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tony-76
1 082 abonnés
1 410 critiques
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3,0
Publiée le 25 juin 2013
Bon, c'est moins bien que le Diner de cons à la française mais le casting est bien foutu et on s'ennuie pas ! Malgré que se soit vulgaire, on remarque quelques situations cocasses plutôt bonne. On le regarde sans problème.
Franchement c'est quoi ces notes pourries ? vous saquez avec le film juste parce que c'est un remake du diner de con sauce américaine ? Moi j'ai trouvé le film pas mal, j'ai rigolé sur quelques scènes et souri sur la plupart des autres. Alors ok c'est pas non plus la meilleure des comédies mais le film reste correct selon moi. 3/5
On avait vaguement entendu parler du projet dès 2006, finalement il aura fallu attendre 2010 pour voir enfin débarquer sur grand écran le remake du célèbre et inimitable Dîner de cons (1997) de Francis Veber. Sans pour autant crier au scandale, il est vrai que c'est désolant de constater que les Américains persistent à vouloir toujours remaker les films Français (et d'autres nationalités), mais Francis Veber est un habitué, ce n'est pas son premier film a être revu et corrigé à la sauce Hollywoodienne. A travers cette nouvelle relecture, on retrouve dans les principaux rôles Steve Carell, Paul Rudd & Zach Galifianakis, reprenant respectivement les rôles de Jacques Villeret, Thierry Lhermitte & Daniel Prévost. Terminé le "con" qui confectionne des maquettes avec des allumettes, dans cette nouvelle adaptation, le nouveau "con" est un adepte de la taxidermie de souris et s'amuse à les mettre en situation. Jay Roach, à qui l'on doit pourtant de superbes comédies telles que Mon beau-père et moi (2001) ou Mon beau-père, mes parents et moi (2005) nous déçoit grandement cette fois-ci. Le public français ne pouvant s'empêcher de comparer les deux versions, cette nouvelle relecture s'avère franchement décevante et éparpillée. Là où Jacques Villeret excellait dans le "con" de service, Steve Carell en fait des tonnes et devient rapidement lassant, voir même irritant. Mise à part quelques blagues ou situations comiques, on est à mille lieux de l'original et cela était prévisible !
Les remakes américains de films français c'est déjà pas rare. Bon il est vrai que ça va plus dans l'autre sens, même si on ne le dit guère et qu'on l'avoue encore moins. Néanmoins c'est bien le cas là, comme ce le fut pour True lies avec la Totale notamment. Le problème est que ce n'est pas tant transposable à la culture US. On a notre histoire et notre façon de vivre, et en France un diner est bien plus important que là bas, ne serait-ce que par le background autour. Donc déjà ça collait moins, mais en plus on avait de bons acteurs pour ce film-théâtre, exercice auquel les amerlocs ne sont pas habitués. Là on a un mec qui cachetonne un peu partout entre longs métrages et séries, et une star de show tv. L'humour n'est que là et dans le contraste du beau gosse et du mec qu'on a enlaidi. Villeret avait un vrai génie comique, on s'en rend encore plus compte ici. Ce film est juste long, pompant, nul, laborieux, pas drôle, sans âme, en bref il ressemble trop à une copie qui ne s'adapte pas ni au public ni aux codes culturels ni à l'humour qui conviendrait, donc ça tombe à plat (et bizarrement ça a fait un four aux USA comme en France, à force d'être entre 2 chaises).
Aussi incroyablement surprenant que cela puisse paraître, le génial réalisateur de "Mon beau-père et moi" évite de faire de son The Dinner une pale copie de l'original Dîner de cons, la meilleure comédie française jamais réalisée. Là où Taxi US ou Les Visiteurs en Amérique se révélaient trop semblables à l'original, The Dinner accentue la relation entre l'invité et celui qui invite, ne reléguant le dîner final qu'à une seconde position. Steve Carell est plutôt bon et parfois marrant mais surtout au niveau de l'humour, justement, que ça coince. Parce que ça se révèle vraiment trop con et trop lourd pour nous faire vraiment rigoler. Quelques bonnes idées mais ça tourne au vinaigre et passé la première heure on s'ennuie ferme. Le dîner tant attendu se révèle trop court pas assez drôle. Le Générique de fin révèle quelques bonnes trouvailles et relève ma note d'une demi étoile. The Dinner n'arrive même pas à la cheville du film original dont il est inspiré mais évite la catastrophe annoncée, sur ce point, le film se révèle une bonne surprise mais reste lui aussi bien loin des comédies US de qualité.
Beaucoup de changement par rapport à la VF mais le résultat est pas mal du tout, injustement sous-évalué. Steve Carell est parfait dans le rôle du con. Bref c'est moins bien que l'original mais c'est tout de même pas mal, et distrayant.
The dinner est certainement l’un des plus mauvais remakes américain.
Pour commencer, l’histoire est maladroitement modifiée et n’a aucun intérêt. L’humour tombe souvent à plat et on est très loin du Diner de Con version Française. Les dialogues sont à revoir, aucune réplique, ni aucune scène ne sera à retenir. A noter également, la mise en scène de Jay Roach est totalement effacée. Du côté du casting, Steve Carell en fait de trop, il perd toute crédibilité au fur et à mesure que le film avance. De même, les acteurs comme Paul Rudd ou encore Stephanie Szostak se contentent du strict minimum.
mauvais remake qui dénature complètement un film qui aurait mériter un meilleur travail de la part des scénaristes. on reconnait cependant que la prestation de Steve Carell est tout a fait remarquable mais le film semble n'être qu'un enchainement de sketchs avec des personnages secondaires qui semblent être tous aussi loufoques les uns que les autres.... critique sur: cthiboy.blogs.allocine.fr
Obligé de mettre 1 quand même, l’idée de départ est bonne, le scénario aussi, ça reste marrant. Si on a aimé le diner de cons on est obligé de reconnaitre certaines qualités à ce truc puisqu’il utilise les mêmes. C’est le problème des remakes (ou des adaptations plutôt ici), c’est forcément un peu pareil que l’autre. Bon du coup c’est pas si mal mais les détails qui changent sont mauvais par contre. Rien que sur l’affiche on voit qu’ils sont obligés de donner une tête d’imbécile à celui qui fait la victime, puis ils rajoutent plus de vulgaire, tout le monde n’a pas la classe à la française, enfin ils rajoutent des mimiques et des grimaces sauce ricain pour que ça passe vis-à-vis du public. Oui c’est nul, d’où ma note.
Après un générique coloré et bien avant un dinner quelque peu animé en compagnie de Steve Carell, Zach Galifianakis et la très remarquée Octavia Spencer, Jay Roach ne mène pas à bien cette commande, avec ce remake qui décline des dialogues insipides et des situations peu malines qui semblent tout juste écrites à la volé, pour sortir notre Dîner de Cons original de son huis clos. La complicité du duo ne transpire pas. Notre Dîner leur a pas plu, on ne les invitera plus.
Le dîner de cons façon USA, et bien même si dans l'ensemble c'est le même but le tout change tout de même radicalement, les excellents Steve Carell et Paul Rudd forme un splendide duo, l'aventure est rempli d'humour et de tendresse, bref c'est du bon quoi, mais la version française restera la meilleur.
Impossible de voir ce film jusqu'au bout! N'est pas Villeret, Lhermitte et même Weber qui veut... Les Américains feraient mieux de rester dans leur registre (on aime ou pas) et laisser intactes nos "perles" Françaises. En même temps, quand il s'agit de faire du fric sur le dos des autres... lol
Il me semble clair que l'effroyable moyenne de ce film est liée avant tout au reproche et à la comparaison que les gens lui ont fait d'être un remake américain du Dîner de cons. Dieu sait que j'apprécie très moyennement les remakes, qui plus est lorsqu'ils sont américains (ceux qui ont lu ma critique sur "Les visiteurs en Amérique" s'en souviennent sans doute encore, et j'ai appris qu'ils en avaient aussi fait un de "Taxi", mais j'ai préféré ne pas le voir). Sauf qu'ici, il y a Steve Carell. J'avais décidé de me procurer quelques-unes des productions où il joue. Je suis donc tombé par hasard sur "Le dîner". Steve Carell joue à merveille l'excentrique de service - parfois à tel point qu'on a vraiment de la peine pour le personnage, un peu comme dans la série "The Office" où il figure - et Paul Rudd (que je n'avais vu avant que dans "Ant-man", film sorti 5 ans après The Dinner) incarne un perdant qui se laisse marcher sur les pieds en permanence (cf la scène avec la femme qui le harcèle, ainsi que celle du repas avec le suisse, où à chaque fois il se laisse joyeusement marcher dessus). Au passage, contrairement à ce qui est annoncé dans le synopsis, son personnage n'est pas "un homme auquel presque tout sourit" : sa compagne refuse ses demandes en mariage, et professionnellement, il a juste l'éventualité d'une promotion qui se profile, alors qu'il travaille dans un service souffrant d'un manque de considération dans son entreprise. Même s'il est évident que ce film s'inspire très souvent du Dîner de cons, il n'en est pas non plus la copie conforme, et il est appréciable de voir un autre genre d'humour - pas particulièrement vulgaire comme j'ai vu qu'on lui reprochait ici - ainsi qu'un style d'acteur différent. Il m'a bien plu, tout comme les deux autres personnes qui l'ont regardé avec moi - et nous sommes pourtant tous fans du Dîner de cons. Vu la piteuse moyenne, hésitant entre le 3 et le 3,5/5, je lui donne un petit coup de pouce.
Je ne m'attendais pas à une grande comédie mais j'étais loin d'imaginer une aussi mauvaise comédie même Steve Carell est décevant ; bien en-deçà du film de Francis Veber, l'esprit n'y est pas du tout. A part 2 ou 3 instants fugaces qui font rire la plupart des gags sont grotesques par contre ce remake montre le dîner en question.