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GyzmoCA
178 abonnés
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3,0
Publiée le 17 août 2020
Second volet des aventures du justicier Paul Kersey toujours interprété par Charles Bronson et toujours avec le même réalisateur (Michael Winner) . Le producteur dino de laurentis passe à la main au duo golam and globus pour ce second épisode .
Le scénario est identique au premier volet en changeant de localisation (de New-York à Los Angeles) : la scène de viol (encore plus gore) , les meurtres des proches de Paul Kersey, la dénonciation de la violence aux us dans les années 70-80 et la traque des voyous.
La différence réside dans le côté moins psychologique du premier et l histoire de vengeance ciblée. Le duo de producteurs a plus mis la gomme sur l action .
Jil Ireland (la femme de Bronson dans la vraie vie) joue au côté de Bronson comme dans beaucoup d autres films et son intrigue avec le héros n´ apporte rien de plus .
Un deuxième épisode moins intéressant que le premier et moins sociale .
Une pauvre fille qui se fait violer dans chaque ville où elle passe, ne rend pas son père triste ou en colère (il a l'habitude maintenant), mais le transforme en justicier. Ainsi, de simple architecte il devient un tueur professionnel capable de retrouver comme par magie des petits voyous dans une ville aussi grande que Los Angeles. Si le premier volet se laissait regarder, cet épisode n'était pas vraiment indispensable.
Le premier était très bien mais j'ai trouvé cette suite encore meilleure. Il n'y a plus de psychologie mais la vengeance et le suspense font terriblement effet ! Cette fois-ci, les violeurs sont punis, ce qui rend palpitant cette croisade solitaire dans les rues de Los Angeles. Charles Bronson fait de nouveau preuve de talent dans ce rôle de justicier qui lui va à merveille. Le flic de New York, interprété par Vincent Gardenia, est de retour et apporte un peu d'humour dans cet univers malsain !
Cette fois-ci, Michael Winner a laissé de côté la psychologie mais j'ai mieux aimé cette suite car il y a une véritable histoire de vengeance (j'étais resté un peu sur ma faim dans le premier). Charles Bronson tient la route, il faut le voir faire le justicier dans les rues de Los Angeles ! Certains parlent de clichés racistes mais moi personnellement, je n'en vois pas ! Il tue tout simplement de la racaille pour ce qu'ils font et non par ce qu'ils sont ! Ce thriller fait partie de mes deux préférés de la saga (l'autre c'est le troisième).
Comment peut on, penser une seule seconde, filmer une scène aussi terrible que ce viol pour augmenter le box office d'un film ? honteux. Ce film est merdique.
Un excellent thriller (le dernier grand film de Michael Winner) à redécouvrir. Malgré une scène de viol trop longue et too much (d'un mauvais goût absolu), le reste du film élève l'ensemble à un niveau extrêmement bon. La composition sobre d'un Charles Bronson granitique et quasi-minéral, ainsi que la mise en scène très rigoureuse et souvent très efficace (sans compter une bande originale atmosphérique du meilleur effet) font de ce film un petit hit en soi. Un film important, charnière presque essentielle entre les 70's et les 80's, réalisé pour un petit budget, mais probablement l'une des meilleures productions de la Cannon. Le meilleur épisode de la saga, le plus franc et le plus jusqu'au-boutiste aussi (pour le pire et pour le meilleur). Il faudra néanmoins encore du temps pour que ce film trouve enfin le statut culte qu'il mérite amplement...
Second volet de la saga Death Wish, Un Justicier Dans La Ville 2 est un bon petit film au rythme soutenu et au message toujours aussi réactionnaire. Particulièrement violent (le viol collectif du début est assez gratiné), cet opus toujours porté par le justicier Charles Bronson perd en réflexion ce qu’il gagne en action pour finalement nous faire passer un très bon moment dans les rues infames de Los Angeles. Un bon divertissement !
Le ton est plus complaisant que dans le 1er opus notamment dans la scène du viol filmé de manière particulièrement salace. Autant le 1er était bon autant le 2nd déçoit. Reste toujours Charles Bronson très efficace dans la peau du justicier
Une suite supérieure et plus étoffée que l'original. Là ou le premier nous laissait vraiment sur notre faim (les assassins ne sont jamais retrouvés, Kersey est muté... et voilà). Celui-ci est un authentique film de vengeance, on recherche les loubards un par un. Hormis l'insupportable et racoleuse scène de viol du début, cet opus comporte beaucoup plus d'action et de suspense que le premier, de quoi passer un moment sympa avec notre justicier préféré.
Huit ans après avoir foutu des roustes aux petits branleurs de la banlieue New-Yorkaise, le justicier Paul Kersey va devoir reprendre les armes et va de nouveau rendre la justice à sa manière. Cette fois, c’est sa fille qui passe à la trappe ! Et vous le savez tout aussi bien que moi, quand on emmerde un peu trop Paul Kersey, la sentence est irrévocable. Franchement, ce deuxième opus de la saga du justicier se serait appelé « Un justicier dans la ville bis » , il y aurait rien eu à redire. Ce deuxième volet, toujours réalisé par Michael Winner, reprend les mêmes ingrédients que son prédécesseur. La seule chose qui change, c’est le lieu où se déroule l’action. On passe de New York à Los Angeles. A part ça rien d’autre. Une vraie copie conforme. Et pourtant cela fonctionne toujours bien. Soyons honnêtes: n’est-ce pas simplement jouissif de voir le charismatique Charles Bronson dézinguer de la racaille à tout va? Moi en tout cas, ça me botte ! Je me souviens de certaines critiques (sur le premier opus) qui s’offusquaient de la violence du film et qui pointaient également le caractère réactionnaire. Et bien ce « Death Wish II », tape encore plus fort, notamment avec une certaine scène de viol qui fait beaucoup parler d’elle… Mais au final la morale est la suivante: les voyous passent et trépassent. Bronson triomphe. Bronson est invincible.
Après le succès du justicier , il fallait malheureusement s'attendre à une suite . Malheureusement , car évidemment on reprend exactement les mêmes ingrédients , en tentant d' y ajouter des scènes plus choquantes . Bilan , tout y est plus mauvais et outrancier.
Après un premier volet plus que dispensable, notre justicier dans la ville (la précision est de taille car il aurait l'air foutrement con à la campagne) se trouve un producteur pour financer ses nouveaux exploits: Menahem Golan, futur responsable des plus grands moments de la "carrière" de Chuck Norris (cet homme ne s'efforça-t-il pas de rester toute sa vie au sommet?), dont la série "Portés Disparus", odes guerrières qui font passer, à postériori, Ronald Reagan pour un dangereux bolchévique et George W.Bush pour un alter-mondialiste. Bronson nous prouve ici que l'on a beau être facho et vigilant, on en est pas moins malchanceux. Sa femme s'était fait occire dans le premier volet, initiant l'"illumination" d'un Paul Kersey naguère "liberal" (dans son acceptation anglo-saxonne, ce qui signifie "tapette gauchisante" pour tout conservateur qui se respecte). Trouvant vraisembablement trop chére la cotisation annuelle au parti néo-nazi américain, il se contenta de l'achat d'un flingue pour aller tirer dans le tas. Ce coup-ci, c'est sa fille qui passe de vie à trépas, fatiguée qu'elle est de se faire violer à chaque épisode. Si c'est pas de la déveine ça! Pour faire le deuil et alléger ses douleurs, Kersey prend sur lui, ressort son pétard, et passe son temps libre à exterminer la vermine (cherchez un synonyme!). Il flingue donc allégrement du portoricain, du noir et même du blanc mais du Blanc-Traître qui traîne avec des basanés. Donc un nanar qui pourrait être hilarant si l'envie de pouffer n'était contrebalancer par une envie de gerber incessante et plus forte encore. Un truc qui sort du vide pour y retourner presto, posant une vraie question politique: le Néant serait-il de droite, voire trés trés de droite?
C'est pire que le précédent épisode, ici le justicier solitaire apprend à d'autres personnes les "joies" du 'self-defence'... C'est encore plus nauséabond que Le Justicier dans la ville n°1 !
Bon, d'un point de vue artistique et moral, c'est un très mauvais film. L' idéologie est douteuse, les images de violence et de sexe sont pour le moins racoleuses, la malédiction qui s'abat sur les proches de Paul Kersey est tout bonnement surréaliste mais moins que les hasards successifs improbables qui permettent à notre justicier de retrouver ses malfrats dans une ville aussi immense et peuplée que Los Angeles . Alors, pourquoi une si bonne note. Car c'est un nanar d'une drôlerie irrésistible et nous avons piqué des crises de fou-rire mémorables pendant ce film, même pendant la scène de viol. Du coup, on a passé un très bon moment, et j'en profite pour conseiller le 3, encore plus nanardesque, bien que s'assumant, lui, franchement dans la caricature du genre.