Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Michael78420
45 abonnés
1 445 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 5 novembre 2024
Les effets spéciaux sont splendides, mais les combats quasi permanents ont finis par me lasser. J'ai même eu un mal fou à comprendre les motivations de Marcus Wright (Sam Worthington) en 2018... jusqu'à ce qu'une scène révèle la vérité sur ses nouvelles origines. Les clins d'œil aux épisodes originels (ceux réalisés par James Cameron) sont bienvenus pour donner un supplément d'âme à ce carnage. Ainsi ce coup-ci c'est John Connor (Christian Bale) qui se charge de dire : "Je reviendrai." Tandis que You Could Be Mine (Guns n'Roses) retentit pendant que le héros prend le contrôle d'une moto Terminator. On notera aussi l'apparition réussie d'Arnold Schwarzenegger en images de synthèse. Bref, la réalisation est soignée mais à trop diluer le sirop, il perd de sa saveur.
un terminator sans Schwarzenneger et sans Cameron. Sans vouloir être méchant ce film n'est pas vraiment un terminator, on ne retrouve pas les antagonistes précédents, marcus est une machine sans en être une , bref on est sur quelque chose qui part un peu dans tous les sens en tentant se raccrochant au wagon de la saga mais sans jamais y parvenir car il zappe des choses des précédents
La direction de cet opus est différente des films précédents, McG a voulu prendre des risques et exploiter l’histoire après le jugement dernier où John est chef de la résistance. La réalisation est correcte, ce monde post apocalyptique est intéressant à l’écran, avec un gros casting, Sam en Marcus, un rythme dynamique, des séquences explosives, on peut pas nier que y’a de la proposition ici. Par contre le film mise tout sur sa mise en scène et son côté blockbuster, car le scénario on s’éloigne vraiment je trouve, je m’attendais à bien mieux de mon point de vue, surtout Bale en John Connor c’est trop plat, puis le fait qu’on voit pas notre grand Schwarzenegger.. mais il reste un opus correct.
Épisode largement mésestimé de la saga Terminator, Renaissance de McG paye surtout l’absence de Schwarzenegger à l’époque parce que objectivement, il est très bon. C’est également le seul épisode où l’on prend enfin part au Jugement Dernier après que les machines aient pris le pouvoir sur les humains. Ce qui donne lieu à des affrontements impressionnants et ce qui nous offre enfin un scénario différent. McG a mené son entreprise tambour battant avec notamment au réalisation au top et une mise en scène très dynamique, le tout étant d’une redoutable efficacité. Pour finir le réalisateur s’entoure d’un casting prestigieux avec en tête l’inénarrable Christian Bale épaulé d’une pléiade de bons comédiens dont notamment le regretté Anton Yelchin. Renaissance est clairement un opus qui mérite d’être vu et j’irais même plus loin qui mérite d’être légitimé.
Pour passer après le 3, McG a fait un travail remarquable en nous transposant non pas dans le présent, mais dans le futur. Le film a raison d'être dans la mesure où il nous explique la reconnaissance de John, sa rencontre avec Kyle Reese, la création des T-800 et où il racccroche les ponts avec le premier film. Marcus est un des points forts du film : mine de rien, il a fait des choses horribles et peu enjaillantes et tente de prouver qu'il est plus que l'on pense. Contrairement à ce que beaucoup disent, spoiler: je ne trouve pas la révélation que Marcus soit un Terminator prévisible . Pour ce qui est des autres acteurs, ils font bonne figure et ont l'air réalistes et à la limite empathiques. Le film est très immersif : des plans sont filmés à hauteur d'homme et les paysages post-apocalyptiques offrent un bon rendu. Le teint grisâtre m'a fait penser à "La Guerre des Mondes" de Spielberg et les effets spéciaux sont de bonnes qualités. Danny Elfman a composé une musique brutale avec des airs futuristes.
De toutes les suites, je trouve que "Terminator Renaissance" est une des plus dignes de la saga : il ne tombe pas dans le réchauffé avec des références abusives, il explore un nouvel horizon et réussit à "boucler" cet arc narratif de la saga.
Film Terminator se passant afin dans le futur où les machines ont pris le contrôle de la planète et commence son extermination des humains.
Les effets spéciaux sont très biens, l'ambiance et l'univers sont bien retranscrit et les acteurs jouent plutôt bien. Un film américain plutôt classique en somme.
Ce que je ne comprends pas sur ce film est le choix d'avoir mis un étalonnage marron moche tout le long du film avec en prime des nuits américaines très mal faites.
La réflexion plutôt classique sur la singularité de l'humanité est trop superficielle pour être pertinente.
Un film divertissement correct sans grande nouveauté faisant manquer le coche à une saga qui a été plutôt révolutionnaire pour son époque.
Malgré l'attente et l'espoir placés en « Terminator Renaissance », difficile de ne pas ressentir une profonde déception. Si le film promettait une nouvelle ère pour la saga, il se perd dans un récit confus et dénué de la finesse qui caractérisait les œuvres précédentes. La tentative de donner une nouvelle direction à la franchise se solde par un spectacle bruyant et chaotique, où les effets spéciaux et les explosions semblent compenser un manque flagrant d'originalité et de substance. Les personnages, jadis nuancés et captivants, sont réduits à des caricatures, engloutis dans un tourbillon d'action ininterrompue qui laisse peu de place à l'émotion ou à la réflexion. L'humour et la profondeur qui infusaient les premiers films ont cédé la place à une gravité artificielle et oppressante. Malgré quelques éclats visuels et un respect de surface pour la mythologie de Terminator, le film échoue à capturer l'essence de ce qui a fait le succès de la saga, se révélant être une suite oubliable et superficielle. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Le vrai héros reste la machine, mais cette fois hybridée à un cerveau humain... et ça change tout concernant le comportement. Car même un humain au départ mauvais vaut mieux qu'une intelligence artificielle. Voilà le propos. Les personnages féminins sont too much. Mais le placement de l'histoire dans le futur renouvelle l'intérêt.
TERMINATOR RENAISSANCE (2009): Avant de regarder cet opus et afin de bien le comprendre, il vous faudra au moins avoir vu le premier Terminator. Année 2018, la civilisation humaine sera en grand danger face à une intelligence artificielle dévastatrice, Skynet. La résistance mondiale s'organisera. Parmi ces guerriers de l'apocalypse un meneur d'hommes se distinguera, John Connor. Retrouver et protéger Kyle Reese, la clé de l'humanité, sera son unique but. C'est dans un monde en ruine, ambiance Mad Max/Terminator (j'ai adoré), que nous ferons aussi la connaissance de Marcus, un amnésique bien mystérieux. Un scénario intéressant et instructif (la construction des T800, un camp de la mort géré par Skynet…), une mise en scène dynamique dans un univers futuriste apocalyptique qui mettra en lumière de farouches ennemis en acier (Motos Terminator, serpents Terminator, mais aussi de très sophistiqués vaisseaux volants bien armés, sans oublier les indestructibles Terminators squelettors). Deux acteurs charismatiques: Christian Bale en John Connor et Sam Worthington dans le rôle de Marcus, à eux deux ils porteront magistralement ce film. Un excellent film e science fiction.
Pour une suite de suite de suite.. on aurait pu croire que ça sentait le réchauffé. Ben pas tant que ça. L'histoire est originale et portée par d'excellents acteurs. En fait, l'absence de Schwarzenegger ne donnait pas envie de le voir tant il est ce film, mais tout compte fait ça fait du bien!
“Terminator Renaissance” offre une revitalisation réussie de la franchise, apportant une nouvelle perspective à l’univers post-apocalyptique. Les scènes d’action dynamiques et la tension constante maintiennent l’excitation tout au long du film. Christian Bale livre une performance convaincante en tant que John Connor, ajoutant une intensité émotionnelle à l’histoire. La réalisation de McG apporte une esthétique visuelle percutante, et l’exploration approfondie du contexte dystopique ajoute des couches de complexité à cet opus de la saga Terminator.
4e volet de la saga "Terminator", et ce nouveau volet va prendre une forme différente par rapport aux autres : la réalité est toute autre. On y voit bien une grande régression par rapport aux précédents Terminator et c'est fortement dommage. On a l'impression d'avoir affaire à un travail semi-bâclé, mais heureusement que Christian Bale est à pour redresser un peu le niveau.
"Terminator Renaissance" (Terminator Salvation) offre une plongée audacieuse dans l'univers dystopique post-apocalyptique de la saga Terminator. Réalisé par McG, le film apporte une nouvelle dimension à la franchise en se concentrant sur les événements qui ont suivi le Jugement Dernier et la résistance humaine contre les machines.
L'intrigue se déroule en 2018, où John Connor, interprété par Christian Bale, émerge comme le leader de la résistance humaine contre Skynet, l'intelligence artificielle qui cherche à éliminer l'humanité. Le film explore les enjeux complexes de la survie dans un monde dévasté par la guerre entre les machines et les survivants.
"Terminator Renaissance" se distingue par son atmosphère sombre et immersive. Les paysages post-apocalyptiques sont visuellement saisissants, offrant un contraste frappant avec les films précédents de la saga. Les effets spéciaux contribuent à créer des scènes d'action spectaculaires, en particulier les affrontements entre les humains et les machines.
Christian Bale livre une performance convaincante en tant que John Connor, apportant une intensité et une détermination remarquables au personnage. Sam Worthington, qui incarne Marcus Wright, ajoute une dimension intrigante à l'histoire en tant que personnage à la fois humain et machine.
L'action est au cœur du film, avec des séquences dynamiques et des combats effrénés entre les soldats humains et les redoutables Terminators. L'inclusion de nouveaux modèles de machines, tels que les T-600 et les Moto-terminators, élargit l'éventail des menaces auxquelles la résistance est confrontée.
La bande sonore, composée par Danny Elfman, amplifie l'intensité émotionnelle du film. Les thèmes musicaux épiques contribuent à créer une atmosphère de tension constante et renforcent l'impact des moments clés de l'intrigue.
"Terminator Renaissance" se démarque en explorant des thèmes tels que la loyauté, la survie et la nature de l'humanité face à l'adversité. Bien qu'il s'aventure dans une direction différente par rapport aux films précédents de la saga, il réussit à offrir une expérience captivante pour les amateurs d'action et de science-fiction.
En conclusion, "Terminator Renaissance" injecte une nouvelle énergie dans la franchise Terminator en explorant les recoins sombres de son univers post-apocalyptique. Avec des performances solides, des scènes d'action mémorables et une exploration audacieuse de la résistance humaine contre les machines, le film s'impose comme un ajout intéressant à la saga Terminator.
Contrairement aux précédents terminator le milieu du film est excellent, l'association sam worthington et moon bloodgood fonction très bien, la fin est sympa mais le début trop long et on s'ennuie les 30 premières minutes