qu'il va y avoir un final qui va partir complètement en vrille. Et on y a droit. Comment résister spoiler: aux scènes dans le château et à cette poursuite en voitures de karting
? On est d'accord, c'est du over the top, mais du bon, les limites du raisonnable ne sont jamais franchies. Ce qui, par exemple, faisait méchamment défaut à "Un monde fou, fou, fou, fou" qui finissait par tirer beaucoup trop sur la corde et qui finissait par devenir franchement horripilant. Autre point fort ? La galerie de personnages à laquelle nous avons droit. Je ne rentrerai pas dans les détails, ce serait trop long et trop fastidieux, mais tous, sans exceptions, sont complètement frappés. Le tableau est juste d'enfer. Et tous, ne sont obsédés que par une seule chose : le sexe. Tous ces personnages sont interprétés par une pléiade d'acteurs (de Peter O'Toole à Ursula Andress, en passant par Peter Sellers) qui s'éclatent comme des petits fous. L'humour des années 60 n'est pas ce qui vieillit le mieux, mais dans certains films, comme ce "Quoi de neuf, pussycat ?", à l'instar de Papy (oui, j'ai osé faire cette blague nulle) il fait de la résistance et franchement, ce n'est que du bonheur.
Michael James (Peter O’Toole) est amoureux de Carole (Romy Schneider) mais en même temps, il n’arrive pas à résister à la moindre jolie femme qui passe. Il consulte donc un psychiatre, le docteur Fassbender (Peter Sellers). Et en gros le film est résumé ici : Michael succombe à une énième femme, il se fait un peu griller par Carole, va pleurer auprès de son médecin, elle lui pardonne, puis il succombe à nouveau, etc. L’histoire n’a donc pas grand intérêt.
En termes d’humour, c’est assez pitoyable, grotesque et donc jamais drôle. Les blagues et comiques de situation sont ridicules, ce n’est pas fin du tout. Quelques exemples : le psy a un look (perruque de coupe au carré) pas possible pour faire rire ce qui n’est - du coup - pas drôle du tout ; à un moment, Woody Allen ne parvient pas à entourer le psy d’un drapeau car il s’enroule avec lui, et à plusieurs reprises !
C’est gênant tellement l'humour est consternant et le film sans aucun intérêt.
En termes d’humour, c’est assez pitoyable, grotesque et donc jamais drôle. Les blagues et comiques de situation sont ridicules, ce n’est pas fin du tout. Quelques exemples : le psy a un look (perruque de coupe au carré) pas possible pour faire rire ce qui n’est - du coup - pas drôle du tout ; à un moment, Woody Allen ne parvient pas à entourer le psy d’un drapeau car il s’enroule avec lui, et à plusieurs reprises !
C’est gênant tellement l'humour est consternant et le film sans aucun intérêt.
Ce film est génial, super loufoque et fantaisiste. Une magnifique distribution. C’est frais et pourtant cela date de 1965. J’ai trouvé que le voir en français était encore plus drôle car le doubleur de Peter Sellers lui donne un accent allemand irrésistible.
A voir absolument !
A voir absolument !
Jonathan M
Avant d'avoir Woody cinéaste de renom, il y avait Woody acteur maladroit et scénariste. Au physique d'un cycliste tout maigrichon, il fait parader ce casting chorale dans les rues parisiennes. Loufoque, Peter O'Toole vit dans un océan féminin où la beauté est reine. Une Romy qui lui fait la scène de jalousie : c'est juste un malade. On est dans du potache bien dégoulinant, mais efficace.
Kurosawa
Michael James (Peter O'Toole) va se marier mais il ne résiste pas aux autres femmes, une tentation qu'il essaye de contenir en allant chez un psychiatre censé le soigner. L'idée de départ de "What's New, Pussycat ?" n'est pas inintéressante et offre d'ailleurs quelques situations cocasses durant la première demi-heure mais, très vite, on se demande tout de même comment Clive Donner pourra faire tenir cette seule idée sur 1 h 45. Et bien il n'y arrive pas, tout simplement, car une idée de cinéma n'a jamais fait un film et que ce dernier finit inévitablement par tourner en rond en accumulant des situations répétitives et fortement inégales avant un final assommant, qui enchaîne les micro-situations à une vitesse supersonique (un bon moyen de ne plus creuser les personnages) et sans aucun intérêt. Au moins, "What's New, Pussycat ?" aura servi à une chose : confirmer que l'équation "un pitch = un film" ne tient pas.
Le pitch de "What's new, Pussycat ?" (un homme entouré de femmes sublimes craint de tromper sa future épouse) n'est pas mauvais et, alléché par un casting attrayant et une réputation relativement prestigieuse, on peut facilement se lancer dans l'aventure en l'espérant drôle, divertissante, voire charmante. Problème: l'histoire ne va pas plus loin que l'idée de départ précédemment évoquée et l'on se trouve donc devant un film qui empile des situations répétitives et pas franchement hilarantes (les amateurs de mauvais goût devraient tout de même y trouver leur compte) où des acteurs en roue libre semblent s'amuser plus que les spectateurs (seul Allen parvient à laisser entrevoir son talent comique). Le film, sans être vraiment antipathique, reste un truc assez lourdingue, flirtant sans vergogne avec la série Z, et qui ne parvient pas à arracher plus de quelques rires devant des gags dont je ne me souviendrai pas longtemps. Décevant.
Une bonne comédie complètement déjantée, comportant quelques lourdeurs mais aussi son lot de situations cocasses. Les acteurs sont presque tous au top et la prestation de Peter O'Toole est absolument stupéfiante. Le bémol c'est Romy Schneider qui a du mal à rivaliser avec les canons du film et son jeu, hésitant, s'en ressent. A noter les apparitions de Howard Vernon, Jacques Balutin et de... Françoise Hardy. Il faut bien sûr évoquer la dernière demi-heure qui constitue l'un des sommets du burlesque de ces année-là ! Pas un chef d'œuvre mais c'est néanmoins très bon.
Film initié par Warren Beatty et s'inspirant de son expérience de grand séducteur, Quoi de neuf, Pussycat ? marque surtout la première rencontre de Woody Allen avec le cinéma, ici en tant que scénariste et acteur secondaire. Suite à des désaccords sur le casting et l'évolution du scénario (notamment car l'importance de son rôle diminuait alors que celle d'Allen augmentait), Warren Beatty quitta le projet mais cela n'affecte en aucun cas le film.
En effet, le film est un gigantesque délire au casting impressionnant (Peter Sellers, Peter O'Toole, Romy Schneider, Woody Allen, Ursula Andress et dans des petits rôles Jacques Balutin, Françoise Hardy, Daniel Emilfork ou encore Richard Burton...).
Woody Allen, le réalisateur Clive Donner et le producteur Charles K. Feldman (dont le rôle sur le film est très important) créent un univers volontairement non-crédible spoiler: (la séquence où Woody Allen est en costume dans un hammam alors que toutes les personnages l'entourant sont en peignoir ou en serviette)
et très drôle spoiler: (certaines séquences sont purement hilarantes comme celles de la dispute dans l'amphithéâtre et de la bagarre dans la bibliothèque)
qui se situe dans un Paris fantasmé par Woody Allen spoiler: (on y boit de l'absinthe, boisson favorite des artistes français du XIXème siècle mais interdite à l'époque où se situe l'action; la séquence des quais de Seine qui verra son lieu de tournage repris dans Tout le monde dit I love you, la séquence où Peter Sellers souffle son texte à Peter O'Toole fortement inspirée de Cyrano de Bergerac...)
. Cet aspect non-sensique permet parfois à la mise en scène des audaces sympathiques (l'inscription "Message de l'auteur" pendant que Peter O'Toole raconte sa vision de l'amour qui annonce celles de la série télévisée Batman qui débutera l'année suivante) ainsi que d'accepter certains aspects défaillants de cette réalisation (comme les nombreux faux raccords présents notamment au début du film).
Le bordel ambiant qui trouvera son climax dans un final complètement délirant spoiler: (les séquences dans l'hôtel)
a dû fortement inspirer Charles K. Feldman pour sa dernière production Casino Royale, film encore plus bordélique mais nettement moins réussi.
Quoi de neuf, Pussycat ? est donc un film très drôle qui s'inscrit parfaitement dans la première partie de carrière, purement comique, de Woody Allen.
En effet, le film est un gigantesque délire au casting impressionnant (Peter Sellers, Peter O'Toole, Romy Schneider, Woody Allen, Ursula Andress et dans des petits rôles Jacques Balutin, Françoise Hardy, Daniel Emilfork ou encore Richard Burton...).
Woody Allen, le réalisateur Clive Donner et le producteur Charles K. Feldman (dont le rôle sur le film est très important) créent un univers volontairement non-crédible spoiler: (la séquence où Woody Allen est en costume dans un hammam alors que toutes les personnages l'entourant sont en peignoir ou en serviette)
et très drôle spoiler: (certaines séquences sont purement hilarantes comme celles de la dispute dans l'amphithéâtre et de la bagarre dans la bibliothèque)
qui se situe dans un Paris fantasmé par Woody Allen spoiler: (on y boit de l'absinthe, boisson favorite des artistes français du XIXème siècle mais interdite à l'époque où se situe l'action; la séquence des quais de Seine qui verra son lieu de tournage repris dans Tout le monde dit I love you, la séquence où Peter Sellers souffle son texte à Peter O'Toole fortement inspirée de Cyrano de Bergerac...)
. Cet aspect non-sensique permet parfois à la mise en scène des audaces sympathiques (l'inscription "Message de l'auteur" pendant que Peter O'Toole raconte sa vision de l'amour qui annonce celles de la série télévisée Batman qui débutera l'année suivante) ainsi que d'accepter certains aspects défaillants de cette réalisation (comme les nombreux faux raccords présents notamment au début du film).
Le bordel ambiant qui trouvera son climax dans un final complètement délirant spoiler: (les séquences dans l'hôtel)
a dû fortement inspirer Charles K. Feldman pour sa dernière production Casino Royale, film encore plus bordélique mais nettement moins réussi.
Quoi de neuf, Pussycat ? est donc un film très drôle qui s'inscrit parfaitement dans la première partie de carrière, purement comique, de Woody Allen.
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