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    Appelez-moi Kubrick
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    51 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 713 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juin 2023
    Le nom de Brian W. Cook n'ètait connu avant 2005 que d'une poignèe de cinèphiles! Assistant-rèalisateur rèputè chez Stanley Kubrick, Cook passe pour la première fois derrière la camèra et s'inspire d'un fait-divers authentique! Celui d'un imposteur homosexuel qui se fait passer pour le maître Kubrick! Voilà un scènario original qui tente des choses, des expèriences diffèrentes sous forme d'hommages visuels et musicaux à "2001" et "Clockwork Orange". Derrière son apparente respectabilitè, Alan Conway brise en fait la vie des gens qu'il rencontre sans une once de conscience morale! On est à la merci de John Malkovich et de son talent! Grâce à lui on se prend au jeu de l'arnaque et de l'usurpation! Le rèsultat : un film surprenant et une interprètation èblouissante de Malkovich...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    J'ai loué Appelez-moi Kubrick ce soir et après vingt minutes ma femme a commencé à faire la vaisselle. Cinquante minutes plus tard je jouais à des jeux sur mon ordinateur portable. Ce film n'a rien à voir avec Stanley Kubrick donc si vous êtes intrigué parce que vous êtes un fan de Kubrick ne perdez pas votre temps. En regardant le curriculum vitae de Brian Cook il semble qu'il était le directeur adjoint de longue date de Kubrick. De toute évidence il ne faisait pas attention. Certaines compositions ont l'air très étranges tout droit sorties d'une école de cinéma comme des personnages placés au milieu du cadre regardant directement la caméra. Le pire de tout le film n'a donné aucun aperçu d'Alan Conway et pourquoi il faisait les choses qu'il faisait. Le dialogue est douloureusement conscient de lui-même. Tout le monde dans ce film est parfaitement conscient qu'il est dans un film et personne n'agit comme une vraie personne. Même la performance de John Malkovich est très exagérée sans une once de subtilité...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 août 2019
    Film injustement noté par le public et la critique, il mérite amplement le détour. Pour l'excellente interprétation par Malkovitch de ce personnage à la fois outrancier et minable, pour la valeur non moindre des seconds rôles, et pour la qualité haut de gamme de la réalisation.
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2018
    Une idée originale et une interprétation impayable de John Malkovitch cependant il manque un petit quelque chose sur le fond et la forme pour dépasser un peu plus le coté anecdotique du film.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    121 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2016
    On regrette toutes les apparences de ce film sur Kubricj qui le font passer pour une tentative un peu amateur de parler du grand homme. Rien n'est à la hauteur à part John Malkovich qu'on publicise justement un peu trop. On traite trop, ici, du côté imposture, ce qui laisse de côté l'aspect cinéma. C'est, en soi, un choix qui ne peut pas faire l'objet d'une critique, mais qui dote malgré tout l'oeuvre d'une petitesse à côté des œuvres de Kubrick auxquelles on se laisse alors aller à penser.
    Louis Lucas (romancier)
    Louis Lucas (romancier)

    8 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Premier et seul film (à ce jour) de Brian Cook en tant que réalisateur, "Appelez-moi Kubrick" raconte l'histoire d'Alan Conway, usurpateur de génie qui a profité pendant quelques temps de la crédulité des gens en se faisant passer pour Stanley Kubrick. Assistant du cinéaste sur plusieurs films, Brian Cook a probablement eu vent de cette histoire à l'époque et s'est donc lancé seul derrière la caméra pour adapter la vie de cet énergumène qui, paradoxalement, aura laissé une trace dans l'histoire. Par son sujet, on aurait pu s'attendre à un film dans la veine d'"Atrappe-moi si tu veux" mais il n'en est rien puisque l'approche de Cook est résolument différente de celle de Spielberg. Campé par un John Malkovich impeccable, la vie d'Alan Conway se raconte donc sous nos yeux, alternant ce qu'on pourrait appeler un numéro de composition et les violents retours à la réalité qui confèrent au personnage un état schizophrénique dont il peine de plus en plus à voir les limites. Histoire de mieux ancrer le spectateur dans le contexte, spoiler: Brian Cook multiplie les références kubrickiennes et utilise les bandes originales des films de celui-ci notamment lorsque Conway entre dans sa phase de séduction, promettant à tour de bras des garanties financières comme des rôles ou des apparitions jusqu'au dernier "coup" final où il parvient à convaincre un chanteur britannique qu'il va lui organiser une tournée à Las Vegas.
    Habile dans son aisance à conjuguer humour et dramatisation du personnage principal, "Appelez-moi Kubrick" réussit à créer une forme d'empathie pour ce personnage qui trouve en l'usurpation de l'identité d'un réalisateur dont il ne connaît rien un sens à sa vie. Cet honnête divertissement vaut le détour même si, à mon sens, Brian Cook aurait pu aller plus loin dans la psychologie du personnage.
    Félix F
    Félix F

    247 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 août 2014
    L'histoire vrai d'un imposteur et de sa façon d'opéré, certes c'est romancé, mais l'arnaque est tellement ridicule que le film en devient drôle. A voir au moins une fois, juste pour retrouver les musiques des chefs d'oeuvres du VRAI Kubrick.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mars 2014
    "Appelez-moi Kubrick" raconte l'histoire vraie d'un parfait inconnu, Alan Conway (John Malkovich) usurpant l'identité du réalisateur Stanley Kubrick et profitant de la crédulité des gens qu'il rencontrait. Partant d'une idée excellente et plutôt intéressante, ce film ne va finalement pas bien loin, le réalisateur Brian W. Cook se contentant de faire des clins d'œil aussi voyant que lourds aux films de Kubrick, que ça soit des plans ou des musiques. Quitte a rendre hommage autant le faire jusqu'au bout, a la base je pensais vraiment que le thème du film était le plagiat mais la reproduction n'est pas forcément à la hauteur de l'original, pourquoi ne pas avoir avoir repris des décors ou des types de caméra propre à Kubrick et de tout nous balancer, quitte a jouer la surenchère ? Là non c'est par bribes et c'est timide, dommage. Malkovich est bon bien qu'un peu caricatural, a signaler également le sympathique cameo de Marisa Berenson (la Lady Lyndon de "Barry Lyndon"). Bref le film n'a pas vraiment d'intérêt, il reste une déception et ne ravira même pas les fans amusés de Kubrick. Passez votre chemin ...
    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    32 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2013
    Dommage ! Un sujet (tiré d'un fait réel ) prometteur, mais ce film manque cruellement de fond ! John Malkovich est comme à son habitude excellent, beaucoup de clin d'oeil amusants aux oeuvres de Kubrick, mais tout cela ne suffit pas pas à en faire un film marquant, loins de là !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 novembre 2012
    Comédie sur le mythomane qui se faisait passé pour kubrick, d'après une histoire vraie et relativement célèbre. Le film est un peu décevant quand on connait la richesse du sujet, mais bon... il se laisse regarder tout de même.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Les cinéphiles placent Stanley Kubrick parmi les plus grands réalisateurs de l’histoire du cinéma. Bien que New-Yorkais, il a vécu en Angleterre les trente dernières années de sa vie, cultivant le mystère tant sur sa vie privée que sur ses projets professionnels. Malgré sa méconnaissance du cinéma, Alan Conway profite de ce mystère pour usurper l’identité du réalisateur et extorquer des petits sommes auprès de minables : styliste débutant, managers d’un groupe de heavy metal, pharmacien du quartier… Accessoirement, il se sert aussi de sa fausse identité comme instrument de séduction auprès de jeunes hommes.

    Vite repéré par la police, il peut continuer ses combines, ses victimes n’osant pas assumer le ridicule de leur situation. Mais quand il se lance dans une escroquerie de plus grande envergure, il ne peut échapper à la justice qu’en simulant la folie.

    Quel beau sujet, et quel piètre traitement. Quand on évoque un film récent sur un sujet proche, «Cours après moi que je t’attrape», la comparaison est accablante. Là où Spielberg (grand admirateur de Kubrick, dont il a réalisé le dernier projet, «A.I.») mettait en scène la plasticité de Di Caprio de façon virevoltante, Brian Cook filme avec platitude le jeu éléphantesque de Malkovitch, qui donne le là à des comédiens échappés de chez Benny Hill... Alors qu’il y avait la place pour proposer une comédie grinçante, nous n’assistons qu’à une suite de sketchs répétitifs où la seule variation réside dans la garde-robe d’Alan Conway.

    Bien qu’il ait été son assistant sur trois films, Brian Cook semble être aussi ignorant de l’œuvre de Kubrick que son personnage principal. Et mise à part deux loubards coiffés du chapeau melon des drougs d’Alex, la seule réelle citation se trouve dans la musique tirée de «2001», «Orange mécanique» ou «Shining». Mais là où elle s’intégrait pleinement à la narration chez Kubrick, elle n’est ici qu’une évocation plaquée et sans rapport avec l’action, si tant est que l’on puisse parler d’action.

    Bref, on s’ennuie ferme, et la gêne vient s’installer progressivement devant un tel mauvais goût et une telle absence de talent ; l’escroquerie n’est pas que devant la caméra…
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 novembre 2011
    C'est très drôle... Malko en grande folle... Les repères musicaux et visuels empruntés au vrai Kubrick... Franchement j'ai bien rigolé...
    _Royal_
    _Royal_

    128 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 septembre 2011
    Kubrick sans doute s'en retourne dans sa tombe, et Malkovitch aussi. Ce biopic bidon est d'une lourdeur à rendre rouge de rage un certain HAL. Premier constat, Brian Cook a trouvé malin d'incorporé à son film toutes les musiques (les plus populaires, c'est du Besson Corp quand même) de tous les films du maitre, sans véritablement réfléchir au moment de leur utilisation ou à leur rapport avec l'image ou le contexte. Et cette merveilleuse idée s'avère bien évidement grotesque, malhabile et déplacée, et ça des le début du film. Normalement là, pas besoin de plus d'arguments, ça aurai déjà du calmer vos ardeurs cinéphiles. Mais on peut toujours en rajouter si vous voulez, sur la mollesse du film, le montage foireux, l'aspect répétitif et ininteressant des anecdotes racontées sans conviction... Et puis, de toute façon, cette Histoire n'est absolument pas crédible ! L'acteur principal ne ressemble même pas à Kubrick.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 août 2011
    Appelez-moi Kubrick, est un long-métrage relatant l’histoire vraie d’un homme assez âgé étant un véritable arnaqueur en se faisant passer au près de tous pour le célèbre réalisateur anglais, Stanley Kubrick. Seulement celui-ci ne connait rien sur lui et ses œuvres ce qui ne l’empêchera aucunement de profiter des personnes croyant rencontrer le véritable Stanley Kubrick et de les arnaquer sans aucun scrupule. Cette fois-ci, c’est la même histoire mais c’est en film. Ce film s’est vu réalisé en 2003 par Brian Cook. 4 ans après la mort du génie et « mégalomane perfectionniste » Stanley Kubrick, le 7 mars 1999 précisément, ce film serait-il un hommage ? Dans tout les cas, l’acteur principal campe idéalement son rôle d’arnaqueur sachant toutefois la limite qui le sépare lu et l’identité qu’il prétend être, bien conscient de chacun de ses coups fourrés mais vivant au jour le jour sans trop se soucier de ce qui pourrait lui arriver. Car en effet, le film se passe quelques années avant la mort de Kubrick, je dirais précisément vers 1990, ainsi à cet époque il était difficile de trouver une photo du réalisateur, très réservé qui n’acceptait alors aucune interview, personnage à part entière, haut en couleur et vraiment très doué, c’est d’ailleurs parce que c’est l’un de mes réalisateurs préférés que j’ai voulu visionner ce film. Ainsi le scénario campe sur cette histoire et l’acteur Joan Malkovich est assez bon dans son rôle. L’humour est bien dosé, discret mais présent, on se demande toujours comment il va se débrouiller et quel arnaque pourra-t-il encore commettre sans se faire démasquer, si celui se fait démasquer un jour… Pas de grands débats cinéphiliques, de clins d’œil mais juste quelques citations de ces principales œuvres à savoir Shining, 2001 : l’Odyssée de l’espace, Orange Mécanique, Docteur Folamour, Lolita, Barry London, Full Metal Jacket (à ce que je me souviens ne sont pas cités : L’ultime Razzia, Eyes with Shut) si ce n’est la scène selon-moi la meilleure ou un jeune cinéphile démasque l’identité d’Allan Conway prétendant être Stanley Kubrick comme toujours, cependant n’étant pas dupe il se laissera avoir au jeu du cinéphile. Selon-moi c’est la seule scène à retenir car les autres ne cassent pas des briques et sont au final tous dans la même lignée, l’on à toujours l’impression de revoir les mêmes scènes ou Brian W.Cook s’essaye à généralement les innover. La mise en scène traditionnelle reste correcte, certains détails sont de trop comme les allusions à l’homosexualité du milieu de la haute bourgeoisie ou encore du milieu de la musique heavy métal. De plus, un procédé sympa reste celui ou quelquefois les acteurs s’adressent au spectateur en se tournant vers la caméra pour nous donner leur impressions ou pour qu’Allan Conway nous explique quelques détails de son fonctionnement à savoir ces espiègleries, ses ruses pour berner ses proies. Appelez-moi Kubrick bien qu’un peu innovant et à l’humour bien dosé quoi qu’un peu lourd s’annonce assez bien, sans trop casser des briques ni rendre de réelles hommage à Stanley Kubrick, ce célèbre réalisateur anglais.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 octobre 2010
    Inutile, laid et grotesque.
    Pardon Stan.
    Ils ne savent pas.
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