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    Malabar Princess
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    124 critiques spectateurs

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    Antji
    Antji

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2024
    J'adore ce film qui fait du bien. L'environnement montagne est génial. Les acteurs sont bons. J'ai aimé l'histoire.
    alex dbs
    alex dbs

    2 abonnés 284 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2022
    un film de mon enfance, jolis casting histoire familiale le jeunes garçons de l'époque est très bon, un sacré casse-cou ce personnage d'ailleurs ^^ je recommande
    bug bunny
    bug bunny

    43 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2021
    Une jolie histoire très touchant et très bien interprétée par des acteurs fabuleux un plaisir de voir et revoir ceux film
    Bellerophon44
    Bellerophon44

    4 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2021
    Un film merveilleux avec de très bons acteurs. On rit, de belles images de montagne. L'histoire est belle !
    C'est magique cette histoire d'enfant à la recherche de sa mère, pour enfants et adultes aussi !
    Magnifique film !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 806 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2020
    Jacques Villeret livre une merveilleuse performance dans ce film charmant et tendre, l'un de ses meilleurs rôles de tous les temps et à peine un an avant sa mort. Le jeune homme (Jules-Angelo) est très bon aussi et les acteurs de soutien comme Claude Brasseur et Michele Laroque sont excellents aussi. L'histoire raconte l'histoire d'un jeune garçon dont la mère est décédée dans le glacier dans des circonstances mystérieuses cinq ans avant le début du film. A 8 ans restant chez son grand-père, il est hanté par les questions sur sa maman disparaissant dans la montagne, perdue des mots qui lui signifient qu'elle est peut-être encore en vie. Parce que les adultes lui ont menti pensant qu'il était trop jeune pour comprendre à l'âge de 8 ans il commence à comprendre le sens du mot mort mais n'a pas fait le voyage psychologique pour accepter que c'était le sort de sa maman. C'est avec une nouvelle relation avec son grand-père que son lien avec sa mère perdue et un voyage de retour là où elle a vécu pour la dernière fois qu'il pourra grandir. Un véritable événement est l'arrière-plan de l'histoire, l'épave d'un avion indien le Malabar Princess dans les Alpes françaises en 1950...
    Fabios Om
    Fabios Om

    54 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2020
    un film d'auteur dramatique avec Jacques Villeret et Michel laroque qui ce déroule bien après ma catastrophe de l'avion indien dont ce n'est pas histoire mais une fable différente qui s'inspire de cela .
    tom un garçon de 8ans et qui vit chez sont grand père pense que sa mère n'est pas morte dans la montagne et comme tintin (lors de son séjour au Tibet ) est le seule à croire encore pouvoir la retrouver vivante . Un film touchant mais aussi peu lent par moment malheureusement, un laqué Villeret qui montre une fois de plus qu'il est alaise a la fois en comédie mais aussi en film plus tragique nous nous apercevons qu'il manque beaucoup au cinéma .
    Edge83
    Edge83

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juillet 2020
    chef d'oeuvre !!!!!! Époustouflant, Authentique
    👍👍👍👍👍👍👍
    Villeret Brasseur Cornillac Bigarnet Laroque
    Magnifiques
    ⭐⭐⭐⭐⭐
    #AlpesFranceChamonixMontagne
    Philippe V50
    Philippe V50

    12 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Villeret (le grand-père), Laroque (l'instit) et Brasseur (le râleur) composent des personnages charismatiques, immédiatement familiers, qui participent à la relative réussite de ce film familial ultracalibré.
    Clément Arques
    Clément Arques

    65 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2020
    On en parle pas trop . Mais c'est toujours bon de connaitre des histoire vrai qui ce sont vraiment passé et qui font connaître notre monde.
    gizmo129
    gizmo129

    101 abonnés 1 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2019
    Malabar princess est l'un des derniers films du regretté Jacques Villeret. Sa simple présence et des yeux emplis de mélancolie nous rappellent le talent qui l'animait. Son alchimie avec le jeune acteur est le point fort de ce film familial perché dans les hautes montagnes avec ses splendides paysages. Les jeunes spectateurs se retrouveront dans les facéties du jeune héros tandis que les parents resteront émus devant ce deuil difficile, les non dits et la difficile reconstruction d'une famille après de dures épreuves.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 août 2019
    Film Très beau et très touchant
    spoiler: J'ai eu les larmes aux yeux quand il découvre que sa mère et morte en regardant les restes de l'avion
    James Cocody
    James Cocody

    11 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2021
    Avis personnel. J'ai véritablement adoré ce film qui allie avec une maestria peu commune le drame, la comédie et même la fantaisie sur un ton presque poétique. Tourné dans les paysages superbes du mont Blanc, ce petit bijou présenté un peu à la manière d'un conte nous montre le choc d'un monde d'adultes rudes avec celui d'un enfant perturbé sans abuser des clichés coutumiers du genre. Trois "grands" en premier plan: un extraordinaire Jacques Villeret/Gaspard en grand-père un peu bougon mais si gentil au fond, un excellent Claude Brasseur/Robert en vieux râleur rustre - ça lui va comme un gant! - et une charmante Michèle Laroque/Mme Valentine en institutrice de village, un peu coincée au début, mais pas longtemps. Et puis, il y a LE comédien parmi tous ces comédiens: le très surprenant Jules Angelo Bigarnet/Tom, 10 ans d'âge mais 8 pour l'histoire, qui nous nous joue ça comme un chevronné. Ce fut d'autant plus méritoire que le dialoguiste lui a impitoyablement concocté la plus belle part! Tout en jouant au dyslexique, il a dû se farcir des incorrections de langage à tour de langue et débiter comme si de rien n'était des répliques aussi compliquées que les célèbres chaussettes de l'archiduchesse! Chapeau au gamin! Autre point fort à noter: les relations entre tous ces protagonistes. Les affrontements entre les deux [néanmoins] grands amis Gaspard et Robert nous offrent quelques belles scènes, certaines aussi tristes que d'autres sont truculentes, tandis que Gaspard et Tom, dont les débuts firent quelques étincelles, forment un duo extraordinaire qui glissera peu à peu vers une complicité et une tendresse exprimées de la manière la plus simple et la plus naturelle qui soit. Mme Valentine connaîtra bien vite presque tout de son nouvel élève si étrange et, comme elle est très gentille, elle sera elle aussi une belle figure de l'aventure. Enfin, Tom trouvera en Damien Jouillerot/Benoît, le pataud neveu de Robert, un indéfectible ami toujours partant pour l'aider à réaliser ses plans aussi hasardeux qu'audacieux destinés à atteindre LE but: retrouver sa maman. Leur "collaboration" donne lieu à des moments vraiment savoureux et inattendus, où l'on a parfois l'impression de retrouver en Tom un mélange du petit Gibus et du petit Nicolas. Finalement, les personnages-clés de l'affaire sont ceux que l'on voit le moins à l'écran: Clovis Cornillac/Pierre, le père de Tom, joue sobrement sa partie parce qu'il convient à l'histoire qu'il en soit ainsi, et Julianne Loucq/Sophie, sa maman, est la "disparue" sur laquelle est bâti le scénario qui ne la fait apparaître que dans le flashback final. Un chouette gendarme aussi, sympa tout plein mais très à cheval sur le règlement: Patrick Ligardes/gendarme Petit, pointe régulièrement le bout du nez et c'est chaque fois un sourire garanti (même quand il spoiler: nous ramène des cadavres de victimes de la montagne!
    ). Malabar Princess nous permet en plus d'admirer dans son merveilleux cadre naturel la plus haute ligne de chemin de fer de France: le tramway du Mont-Blanc (ou TMB). Sur son chemin de fer à crémaillère, il est un acteur important du film et ce fut une excellente idée que de le mettre ainsi en valeur. Si les cadrages et la photographie sont souvent remarquables, la mise en scène ne cherche jamais à compliquer les choses. Elle fait la part belle à la vitalité des comédiens et au tonus des dialogues d'une qualité exceptionnelle. Ceci n'est peut-être pas un chef-d'œuvre, mais un moment sacrément bon à passer!
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    125 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juin 2019
    En 2004, tout jeune cinquantenaire qu’il était, Villeret jouait un de ses derniers rôles, celui d’un grand-père tout près du ciel. En effet, le Mont Blanc n’est pas très loin, regardant sa cabane d’un air presque pas hautain. Et l’homme fait le poids devant les deux générations qui le suivent, et la tchatche embrouillée de son petit-fils : « et toi, tu préfères les chevals ou les jumentes ? »

    Le décor manque un peu de profondeur, monté presque en 2D sur Villeret et Brasseur, en qui on avait confiance pour refaire le coup des voisins / ennemis d’enfance inséparables. Et que je te mets un bobsleigh, et un chasse-neige, et des autoneiges, et un treuil, et un hélico : une machinerie qui poppe sans un souci pour la réalité budgétaire (un aspect qui ne semble jamais atteindre les vieux dans leur indécrottable et plane gentillesse).

    Pareil chez les enfants, dont un extrait de deux spécimens sur toute une classe suffit à Legrand pour prétendre toucher à l’amitié montagnarde, et pour justifier la proximité quasi-complice que tout ce beau monde entretient avec les chasseurs alpins. Difficile de ne pas regretter ces grandes crevasses, ces enjambements fainéants pour la solde de 400 coups qui laissent de glace.

    C’est dans le (et la) symbolique qu’on récupère un peu de sa mise : des seconds rôles qui assument, eux, vraiment la charge de nous faire croire en Savoie (ce gardien du refuge m’a rappelé Brad Dourif dans Cerro Torre), des lapsus élémentaires mais drôles qui apportent un peu de soutien à l’idée qu’envoyer ce gamin au-dessus de Chamonix n’est pas démesurée, et une place laissée aux objets (le Tintin au Tibet joue bien le rôle qu’il signifie pour l’enfant) qui entretiennent le lien vivant entre l’environnement et la vie qui passe, lentement et froidement, broyant les naïvetés de l’enfance. Comme un glacier.

    septiemeartetdemi.com
    Jean-François M
    Jean-François M

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2019
    Très beau dans sa relative naîveté, très poignant, avec des acteurs parfaits dans leur rôle, une musique qui met en valeur les images magnifiques du glacier. A voir absolument.
    Incertitudes
    Incertitudes

    211 abonnés 2 325 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2018
    Au début des années 2000, il y eut soudainement pléthore de film ruraux comme Une hirondelle a fait le printemps, Le Papillon ou Malabar Princess comme si le retour à la terre, aux racines, avait quelque chose de rassurant après la peur liée au passage à l'an 2000. La montagne est aussi belle que dangereuse. Ce qu'elle donne, elle peut le reprendre. Ce père de famille en a fait l'amère expérience. Parti jouer les pilleurs de tombes (le crash du Malabar Princess au début des années 50 dont un trésor giserait dans la carlingue), puni jusqu'au restant de ses jours pour sa cupidité, le voilà confronté à son fils qui ne se satisfait pas, à juste titre, de l'absence d'explication sur la disparition brutale de sa mère. D'autant que le père est peu présent lui aussi. En découlent des résultats scolaires catastrophiques, un manque de discipline, un univers imaginaire dans lequel l'enfant se réfugie et où tout est possible. Les aventures de Tintin en sont un parfait exemple. C'est vrai que c'est difficile de mettre des mots sur des maux. D'expliquer le concept de la mort à un enfant. De faire le travail du deuil quand on se sent coupable et qu'on n'a pas le corps enfermé pour l'éternité dans les glaces. Jacques Villeret, excellant comme à chaque fois dans le rôle du paysan bourru au grand cœur (et porté sur la bouteille comme dans la vie tristement), va tenter d'apporter des réponses à ses questions. Après, savoir la vérité fait-il tant de bien que ça ? Les responsables auront toujours ce poids sur les épaules, cette culpabilité. Et ce gosse restera sans sa mère. Un drame évitable. Ce qui est d'autant plus malheureux.
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