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marv29
61 abonnés
469 critiques
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4,0
Publiée le 15 août 2007
un excelent film sur une partie de la vie de alan conway qui a usurpé l'identité de stanley kubrick. john malkovich toujours au mieux de sa forme, et un premier film réussi pour le réalisateur. il dénonce le profit de certaine personne qui en prenant le nom d'une personne connu essaie de vivre plus aisément en escroquant des gens crédules. une musique culte, une histoire farfelu, un acteur au sommet de son art font de ce film un petit bijou du 7e art .
Excellente comédie, à condition de la regarder en VO. La version française fait perde à cette comédie tout son charme et sa finesse. Car seules les répliques des acteurs de la version originale peut rendre toute la subtilité que contient ce film. Tout est fait d'habiles duperies et de subtiles ruses de la part de l'imposteur Alan Conway. John Malkovitch est parfait dans le rôle de l'imposteur toujours prêt à inventer de nouvelles ruses pour abuser de l'aveuglement d'autrui envers une célébrité. Avec ce film et ses musiques, Brian W. Cook rend un bel hommage à Stanley Kubrick, qui a toujours fuit la médiatisation et traité de la folie dans ses films. A voir (en VO) pour tous les amateurs de scénario construit tout en finesse et truffé de références cinématographiques.
C'aurait pu être drôle et inventif, fin, subtil et plein d'allant. Ben non, c'est juste d'une gaucherie qui confine au mauvais goût, d'une platitude qui verse dans l'ennui le plus profond, et d'une inutilité qui, jusqu'à la fin, apparaît évidente. J'ai du mal à comprendre comment John Malkovitch a pu s'égarer dans une telle daube. Revoyez donc les films de Kubrick qui, eux, ne sont pas une perte de temps. Au fait, c'est uneproduction Europa Corp, la boîte de Besson. Aaah... d'accord, je comprends mieux!
Being Stanley Kubrick. Que retenir de cette comédie pathétique, plus que dramatique, tirée dun fait divers sur un imposteur travesti, homosexuel, alcoolique et surtout malade, qui sest fait passer pour le grandissime réalisateur de "2001 : lodyssée de lespace" et spolia sans vergogne de crédules victimes ? Pas grand chose de transcendant si ce nest la logique parfaite interprétation de John Malkovich, jamais aussi à laise que dans les rôles excentriques. LOscar aurait été largement mérité. Pour le reste, on regrettera que Brian Cook, proche de feu Kubrick dont il fut lassistant réalisateur, ne se soit pas mieux inspiré de la griffe de son mentor. Il aurait alors pu se pencher sur les origines profondes de la névrose de son personnage, afin de mieux le comprendre, plutôt que d'en faire une bête de foire laissée à son désespoir.
Au début j'ai trouvé que les scénes étaient tournées dans un style documentaire d'anthropologue^^ Bon ensuite voir l'escroc sévir quelque fois m'as semblé amusant mais au bout du 10ème laron de ce bon vieu faux stanley kubrick le film devien vraiment trop répétif c'est pourquoi je n'ai meme pas pris la peine de le laisser tourner jusqu'a la fin. Une idée intéréssante je pense mais mal exploitée.
Si je ne devais retenir qu'un seul film en 2006, ce serait celui-ci! Drôle, pathétiquement drôle, triste, délicieusement triste, un Malkovich comme souvent parfait, une histoire légère et futile, tout cela donne un cocktail réussi et plutôt bien cadencé. Pour tout ceux qui, comme moi, adorent le histoires qui ne se fnissent pas forcément bien et les anti-héros primaires!
Malkovitch est génial! Le film tourne autour du personnage principale, un escroc gay, qui prétend avec facilité être Stanley Kubrick. C'est un vrai divertissement et Malkovitch nous démontre à nouveau avec quelle grace il est l'un des meilleurs acteurs. L'histoire quant à elle est d'autant plus originale est l'on regrette que le film ne dure pas quelques heures de plus tant les aventures du personnage et ses mimiques sont délirantes. Ayons l'esprit psychédélique messieurs.
Bon ben trois étapes: la bande annonce, qui donne l'impression qu'on se régalera dans la semaine du 4 janvier. Ensuite, la lecture des critiques qui font très peures, et qui refroidissent. Enfin, la vision du film, décevant.Un scenario poussif, des gags parfois lourds, et un ennui parfois(jamais très long certes). Il y a quand même quelques scenes amusantes:la scene du resto "john who?" et la rencontre avec le presentateur télé et sa descente de l'escalier;toutes deux comme par hasard, dans la bande annonce ! Je suis donc très déçu par ce film, malgré il faut le noter, une bonne présence de malkovich, qui donne l'etoile à ce film.
Ce n'est pas un film,c'est hélàs une suite d'anecdotes qui reprennet toujours le même schéma de départ et de fin! Et le film fait l'éloge en boucle du dicton qui dit:"Tout bon flatteur vit au dépens de celui qui l'écoute!" Oui s'il on peut accorder un bon point à ce film c'est de dénonceer la vanité humaine mais autant de fois plombe le film et cela devient consternant tout comme les tenues de M.Malkovitch! Un grand bravo à son costumier qui a fait des prodiges! Soyons sérieux ;ça ne fait pas un film,tout au plus ça distrait jusqu'à la moitié du film qui aurait pu en venir à bout en 1h! Autre point positif qui ne mérite pas une étoile: Il est quand même plaisant d'entendre les musiques utilisées par le Maître pour ses films.
Fan de Kubrick et d'humour anglais j'attendais beaucoup de ce film. Mais il n'y a de Kubrick que le titre dans cette piètre comédie. Quant à l'humour anglais de toute façon il n'y a pas d'humour ! Le film veut donc nous raconter l'histoire incroyable d'un escroc qui a reussi à se faire passer pour Kubrick pendant plusieurs mois. Une usurpation d'identité peut offrir de grands moments de comédies. Mais faute d'une narration et d'un film avec une trame scénaristique, les situations se suivent sans aucun lien logique, certaines scénes étant d'une inutilité navrante. Si la performance de Malkovich est remarquable son personnage est d'un pathétisme navrant, un cliché à lui tout seul. L'homosexualité y est presenté de façon ridicule. On ne s'attache jamais au protagoniste et c'est encore pire pour les seconds rôles. Entouré de comédien inconnus ce n'est pas avec ce film qu'ils vont se faire remarquer. Faute d'un scénario ridicule il ne peuve pas montrer leur talent. Autre point faible du film un manque de rythme qui plombe l'ambiance. Pour ceux qui est de Kubrick il reste quand même quelques références bien trouvées mais qui se noient dans la masse de références lourdes dénuée d'humour. Il ya quand même des points positifs comme la BO. On retrouve les BO de la majorité des classiques du maitre pour le plus grand plaisir de nos oreilles. C'est d'aileurs le point le plus positif du film. Mais bon reconnaissons lui quelques qualités tel la performance de Malkovich, quelques gags qui font sourire (notament une sur Kirk Douglas mais je vous nela répéterais pas sinon il n'y aura plus aucun bon moment pour vous quand vous irez voir le film), une idée de départ bien trouvé et une mini reflexion sur l'identité, la confiance etc... Mais bon au vue des promesses on a un sentiment de gachis surtout quand on sait que ce sont des anicnes proches de Kubrick qui ont travaillés sur ce film qui nous fait comprendre pourquoi le film a mis autant de temps à sortir.
Lhistoire : Lhistoire vraie dun imposteur qui sest fait passer pour Kubrick pendant le tournage de Eyes Wide Shut et qui a été trahit par ses penchants homosexuels que ne partageait pas le réalisateur.
Mon avis : Malkovich sen est visiblement donné à cur joie et cest un sentiment partagé par les spectateurs. Le voir se trémousser dans des tenues ultra-boudinantes, tirant entre le rose et le violet, les ongles fait, en folle outrancière Absolument jouissif. On regrettera le manque de coordination du tout, qui ressemble plus à une succession de petits sketchs, un léger manque de conséquence dans les arnaques et labsence de raison qui aurait pu mener Alan Conway à devenir Stanley Kubrick.
Le plus étonnant et le plus incroyable dans cette histoire, c'est qu'elle est vraie. Un homme s'est fait passer pour Stanley Kubrick pour arnaquer des gens crédules. Tous ces qui pro quo sont assez réussis mais le côté précieux du personnage principal est un peu agaçant à la longue. C'est drôle parfois, lourd souvent mais l'autre avantage que j'ai trouvé dans ce film, c'est le fait de l'avoir vu durant une vraie avant-première, un mois et demi avant sa sortie en salle, avec en plus John Malkovich pendant une bonne demie heure avec lequel on a pu discuter, malgré ça, ce n'est pas un film qui restera gravé dans ma mémoire.
Il y a des nanars délirants, de ceux quon regarde entre potes pour passer un bon moment devant la connerie involontaires de certains acteurs ou réalisateurs Appelez-moi Kubrick nest pas de ceux-là. Nanar consternant, jamais drôle, vulgaire, platement filmé et John Malkovich quon ne reconnaît pas tellement il se montre mauvais. A Londres , dans les années 1990, un individu du nom dAlan Conway sest fait passer à dinnombrables reprises pour le célèbre cinéastes Stanley Kubrick. Le réalisateur Brian Cook, qui fut lassistant du cinéaste sur Shining ou Eyes Wide Shut, signe une première réalisation avec ce récit dune imposture qui aurait pu être cocasse ou inquiétante hélas, on tombe dans le graveleux avec un personnage quasi-psychédélique et le film tombe rapidement dans le pathétique. Un exercice de composition complètement raté de John Malkovich qui arbore des tenues excentriques, défilé de mode pour la chaîne Pink TV où sa tronche de Droopy fatigué et blasé ne parvient jamais à susciter un quelconque intérêt. Une histoire descroquerie vraiment pas inspirée, tapant sur les nerfs, moche à regarder, chiant à suivre, faussement ironique où le personnage joué par un Malkovich cabot est détestable. Consternant.
John Malkovich est excellent, habitué aux rôles " hors-normes ", il est prodigieux en tant qu'imposteur et surtout tres etonnant dans son rôle de " gay " (par sa façon de parler, de marcher et ses tenues vestimentaires). Un grand bravo !