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Estonius
3 359 abonnés
5 452 critiques
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2,0
Publiée le 25 juin 2023
Le début était prometteur, Edward Norton et David Morse sont excellents, mais très vite le film n' pus grand-chose à nous dire, se perd en des scènes qui ne font rien avancer et dans des dialogues interminables et tout cela devient très décevant.
4 568 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 14 mars 2021
J'ai trouvé que ce film commençait bien. Les acteurs étaient excellents et j'ai ressenti la situation de tous les personnages même si la véritable unité familiale n'a pas été complètement révélée. Nous n'avons jamais eu assez d'informations sur le père pour vraiment ressentir sa douleur pour toute son implication ou la construction de son animosité avec Tobe. Dans une scène on le voit l'admirer pour sa ténacité et dans une autre il est sur le point de lui arracher la tête. Un autre problème avec le film est qu'il s'est démêlé et a perdu tout intérêt à la fin et j'ai supplié pour qu'il soit terminé. Au cas où vous voudriez connaître l'intrigue il s'agit d'une adolescente qui après avoir été licenciée a emmené le cow-boy de la station-service à la plage et s'est envoyée en l'air le même jour. Un conflit existe entre son père qui tente de séparer son petit ami deux fois plus âgé qu'elle en raison de son caractère douteux. Le sadisme du cow-boy et d'autres choses seront révélés plus tard. Le film sur les fous sont intéressant mais désolé de vous dire que ce n'est pas le cas de celui-ci...
Un scénario qui rappelle quelques films intéressants mais si le départ est plutôt réussi la suite manque d' épaisseur. Malgré des bonnes interprétations le travail sur les personnages reste trop superficiel. Je ne suis pas totalement convaincu de l'intérêt du film tel quel.
Une adolescente qui s’ennuie dans sa banlieue américaine et un jeune déraciné se présentant comme un cow-boy romantique en harmonie avec la vie, l’humanité et l’authenticité, tombent éperdument amoureux. Mais le père de celle-ci, flic conservateur qui ne voit de valeur que dans le travail et la bonne conduite ne l’entend pas de cette oreille. Son handicap au niveau du dialogue lui vaut l’inimité de tous, y compris de son tout jeune fils qui voit aussi dans le nouveau venu un espoir de rêve et de liberté. On rit et on s’étonne d’abord des tant de réactions peureuses et virulentes des braves gens face au comportement simplement spontané, charmant et enfantin du jeune homme, avant qu’ils n’évoluent à l’excès puis ne donnent des signes manifestes de malhonnêteté et de schizophrénie. A l’instar de Collision, mais avec moins d’envergure, le film expose quatre personnages complexes qui se révèlent ce qu’ils ne paraissaient pas. Ce film, porté par les encore une fois grands Edward Norton et Davis Morse, au départ mignon et un peu lent, finit par captiver l’attention à mesure que se déploient le malaise et le drame. Il dépeint les portraits ni noir ni blanc de héros poussés par la langueur désenchantée de la jeunesse, la folie de la solitude, la nécessité vitale et impopulaire du pragmatisme, et la détresse d’un enfant qui a soif d’un peu de joie.
"Down in the Valley" est l'exemple même du ressenti en demi-teinte, un film avec autant de qualités que de défauts, qui sait faire preuve de la subtilité d'un chirurgien comme de celle d'un éléphant. C'est principalement ce qui va ou ne va pas avec le film. Sa grande force ce sont ses personnages, les relations qu'ils entretiennent et surtout la libre interprétation laissée au spectateur quant à leur nature. Harlan est fascinant, et le film n'indique jamais clairement à quel point il est perturbé, la performance tout en nuances d'Edward Norton aidant beaucoup. Le personnage de Wade est aussi très touchant, là encore on ne saura pas s'il est ou non le père des deux enfants, toujours est-il qu'il apparaît comme un père aimant mais maladroit face à une situation qui le dépasse, où il se sent forcé de recourir à plusieurs formes de violence. David MLorse est lui aussi très juste dans ce rôle. Seulement tout ça est majoritairement présent dans la seconde partie du film. La première m'est apparue comme pas grand chose d'autre qu'une romance cul-cul d'adolescente, enfin entre une ado et un trentenaire (d'ailleurs le film ne l'évoque jamais, on ne s'étonne pas de ça aux états-unis ?) bien filmée certes, mais surtout constituée de phrases romantiques toutes faites et de symbolisme forcé qui n'a pas toujours grand-chose à voir avec les thèmes développés. La deuxième moitié est infiniment plus intéressante et évite de peu le pathos larmoyant même si la subtilité est parfois à la ramasse à l'image de cette scène du tournage dont on aurait pu se passer, et qui ne fait que sur-expliciter une facette déjà assez présente du personnage. A sa charge par contre, le film n'est pas du tout prévisible. L'issue de tout ça me paraissant limpide dans la première partie, et puis le film a pris un tas de routes différentes. Au final le film est loin d'être exempt de défauts mais passé le cap de la première partie, il s'avère qu'il fait réfléchir, qu'il traite bien ses thèmes et se révèle loin d'être chiant.
Un film décevant dont l'idée de base était bonne (un peu comme "Love & Secrets") mais après une bonne première heure et une , le film ne nous étonne plus du tout, la faute aux personnages pas assez fort et développés (particulièrement celui d'Edward Norton) et à un scénario plutôt plat. Dommage car le casting est assez bon : Edward Norton en personnage ambigu et manipulateur et Evan Rachel Wood est convaincante. Enfin, à noté : la bonne BO mais globalement le film est trop classique, trop long et trop lent par moment.
Alternant entre la romance et le drame, David Jacobson signe une réalisation saine et intéressante en nous démontrant l'histoire d'amour entre un cow-boy perturbant et refusant de vivre dans le monde moderne et une adolescente particulièrement inconsciente qui développe une vision des choses qui n'est pas du goût de son père qui semble très peu responsable de la vie dont mène ces enfants ! Dès le démarrage nous cernons de façon simple le comportement de chacun des personnages et c'est bien évidemment le détail qui portera ces fruits. La réalisation assure un plaisir à suivre l'ensemble malgré quelques scènes à l'eau de rose qui apporte un légère ennui, heureusement que le film prend une tournure rapidement bien plus triste et réaliste après ! La photographie est très plaisante et démontre l'enthousiasme que le réalisateur à surement pris la peine de faire en illustrant plus sur le coté urbain montrant que même en restant dans l'ancien, nous pouvons faire quelque chose de satisfaisant, le secret de la réussite est décidément dans la netteté de la mise en scène qui n'est ni trop longue, ni ennuyante, sans pour autant être synonyme de performance ! Le casting est également très satisfaisant, Edward Norton interprète très bien son rôle, David Morse est également surprenant dans son rôle de père aisément méchant et le petit Rory Culkin qui livre une prestation amplement remarquable pour son son jeune âge, je regrette cependant qu'Evan Rachel Wood ne creuse malheureusement pas plus dans son personnage qui est indéniablement le personnage clé de l'intégralité de l'histoire. La musique est fidèle et renvoi à l'époque des plus grands westerns. Le principal atout que comporte, Down in the valley, c'est son contexte qui apporte une vision différente de la vie, le scénario n'est qu'un plagiat des succès des années 90. Pour ceux qui veulent un bon drame avec une touche mature, seront dans la satisfaction.
mouais, pourquoi pas. Je ne le garderais pas en tête très longtemps mais peut valoir le coup d'oeil pour le personnage de Edward Norton très intriguant et malheureusement le reste jusqu'au bout....
Voila un film que je ne sais pas trop quoi penser. Malgré que pour moi Edward Norton est un très bon acteur et qu’il incarne très bien son rôle dans Down in the Valley, je ne suis pas arrivé à accrocher complètement au film. Pourtant on sent bien que le scénario a été travaillé. Ce que l’on arrive très bien à ressentir c’est la transformation du personnage tout au long du film. On part d’une histoire banale au début pour terminer sur un homme qui ne correspond plus du tout au personnage principal. On commence par un sentiment de bonheur pour arriver à un stresse du téléspectateur. Après je ne pourrais expliquer pourquoi je ne suis pas resté en haleine tout au long du film. De plus j’avouerai que je n’ai pas trop compris la fin. En somme un western urbain qui est quand même à voir. P.S : si une personne à compris la fin je suis près à entendre l’explication avec plaisir.
« Down in the valley » malgré la présence de l’excellent Edward Norton est un film vraiment décevant. Il raconte une histoire au final peu passionnante qui donne l’impression que le film tourne un peu à vide, il fait en outre preuve d’un grand manque de rythme qui plonge l’infortuné spectateur dans une torpeur proche du sommeil. Les personnages ne provoquent chez le spectateur ni empathie, ni intérêt pour leurs péripéties avec en plus, pour celui incarné par Edward Norton, une incompréhension des agissements qui sont aux mieux flous au pire insondables. La romance qui naît entre le « cow-boy » et l’adolescente est trop artificielle pour être crédible et les problèmes qu’elle génère n’arrivent pas à créer une tension dramatique convaincante. Tout cela donne un film terriblement ennuyeux. Un sujet trop superficiel, des intentions trop obscures, un manque de rythme incroyable tout cela concourt à faire de ce film un ratage dont on se demande ce qui a motivé Norton à se joindre à cette aventure ou devrais-je dire à ce naufrage.
Super film, on est pris d'affection dans le personnage que joue norton malgrès le faite qu'il soit un peu dérangé et marginal. la 1è partie du film est plus histoire d'amour , la seconde nous en apprend plus sur la véritable personne qu'est harlan.