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Estonius
3 286 abonnés
5 452 critiques
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4,0
Publiée le 26 décembre 2012
Un joyeux marivaudage où il est question de bisexualité et d'homosexualité. C'est bien, fait, très frais, intelligent, et à contre-courant de la morale bien pensante. Bref on passe un bon moment à condition de ne pas être coincé par le sujet. (le public a boudé... forcément ça dérange et c'est fait pour ça !). Valéria Bruni-Tedeschi est vraiment magnifique ! Côté négatif on regrettera une direction d'acteurs parfois approximative et Jacques Bonnafé dans le rôle de l'amant de madame qui est plutôt mauvais.
13 613 abonnés
12 377 critiques
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3,0
Publiée le 29 mai 2011
Sous le soleil des vacances, on voit parfois ses parents sous un autre jour! Joli petit film plein d'humour et de sensualitè interprètè par de très bons comèdiens! Gilbert Melki et Valèria-Bruni Tedeschi sont parfaits en parents cool et dècomplexès! Une comèdie lègère et rafraîchissante qui sent bon le soleil, truffèe de situations cocasses ou l'on peut rire sans aucune honte...
NULLISSIME ! les critiques dithyrambiques de la presse sont pour moi, incompréhensibles; Je me suis enfui avant la fin de ce film bavard, vulgaire, ennuyeux et triste (et oui,la chair est comme ça...). Attention! En plus, il y a des parties "chantées" en comparaison desquelles Lorie ou la gourde sont des chanteuses d'opéra. Rien à garder : Jetez tout !
la nature humaine est bien étrange et insondable ! je m'explique: j'avais vu ce film il y a quelques années et je l'avais trouvé détestable , l'ayant revu récemment j'ai été surpris par sa qualité, en fait je n'avais pas vu à la première vision le côté second degré, les personnages sont tous un peu fous et étranges, valeria burni-tedeschi est parfaite en oie blanche, elle force un peu même quand on pense aux rôles souvent lourds qu'on lui a confié, ici elle dégage une légèreté presque idiote et que dire de j-p melki dont je ne suis pas fan et qui pour une fois n'a pas un rôle de personnage antipathique, ce film on dirait presque du françois ozon, d'ailleurs il aurait très bien pu le faire
J'apprécie habituellement le style de Gilbert Melki qui cette fois ci est dans un autre registre que le cynique "Kaboul Kitchen" au relent de charogne, mais côte d'azur pour côte d'azur je préfère encore le navet "pizzaïolo et mozzarelle" à ces crustacés et coquillages peu ragoutants. Un film gnangnan avec des dialogues à la noix sur les vacances d'une famille où visiblement la sexualité est le leitmotiv, ça m'a rappelé "le skylab", sauf que là nous ne sommes plus en Bretagne et que les gosses ont grandi homos! Bref pire que le médiocre "une petite zone de turbulences" qui propose au moins une histoire un peu plus variée et dynamique!
Film très-très gay (ou gai, comme vous vous voulez) C'est un plaisante comédie, légère bien sur, mais on y passe un bon moment. Tous les comédiens y sont agréables, c'est sans doute pas le film de l'année, mais j'ai aimé. A aller voir un jour de "blues", c'est un excellent remontant.
Variations autour d'une douche!!!! Vraiment sympa et attachante cette comédie estivale et surtout originale. Moins légère qu'il n'y paraît. Souvent drôle, très bien jouée par tous les acteurs même les seconds rôles qui apparaissent furtivement. Une Valérie BT toujours formidable. "On a tord de vouloir que tout soit rangé, carré..." C'est le propre de cette comédie qui démontre la multiplicité des rapports humains qui met l'amour en péril mais les sentiments en première ligne.
Insupportable. Sujet débile que les réalisateurs ne cessent de traiter et de retraiter comme une vieille obsession ridicule au fil de leurs films. Ils ne savent ni engager ni diriger les comédiens adolescents, désolants de nullité et de paresse : ils récitent leurs textes ou se caricaturent mal (c'était déjà le cas dans "Ma vraie vie à Rouen"), d'un côté la folle un peu insolente qui aime montrer son sexe, de l'autre, le mou à tête de chien aux répliques écrites par un bon littéreux soucieux de faire passer des idées personnelles sur la sexualité de ces messieurs mariés, notoires homosexuels, refoulés bien sûr, qui courent les rues, se dit-on couramment chez les coiffeuses, entre vieilles lectrices de Elle et autres Cosmopolitan. Dommage au fond, parce que Gilbert Melki sait transformer des répliques convenues en touches de justesse, ce qu'aucun autre acteur ne parvient à faire (payez le dialoguiste, la prochaine fois, et achetez un visage à Valéria Bruna Truc). Une calamité blessante pour l'intellect, injurieuse pour le coeur, et d'autant plus crasseuse qu'il existe une masse y ayant vu de quoi rire. Dans la lignée - plus subtile mais tout aussi affligeante - de Pédale Douce. Une vraie diarrhée cinématographique. Tirez la chasse d'eau. A vomir.
Le film démarre gentiment en nous exposant les clichés des vacances familiales au bord de la mer avec des personnages plutôt communs, tous aussi « normaux » les uns que les autres. Mais derrière les sourires et ce bien être collectif, cet apparent bonheur familial dissimule de bien lourds secrets et des mensonges pourtant insoupçonnables au départ. CRUSTACES ET COQUILLAGES est une comédie ensoleillée attachante, au ton léger qui au fur et à mesure se révèle être particulièrement salé côté révélations, rompt tous les clichés qu’elle avait présentait et qui sans jamais être conventionnel parle d’adultère, de préjugés, de trahison, de passions sentimentales, d’adolescence, d’identités sexuelles… sans la moindre pudeur. Des sujets en général abordés avec plus de gravité mais ici traités subtilement car un peu décalé, très moderne, dans une ambiance complice et avec une telle énergie qu’on ne peut qu’adhérer à ces vacances relativement mouvementées !
LES GENS QUI S'AIMENT. Dommage que le personnage de Jean Marc Barr existe. Le reste était tellement amusant et chantant que ce passage gay enlève du charme à cette pêche aux crustacés.
De mon point de vue, valeria Bruni T joue super mal... le rôle de la mère de famille libérée qui fume le tarpé ne lui va pas du tout... sa voix mielleuse est agaçante au possible... le côté femme fatale à 2 balles m'a soulé à un point... même quand elle a un orgasme, elle est souffreteuse... le moment de la chanson est ridicule... le bruit de fond incessant des cigales exaspère également ... de multiples scène de masturbation sous la douche (le père, le fils, le copain du fils...) qui ne servent pas le scénario... scénario insipide, dialogues creux et spoiler: cerise sur le gâteau on apprend que le père est un gay refoulé.. . pfff j'ai pas adhéré et j'ai attendu la fin avec impatience...
Une des très bonnes surprises de l'année. Après un début un peu faiblard, le film démarre, s'emballe et nous emmène avec lui. A la fois drôle, enlevé, plein de sous-entendu humoristiques, le tout saupoudré d'une très bonne interprétation et d'un final en forme de feu d'artifice. A découvrir d'urgence!
Crustacés et coquillages, 2005, de O. Ducastel et J. Martineau, avec Valéria Bruni-Tedeschi, Gilbert Melki. Il était moins une : on a bien failli éteindre la TV tant cette petite comédie, ce vaudeville en forme de théâtre filmé était poussif, laborieux et annonçait une série de clichés à la tonne. Clichés sur les homos, l’adultère, les parents, les ados, les vacances etc. Et puis, miracle, l’affaire a décollé au bout de 30 mn. Cette famille, enrichie par l’amant de la dame, celui du monsieur, le plombier, le copain du fils…s’avère finalement extrêmement drôle et sympathique, dans la mesure où, chaque fois que le scénario touche au mélo conventionnel ou à la farce lourdingue, l’auteur ripe vers un comique intelligent. La liberté sexuelle qui règne dans cette tribu vacancière s’exprime toujours avec pudeur et respect de l’autre et l’état d’esprit, en permanence « non conflictuel » des personnages permet une élégante distance par rapport à l’histoire de chacun. Joyeux, libre, voire libertin, mais sans la moindre vulgarité. Son épouvantable.