Un long discours passionnant d’interrogatoire sur des prisonniers politiques durement réprimandés, en pleine projection succédant au sujet des dictatures militaires souverainetés identités nationales sud-américaines. Le regard se porte vers le régime totalitaire de l’échiquier URSS et ses satellites pions d’Europe côté bloc de l’Est, la rivalité face à l’influence des États-Unis dans sa région hégémonique. C’est un pamphlet d’impartialité avec cette mise en scène glissée d’archives ambiguës, que ce soit de droite comme de gauche le clivage politisé, les extrêmes étatiques ont instauré l’histoire. Il n’est pas besoin de le répéter la leçon d’école, on n’aura de cesse de le savoir à cause de quoi concrètement. Les démocraties populaires étaient franchement autoritaires comparés à leurs opposants contre-révolutionnaires conservateurs nationalistes, des cachotiers d’un cercle vicieux, une complicité équivoque qui divisa le monde froidement en guerre indirecte. Des tortures connus par le vécu de la dissidence dont l’auteur autobiographique de cette adaptation semi-fiction, son opinion personnelle restera neutre malgré l’éprouvante emprisonnement d’avoir subit un acharnement étatique. Il était vivant sain et sauf au moment d’écrire son livre et de le citer aux journalistes ennuyés à la recherche de sensation presse pour s’attirer les faveurs d’une bonne opinion publique. C’était une méthode plus psychologique que physique tout autant douloureuse, le manque de sommeil, l’eau qui tombe violemment glacée sur la tête et un effort de marche forcée. La fatigue bousculante fut une épreuve tortueuse, finalement l’aveu à l’aveuglette retient ses larmes à faire fondre, la sentence capitale ou à vie laissant au temps viendra à bout de la réhabilitation. L’entrée en scène théâtrale au sein du parti propre à ces gouvernements socialistes fut une mascarade, le synopsis d’un homme qui n’avait jusque-là rien à se reprocher, grâce à son passé républicain anti-franquiste irréprochable n’était qu’un résumé, ses origines ciblées au procès rappellent son inspiration Trotskiste mineur. Ce sera toujours l’amour d’une femme, l’honorable actrice épouse la Simone à intriguer, qui trahira sa confiance troublée comme dans les histoires politiques folkloriques, ainsi soit ce roman réalisme. L’objectif du cliché photo encore flou, il réussira à s’extirper en faisant défection à l’Ouest Occidentale, l’interprétation est du grand cinéma français. C’est une analyse non-anticommuniste mais une critique à l’égard des dirigeants successifs après le père fondateur qu’est Lénine, qui ont dirigés l’Union Soviétique en le transformant en purge bataille Stalinienne à ciel ouvert. Sa dérive en direction de la boussole autoritarisme, le bouc émissaire et une peur psychose des bourgeois, un sentimentalisme nationaliste même pensée idéologie dans les pays où le communisme de dictateur persécuteur y a triomphé. L’heure du printemps de Prague a sonné le glas pour les Tchécoslovaques, une intrigue de plus historique.