Derniers Avis : Terminator Renaissance - Page 2

Dans un sépia couleur métallique, façon engins de guerre sur champs de ruines, ce nouvel épisode Terminator aborde encore et toujours la résistance humaine face à l'hégemonie des "machines" et autres robots occupés à traquer les hommes pour les éradiquer.
Il est bien loin le temps, esthétique comprise, des Terminator de Cameron et Schwarzenegger. L'action, ici, comme dans tout les blockbusters de ce temps, est une affaire de prouesses numériques, de fusillades et d'explosions en tout genre. Hélas, pas plus que la grisaille artistique dans laquelle baigne le film d'un bout à l'autre, cela ne fait une histoire. Celle de O'Connor, qu'on nous désigne comme le messie de l'humanité, se résume à pas grand'chose (avec peut-etre des références, confuses, à l'épisode précédent) tandis qu'un costaud et énigmatique allié venu de nulle part joue les Mad Max au petit pied. Le film de McG est ennuyeux parce qu'il n'y a pas de scénario; et il n'a aucune portée dramatique parce que ses personnages sont des coquilles vides dont les émotions primaires et la destinée indiffèrent complètement.
Terminator Renaissance est un film sombre, étriqué, et le contraire d'une aventure ludique.

Le film sort de la franchise pour nous emmener au cœur du futur dirigé par Skynet, et au cœur de la rébellion, on y voit un tournant dans le traitement des précédents films. On retrouve des marqueurs forts, avec la présence de John Connor, la photo emblématique de Sarah du premier opus et ses cassettes audio, nous faisant écouter sa voix.
De bruit et de fureur sera le futur, les machines sont toutes puissantes, et la résistance essaie de survivre plutôt que d'être victorieuse.
Le revoir en Blu Ray, donne un rendu top et des effets sonores dingues, cela apporte vraiment un plus au visionnage du film.
Ce qui me pousse à dire que visionné dans de bonnes conditions le film est loin d'être mauvais, il apporte son lot d'action, de rebondissement et de testostérone, et vouloir se projeter dans ce futur proche n'est pas une si mauvaise idée. Bon spectacle.

Ce n'est pas franchement le genre de films qui me plaît et donc je ne connais pas très bien l'univers des « Terminator ». Mais j'ai regardé ce film sans préjugés et sans le comparer aux autres de la franchise. Ce qui marque, ce sont les actions qui se suivent à tel point que l'on n'a pas le temps de respirer. Par ailleurs, si le scénario ne m'a pas emballé, rien à dire sur le casting.

tl;dr « Terminator Renaissance » est un film captivant qui a su redonner vie à la franchise Terminator de manière impressionnante. Monsieur Christian Bale incarne brillamment l’iconique John Connor, et son interprétation intense ajoute une profondeur émotionnelle au personnage. Les effets spéciaux sont tout bonnement époustouflants, créant des scènes d’action haletantes et des combats contre les machines qui vous tiendront en haleine. L’histoire offre une nouvelle perspective sur l’univers Terminator en explorant la montée des machines et les luttes désespérées de l’humanité pour survivre. La réalisation de McG apporte un style visuel distinct au film. Dans l’ensemble, « Terminator Renaissance » est une réussite qui ravira à la fois les fans de la franchise et les vrais amateurs de science-fiction.

Mais plongeons plus en profondeur dans « Terminator Renaissance ». Ce film de science-fiction est parvenu à réinventer la saga Terminator de manière plutôt convaincante. Voici quelques éléments clés qui en font une œuvre assez mémorable :

1. Christian Bale en John Connor : L’interprétation de Christian Bale est l’un des points forts du film. La performance de ce grand acteur apporte une couche de complexité au personnage de John Connor, en le montrant comme un leader charismatique, mais aussi comme un homme rongé par la responsabilité de sauver l’humanité. L’excellent Bale offre une intensité remarquable à chaque scène.

2. Effets spéciaux de pointe : « Terminator Renaissance » impressionne par ses effets spéciaux de haut niveau. Les machines, les robots Terminator et les scènes d’action sont visuellement stupéfiants. La séquence de bataille à l’usine est particulièrement mémorable (un peu trop longue, d’ailleurs), avec une combinaison de cascades pratiques et d’effets visuels époustouflants qu’il convient de ne pas dévoiler ici.

3. Narration nouvelle et très audacieuse : Le film explore une période inédite de l’histoire Terminator, se concentrant sur la montée en puissance et en conquête des machines et la lutte engagée pour la survie de toute l’humanité. Cette nouvelle perspective apporte une fraîcheur bienvenue à la franchise tout en offrant une nouvelle intrigue captivante.

4. Style de réalisation unique : La réalisation de McG apporte un style très distinct au film, marqué par des scènes d’action dynamiques et une utilisation habile de la musique pour renforcer l’atmosphère. Cela contribue à maintenir un rythme effréné tout au long du récit. Les effets sonores spécifiques sont également des plus réussis.

5. Thèmes profonds : « Terminator Renaissance » explore des thèmes profonds tels que la survie de l’humanité face à une technologie incontrôlable, qu’on appellerait intelligence artificielle de nos jours, la loyauté et la résilience. Ces thèmes ajoutent une couche de réflexion à l’histoire, la rendant beaucoup plus que simplement un film d’action et de science-fiction.

Par ailleurs, l’œuvre « Terminator Renaissance » ne se limite heureusement pas à des rôles masculins dominants. Il met en avant des personnages féminins forts et diversifiés qui contribuent de manière très significative à l’intrigue et à la dynamique du film, montrant que « l’égalité des sexes » est une composante déterminante et essentielle de la résistance humaine contre les Machines.

Les interprétations féminines dans « Terminator Renaissance » sont donc tout aussi marquantes et importantes pour l’histoire du film. Voici quelques points à considérer :

1. Moon Bloodgood en Blair Williams : la très séduisante Moon Bloodgood apporte une forte présence à l’écran dans le rôle de Blair Williams. Son personnage apparaît courageux, déterminé, avec ses complexités et ses propres sentiments, et enfin très compétent, ce qui en fait un atout essentiel pour la Résistance humaine. Sa performance montre clairement une femme forte d’un grand tempérament qui se bat sans relâche aux côtés de John Connor pour l’avenir de l’humanité, dans tous les sens du terme.

2. Helena Bonham Carter en Serena Kogan : Bien que son rôle soit relativement succinct et court, Helena Bonham Carter incarne la vilaine Serena Kogan, une sombre scientifique clé dans la création des Machines. Son personnage est complexe, et sa présence énigmatique ajoute une dimension très intrigante à l’histoire. On voudrait en savoir plus… sur cette cancéreuse aigrie qui donne à transmettre le « goût de la mort » à la deuxième tête d’affiche du film.

3. Les femmes dans la résistance : Le film présente également d’autres femmes au sein de la résistance, comme la belle et précieuse épouse enceinte de John Connor, montrant qu’elles jouent un rôle actif et crucial dans la lutte pour la survie. Cela contribue à créer un univers où les personnages féminins ont tout à fait leur place et leur importance. Même l’adorable et touchante petite Star.

En conclusion, « Terminator Renaissance » a réussi en 2009 à raviver brillamment la franchise ‘Terminator’ avec une interprétation mémorable, des effets spéciaux totalement époustouflants et une narration savamment audacieuse. Il s’agit bien d’un film de science-fiction plutôt incontournable pour les fans de la saga, ou tout simplement les amateurs du genre comme moi.

Pas aussi bien que les deux premiers Terminator , qui sont des chefs d'oeuvres ou j'ai mis 5 étoiles , mais mieux que les autres Terminator qui ne sont pas terribles , pas trés bien .
Un bon film de science fiction avec du suspens et des scénes d'action spectaculaires .

Les scènes dans le desert sont à la hauteur du 1 et du 2, c Bale ça fonctionne, s Worthington son rôle Ok c'est original, seul bémol c'est quand John Connor se rend en moto seul au QG de Skynet... Non mais c'est pas sérieux cette scène :-( Le reste c'est du très bon.

on sent l implication des 2 acteurs principaux qui porte le film, on sent l investissement financier dans les très (trop) nombreuses scènes d action... on sent la volonté de cohérence du scénario... mais la mayo ne prend pas. Le format change, des scènes ubuesque (la romance entre la brune et Sam W.) Bref, un terminator sans Schwarzzi c'est comme 1 match de foot sans ballon...

Pensé au début comme un reboot, puis finalement rattaché à la trilogie, bien que le chiffre 4 ne soit pas ancré dans le titre, Terminator Salvation peut-être interprété comme un spin-off sur Skynet. Le film sait faire preuve d'inventivité et d'audace, mais apporte tout de même son lot d'incohérences. Heureusement elles sont rattrapables, mais seulement au prix d'un véritable "Terminator 5" qui s'inscrirait dans cette continuité. Et ça tombe bien, ce scénario existe, et est à découvrir sur la chaîne YT "La Séance de Minuit"

Dommage que Megan Ellison et son frère aient préféré le snobber sans chercher à le lire pour nous pondre ces horreurs de Genisys et Dark Fate.
Amateurs...

Genisys qui N'EST PAS TERMINATOR 5 mais une version bis de T3 (tout comme Dark Fate n'est pas du tout T6, mais "T3 Ter").

« spoiler: La différence entre nous et les machines.
»

Un quatrième volet intelligent et discret de la série, qui explore ce qui fait la différence entre les machines et les humains avec cœur et âme, tout en liant l'intrigue de la saga avec une nouvelle distribution stellaire d'actrices et d'acteurs qui honore l'héritage de la "trilogie Schwarzenegger" initiale.

« spoiler: Marcus Wright : (pensant) Qu'est-ce qui nous rend humains ? Ce n'est pas quelque chose que vous pouvez programmer. Vous ne pouvez pas le mettre dans une puce. C'est la force du cœur humain.
»

4.3/5

Terminator renaissance est sûrement le meilleur opus de la franchise à part le premier, chef d'oeuvre indépassable. Son aspect militarisé, la photo, les effets spéciaux (les extraordinaires machines, à commencer par les motos !) et le tandem Christian Bale - Sam Worthington en font une réussite.

Un bon film d'action avec un Christian Bale un peu inférieur, il nous a habitué à si bien que je l'ai trouvé un peu moins convaincants mais quand même très bien. Dommage que le film soit une suite d'une saga a succès juste pour faire de l'argent, et je trouve que l'on le ressent, ce qui va faire de ce Terminator un film oubliable.

MCG revisite terminator sous forme de prequel un blockbuster intéressant centrer sur John Connor l'un des terminator les plus réussi

Dans ce quatrième épisode de la saga, on évolue dans un no man’s land déprimant, où le visuel est rugueux, avec des couleurs entre le délavé et le sépia mâtiné de teintes de gris, sur fond de décors très impressionnants que les meilleurs des post-nukes ne renieraient pas. Le tout est également magnifié par des effets spéciaux à la hauteur (cf. l’apparition clin d’œil de Schwarzy en images de synthèse) et des scènes d’action époustouflantes qui défouraillent sévère (notamment les rafles d’humains par les robots géants de Skynet ou le siège de l’entreprise maléfique par la résistance). Toutefois, le film brasse tellement de références, qu’il semble manquer d’une âme véritable et innove largement moins que le deuxième épisode en son temps. Sont ainsi évoqués pêle-mêle : « Mad Max », « Ghost in the shell », « Les fils de l’homme », « Transformers » et également le roman de Cormac McCarthy « La route », adapté au cinéma depuis. Côté casting, la distribution féminine est fade à souhait : entre le pot de fleur et la bimbo de service, on ne sait que choisir ! Où est donc passée l’inébranlable Sarah Connor !? Heureusement, c’est Christian Bale qui sauve les meubles. Il incarne en effet un John Connor devenu chef de la résistance, un être on ne peut plus déterminé à la mâchoire serrée et parfois plus machine qu’humain dans ses rapports avec les gens et l’exposition de ses sentiments. En définitive, on reste, dans l’ensemble, assez déçu car il n’y a quand même pas grand-chose de révolutionnaire dans tout ça, d’autant que le dénouement final, archi prévisible, vient saboter une entreprise assez fragile souffrant d’un scénario assez peu étoffé. Meilleur que le troisième film car copie conforme du deux mais avec une femme, on attend tout de même mieux de cette saga !

Le scénario est une passoire mais le film est génial.

On va passer rapidement sur la quantité monumentale d’incohérences, par rapport aux autres et au sein même du film. Visiblement ils ont pas du trop se relire.

Toujours pour le scénario, globalement ça va pas chercher bien loin, même si le personnage de Marcus Wright est très intéressant. Et puis l’organisation de la résistance, le point de vue de John Connor, des citoyens.

C’est ultra efficace. C’est un film d’action qui happe complètement le spectateur, c’est stressant d’un bout à l’autre et on sait que ça peut bien, tout comme mal finir. On a des nouveaux personnages, des nouveaux enjeux, un nouvel acteur pour John Connor (pourquoi pas). C’est bien filmé et bien monté pour un film d’action. Ça fait un peu Mad Max. Les effets visuels sont corrects, tellement que même les comédiens ont l’air en images de synthèse (on l’excuse parce que c’est les années 2000 et puis j’aime bien ce côté kitsch finalement).

La photo est moche. Tant pis.

C’est le quatrième Terminator mais le premier qui nous montre pendant plus d’une minute (en gros tout le film) le monde de la guerre contre les machines, après l’apocalypse. Ça valait la peine d’attendre quand même.

Et puis ce qui est bien avec Terminator c’est que chaque opus reprend les précédents, mais différemment, en explorant des nouveaux concepts, en posant des nouvelles questions, en développant des personnages. On est toujours surpris, mais en même temps réconforté sur ce qu’on connaît déjà (un peu de fan service ne fait pas de mal).

Ce quatrième long métrage Terminator est un bon film de divertissement science-fiction post-apocalyptique.

Ce film est de meilleur qualité que le précédent
(Le Soulèvement des machines ) .


Ce monde futuriste après une catastrophe planétaire est bien représenté avec des effets spéciaux réussis.


Le scénario est intéressant malgré qu’il soit simpliste.


Du fait que ces suites ont été annulées ce fait de lui une conclusion plutôt correcte de la 1er timeline temporel de la saga.