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Votre avis sur Les Dents de la mer 2 ?
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Moins subtil que son modèle de Spielberg, ce deuxième épisode réserve toutefois des moments de suspense et d'effroi, à l'image de son spectaculaire final.
Le réalisateur français Jeannot Szwarc réalise un très bon deuxième volet de la saga les Dents de la Mer.
weihnachtsmann
Avec ce deuxième opus, les ados passent assurément de mauvaises vacances !!!
Le plus intéressant est évidemment dans la seconde partie. Plus compacte et tendue.
Le plus intéressant est évidemment dans la seconde partie. Plus compacte et tendue.
Après le succès monumental du premier opus, "Les Dents de la mer 2" avait la lourde tâche de capturer la même intensité et l'effroi de l'original. Malheureusement, cette suite peine à retrouver la tension qui m'avait fait tant frissonner lors du 1er opus. Bien que le film ne manque pas totalement de suspense et que certaines scènes soient efficacement angoissantes, l’effet de surprise s’essouffle rapidement, la menace du requin étant cette fois moins convaincante et plus prévisible.
Roy Scheider reprend avec brio son rôle de chef Brody, mais on sent que le scénario ne lui donne pas les mêmes opportunités de développement. L’intrigue est plus simpliste, avec une nouvelle génération d’adolescents en proie aux attaques, mais elle manque cruellement d’originalité. La réalisation tente de recréer l’atmosphère oppressante de l’original, mais les choix visuels et l’absence de Steven Spielberg derrière la caméra se font sentir.
Cela dit, le film parvient tout de même à divertir et je peux malgré tout le conseiller aux amateurs de thrillers marins. C'est une suite correcte, mais sans la magie ni la profondeur de son prédécesseur.
Roy Scheider reprend avec brio son rôle de chef Brody, mais on sent que le scénario ne lui donne pas les mêmes opportunités de développement. L’intrigue est plus simpliste, avec une nouvelle génération d’adolescents en proie aux attaques, mais elle manque cruellement d’originalité. La réalisation tente de recréer l’atmosphère oppressante de l’original, mais les choix visuels et l’absence de Steven Spielberg derrière la caméra se font sentir.
Cela dit, le film parvient tout de même à divertir et je peux malgré tout le conseiller aux amateurs de thrillers marins. C'est une suite correcte, mais sans la magie ni la profondeur de son prédécesseur.
N'est pas Steven Spielberg qui veut et clairement cette suite fait pâle figure à côté de son prédécesseur.
Il n'y a pas grand chose à raconter dans ce film qui n'est qu'une redite du précédent : un nouveau requin, aussi meurtrier débarque sur les plages surpeuplées d'Amity Island (dont l'image n'a manifestement pas été étiolé suite au carnage quelques années plus tôt). Les archétypes de personnages sont à peu près les mêmes et les morts ne surprennent pas. Seule point notable : la famille de Brody semble plus impliquée impactée dans ce volet, mais c'est à peu près tout.
Le film reste de bonne facture dans la forme et on n'est pas loin non plus dans un film de série B comme l'est Piranha (sorti la même année). Le requin reste assez crédible et ne jure pas.
Mais malgré la musique de John Williams qui a rempilé pour un deuxième round, la magie du premier film n'y est plus.
A sa décharge, peut-être que le concept à l'origine des Dents de la Mer n'avait le potentiel que de délivrer un très bon film mais étiré à l'échelle d'une franchise, le concept montre rapidement ses faiblesses.
Il n'y a pas grand chose à raconter dans ce film qui n'est qu'une redite du précédent : un nouveau requin, aussi meurtrier débarque sur les plages surpeuplées d'Amity Island (dont l'image n'a manifestement pas été étiolé suite au carnage quelques années plus tôt). Les archétypes de personnages sont à peu près les mêmes et les morts ne surprennent pas. Seule point notable : la famille de Brody semble plus impliquée impactée dans ce volet, mais c'est à peu près tout.
Le film reste de bonne facture dans la forme et on n'est pas loin non plus dans un film de série B comme l'est Piranha (sorti la même année). Le requin reste assez crédible et ne jure pas.
Mais malgré la musique de John Williams qui a rempilé pour un deuxième round, la magie du premier film n'y est plus.
A sa décharge, peut-être que le concept à l'origine des Dents de la Mer n'avait le potentiel que de délivrer un très bon film mais étiré à l'échelle d'une franchise, le concept montre rapidement ses faiblesses.
« Jaws 2 » est un bon film, même s'il n'atteint pas le niveau du premier. L'histoire se déroule quelques années après les événements du premier film, toujours à Amity Island. On retrouve les personnages principaux : le chef de la police Brody, sa femme Ellen, et le maire Larry Vaughn. Cette continuité rend le film familier, bien qu'il n'ait pas été réalisé par Steven Spielberg. Cette fois, l'intrigue se concentre davantage sur les enfants de Brody et leurs amis adolescents. Le début du film est un peu lent, mais la tension monte dans la seconde moitié, avec des scènes d'action intenses et un requin encore plus réaliste. Malgré cela, le film a quelques défauts. Les réactions des habitants face à la menace du requin semblent irréalistes étant donné ce qu'ils ont vécu précédemment. De plus, les personnages adolescents manquent de profondeur, ce qui rend difficile de s'attacher à eux. « Jaws 2 » est une suite correcte qui offre un bon divertissement, surtout dans sa deuxième partie. Il est loin d'égaler le premier, mais il reste agréable à regarder, surtout pour les fans du genre. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Une suite inférieure au 1er, oui clairement, mais on a ce qu'on est venu chercher: le requin. Et il a faim.
Ne supportant pas la comparaison avec le premier opus et accumulant les clichés du genre, cette suite se laisse pourtant bien regarder de part sa mise en scène propre et son suspens bien réel.
Un film pour lequel je cache pas mon affection.
Un film pour lequel je cache pas mon affection.
Regarder ce film c'est perdre son temps. Déjà qu'un second épisode n'était pas nécessaire mais c'est en plus pour nous refaire le premier en fade et débile. Seul la musique du génial John Williams, l'humour, la prestation de Roy Schneider, et quelques scènes violentes et stressantes permettent de passer un minimum de bon temps devant ce deuxième volet des Dents de la mer. Sinon les effets spéciaux toujours aussi pourris et maintenant que monsieur Spielberg est parti, il n'y a plus une once de mise en scène originale (c'est la meme que dans le premier mis à part qu'on voit le requin mille fois et que la caméra filme surtout les fesses des personnages), plus autant de spectacle et de cauchemar, seulement du nanar à perte de vue...
Le premier est meilleur que le second mais avec cette suite, la magie fonctionne toujours et ce fût un plaisir de revoir Roy Scheider rempilé pour cette suite.
Suite des dents de la mer. Le film est moins bon que le premier même s'il reste d'un bon niveau. Le première partie semble calquée sur le prédécesseur, puis la seconde partie s'emancipe . Le film devient alors moins suggestif et plus démonstratif que le premier
Aussi bien que le premier film ( que les dents de la mer 1 ) : comme le premier film , c'est un chef d'oeuvre du suspens , même si le réalisateur n'est pas Steven Spielberg .
Comme le premier film , le suspens nous tient en haleine , pendant tout le film du début à la fin .
Roy Scheider est toujours excellent acteur , en chasseur de requin .
Egalement un grand classique du film à suspens .
Comme le premier film , le suspens nous tient en haleine , pendant tout le film du début à la fin .
Roy Scheider est toujours excellent acteur , en chasseur de requin .
Egalement un grand classique du film à suspens .
Pas aussi bien réussi que le premier
Mais on retrouve les acteurs principaux du premier
Le scénario tient la route
Une suite très honorable
À voir après le 1
Mais on retrouve les acteurs principaux du premier
Le scénario tient la route
Une suite très honorable
À voir après le 1
Troubles de stress post-traumatique
Steven Spielberg a spoiler: refusé de réaliser 'Jaws 2' suite à des troubles de stress post-traumatique : "Je tremblais. Je ne voulais plus jamais m'approcher de l'eau", a-t-il déclaré à EW en 2016, rappelant les problèmes cauchemardesques du tournage en mer, donnant le mal de mer aux acteurs, avec des bateaux qui coulent et un requin (mécanique) imprévisible
.
Des aléas qui spoiler: ont fait prendre jusqu'à 100 jours de retard à la production malgré des journées de travail ininterrompues de 12 heures
.
En conséquence, spoiler: la suite est effectivement scénarisée pour ce qu'elle est 1) et bien jouée, mais elle n'a pas le génie de l'œuvre originale
.
La force du film reste Roy Scheider, dans sa brillante interprétation du chef Martin Brody, qui doit lutter contre ses TSPT, affronter la médiocrité qui règne sur Amity Island, et faire face à un nouveau grand requin blanc gargantuesque, qui terrorise les eaux de la station juste quand vous pensiez qu'il était sûr de retourner dans l'eau.
1) Steven Spielberg pensait également qu'une suite aux "Dents de la mer" n'était pas nécessaire, mais son idée de suite aurait été spoiler: d'adapter la survie de Quint après le naufrage de l'USS Indianapolis en tant que préquelle, ce qui aurait pu ouvrir toutes sortes d'opportunités créatives
.
3.7/5
Steven Spielberg a spoiler: refusé de réaliser 'Jaws 2' suite à des troubles de stress post-traumatique : "Je tremblais. Je ne voulais plus jamais m'approcher de l'eau", a-t-il déclaré à EW en 2016, rappelant les problèmes cauchemardesques du tournage en mer, donnant le mal de mer aux acteurs, avec des bateaux qui coulent et un requin (mécanique) imprévisible
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Des aléas qui spoiler: ont fait prendre jusqu'à 100 jours de retard à la production malgré des journées de travail ininterrompues de 12 heures
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En conséquence, spoiler: la suite est effectivement scénarisée pour ce qu'elle est 1) et bien jouée, mais elle n'a pas le génie de l'œuvre originale
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La force du film reste Roy Scheider, dans sa brillante interprétation du chef Martin Brody, qui doit lutter contre ses TSPT, affronter la médiocrité qui règne sur Amity Island, et faire face à un nouveau grand requin blanc gargantuesque, qui terrorise les eaux de la station juste quand vous pensiez qu'il était sûr de retourner dans l'eau.
1) Steven Spielberg pensait également qu'une suite aux "Dents de la mer" n'était pas nécessaire, mais son idée de suite aurait été spoiler: d'adapter la survie de Quint après le naufrage de l'USS Indianapolis en tant que préquelle, ce qui aurait pu ouvrir toutes sortes d'opportunités créatives
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3.7/5
Audrey L
Ce deuxième volet de la saga Les Dents de la mer est loin d'être honteux, il s'offre le luxe de rembaucher Roy Scheider dans son rôle de lanceur d'alerte qui essaie de sauver une ville à lui tout seul, il reste efficace malgré sa durée abusive (presque deux heures... c'est bien trop long), copie quelques scènes du premier film (lorsque toute la plage court en tous sens après l'alerte du garde-côtes), mais veut aussi s'en différencier par un changement radical de motif d'effroi. Ici, on montre la bébête, sans arrêt. Pas question de reprendre l'atout du film de Spielberg, à savoir la puissance horrifique de la suggestion, du monstre caché, des deux notes de musique et du point de vue interne au requin qui nous faisaient transpirer sans avoir encore rien vu. Mais si cela enlève beaucoup au charme du film, on ne peut pas dire que l'épouvante n'y soit pas, car le requin est plutôt bien fait, et le voir balancé sur les acteurs a quelque chose d'assez spectaculaire, effrayant, jouissif. Ce deuxième opus s'amuse beaucoup avec son monstre de carton, mais nous embarque dans son délire régressif et méchant, alors on ne boude pas son plaisir, surtout lors de la confrontation finale qui
spoiler:
met à mal une bande d'ados (ils en prennent plein la tête) et un duel "électrique" qui est copieux en pyrotechnie.
Vraiment, si l'on sent le fossé, ou plutôt la Fosse des Mariannes, qui sépare cet opus du chef-d’œuvre de Spielberg, on ne peut pas dire qu'il passe pour un navet ou un nanar, tant il s'applique à être généreux avec son spectateur. Enfilez vos palmes, et retournez barboter, ce deuxième opus a encore faim.
Vraiment, si l'on sent le fossé, ou plutôt la Fosse des Mariannes, qui sépare cet opus du chef-d’œuvre de Spielberg, on ne peut pas dire qu'il passe pour un navet ou un nanar, tant il s'applique à être généreux avec son spectateur. Enfilez vos palmes, et retournez barboter, ce deuxième opus a encore faim.
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