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Horrophile75
38 abonnés
419 critiques
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1,5
Publiée le 31 mai 2020
Ce film voulait, bien évidemment, "surfer sur la vague" du précédent succès, mais il s'est fait bouffer par un requin ^^ Je me demande encore pourquoi je mets une note aussi élevée pour ce film truffé de faux raccords, comprenant une doublure française insupportable, une musique tout aussi insupportable, des protagonistes... insupportables eux aussi ! Avec un requin en carton-pâte qui n'inquiète pas une seconde. On sera juste surpris de trouver une véritable "Scream Queen" comme on en fait peu, sans doute la plus talentueuse que je connaisse (en voix française) !
J'ai vu ce deuxième opus bien avant le premier donc pour moi, les premiers frissons étaient corrélés à ce film. Longtemps après donc, j'ai vu l'original et aussi lu le roman. Ce n'est donc que maintenant que je me permets d'émettre une critique. Pour moi, la relève est plutôt réussi. Le requin fait plus de dommages collatéraux ici que dans le premier et le réalisateur a plutôt bien respecté l'oeuvre originale. Contrairement aux oeuvres suivantes, ici, on a gardé le cast original et cela est un bon point. L'histoire est sympathique, le requin vous fera faire quelques sursauts. La suite est donc réussie. Elle n'égale pas le Spielberg mais n'a pas à rougir. C'est plutôt bien ficelé et j'ai toujours plaisir à la revoir.
Après le succès enorme et totalement justifié du premier film, voici donc la deuxième partie , moins réussie ( n'est pas Spielberg qui veut ) mais tout a fait honorable. Où l'on retrouve la station balnéaire d'Amity avec un nouveau requin blanc qui cherche nourriture humaine. Le casting reste sensiblement le même , sans (et c'est regrettable ) Richard Dreyffus , qui a semblé vouloir éviter le film de trop,peut être. Martin Brody ( Roy Scheider, convaincant ) rempile donc et part a la rescousse de ses fils partis avec leurs amis faire de la voile au large , erreur fatale puisque le requin , qui a du flair, voit partir la belle équipe voguer et part donc les poursuivre et leur pourrir leurs vacances. Si le film de Spielberg suggérait plus la présence du squale jusqu'à la moitié du film,ici il attaque directement deux femmes parties faire du ski nautique,une sur le bateau et l'autre s'eclatant en surfant. Les deux femmes seront donc les premières victimes du requin,qui sera affublé d'une vilaine brûlure cicatricielle quand le bateau aura explosé. Il faut être tolérant et pas trop exigeant non plus pour ne pas voir que le requin est un faux, dans certaines scènes c'est d'ailleurs grotesque,avec le recul. Mais il faut remettre les choses dans le contexte donc , c'était une autre époque. Jaws 2 est donc un film tout a fait correct,et c'est avec celui ci que la franchise aurait dû prendre fin.
Un film qui m'a réellement marqué étant jeune, d'autant plus qu'à l'époque, je faisais un peu de ski nautique (ce qui doit jouer légèrement sur la note donnée). Certaines scènes d’attaque sont restées gravées et les frissons sont encore présents dans ce 2e opus, toujours grâce à cette superbe bande son. Bon, il y a des grosses ficèles et quelques situations improbables avec ces ados débiles mais l’ensemble se tient à peu près (spoiler: excepté peut-être cette fin un peu trop grosse avec ce câble électrique ). Roy Scheider, encore au rendez-vous, mène encore une fois bien la barque.
"les dents de la mer 2" ou "Deuxième service au resto de la plage !"
Il revient.... Plus grand, plus gros, plus affamé que jamais.... Et signe qu'il est plus balaise cette fois il s'attaque aux hélicoptères...
Pourquoi faut-il toujours dans les films catastrophe des années 1970-2000 qu'on nous fasse croire que c'est les vilains hommes d'affaires qui insistent pour maintenir les plages/le village ouvert alors que la catastrophe est annoncée dès le titre (tempête du siècle, volcan en éruption, tornade, king-kong, dinosaure, requin, sortie du dernier Céline Dion (en duo avec Lara Fabian))... Par ce qu'au final, les capitalistes, c'est un peu les USA qui en sont les champions, non ? Et j'ai du mal à croire que les hommes politiques américains (qui comme les nôtres ont perdus leurs gonades) soient de tendance socialo-coco-écolo-alter-mondialistes.... Heureusement maintenant grâce au principe de précaution, s'il n'y avait ne serait-ce qu'un pangolin dans la baie les plages seraient fermées...
Il fallait un sacré talent pour réussir la suite du chef-d’œuvre de Steven Spielberg. C’est chose faite en confiant la réalisation de ce deuxième opus à Jeannot Szwarc qui reprend à son compte les éléments constitutifs et de l’intrigue originale – l’architecture du long métrage est sensiblement la même – et du geste artistique de Spielberg : travail de la lumière, construction d’un véritable suspense à fleur d’eau où derrière chaque vague peut surgir le squale mangeur d’hommes, fluidité des mouvements de caméra qui semble glisser sur la mer à l’instar des voiliers qui la sillonnent. Les Dents de la mer : deuxième partie relit son modèle par le biais du miroir et fait évoluer la focalisation d’un regard exclusivement masculin et adulte – celui de marins se remémorant leurs blessures amoureuses et exhibant leurs blessures physiques – à un regard adolescent, animé par le feu des passions naissantes, le besoin de plaire et de s’affranchir de l’autorité parentale. Szwarc ne brosse plus le portrait d’un père confronté à ses peurs et résolu à triompher d’elles, non il se saisit d’une jeunesse qui découvre le monde par l’expérience, la transgression des règles : pourquoi s’arrêter au phare ? allons plus loin ! s’exclame la joyeuse bande. Ce faisant, le réalisateur pense le requin comme un vengeur, relié d’une quelconque manière à son parent tué dans le film précédent : la famille doit affronter le prédateur, celui qui prend plaisir à la désolidariser, à isoler et ravir ses membres. Une fois réunies les unes aux autres, les embarcations des adolescents forment un Radeau de la Méduse tourmenté par le monstre qui déchire les couples, brise les familles. Nul hasard si l’on découvre l’identité de la créature en développant les photographies de l’appareil du plongeur, tels les clichés d’un voyeur pris sur le fait de sa prédation. À ce titre, la séquence de développement photographique, comme celle de fausse alerte lancée sur la plage, brillent par leur crescendo suspensif : le papier prend le temps de s’imbiber du liquide comme le regard de Brody s’imprègne du danger croissant de la situation. Deux séquences mises en scène avec brio, laissant transparaître la maîtrise du réalisateur sur cette suite qui évite l’écueil de la redite à des fins commerciales. Le squale n’est plus suggéré, il impose sa présence par un corps massif et terrifiant doté d’effets visuels superbes. Porté par des acteurs une nouvelle fois excellents et la partition de John Williams, Les Dents de la mer : deuxième partie offre à l’œuvre originale sa meilleure suite possible : il prolonge sans se répéter, innove – à l’instar de la caméra embarquée sur le monstre – sans renier, décline la portée symbolique du récit d’une réflexion sur la paternité à une incarnation des dangers qui menacent l’adolescence définie par sa soif de liberté et d’indépendance. Un divertissement de très grande qualité.
Une bonne suite au premier dents de la mer. Contente de revoir le capitaine Brody c'est celle nouvelle histoire. On voit quand même que le requin est une maquette à un moment du film mais on l'oubli vite. C'est un classique du genre.
Ce deuxième opus de la saga Jaws reste dans la lignée du premier du point de vue de l'intrigue mais avec la surprise en moins car on s'attend davantage aux attaques du requin. Ensuite, en dehors du chef Brody et du maire d'Amity, les autres personnages sont beaucoup moins fort que pouvaient l'être Quint, le chasseur de requin et Hooper, le scientifique. Ce film est sympa mais il n'est pas aussi révolutionnaire que le premier film.
Une bonne suite au chef d'oeuvre de Spielberg !! J'ai aimé les séquences avec le requin, toujours aussi sanglant et effrayant aidé par un thème musical angoissant !! C'est sur que certains trucages ont vieillis mais c'est ce qui fait aussi le charme de ce genre de films !!
Impossible de faire mieux ni même d'égaler Jaws 1 . Cette suite se laisse tout de même regarder . J'ai bien aimé le côté avec les ados et la sortie en mer. Le requin a cependant a perdu en qualité .
J'assume ce 4/5 car j'ai craqué pour Donna Wilkes il y a plus de 30 ans aujourd'hui (que j'avais déjà adoré dans Angel). Je ne remets pas en cause la supériorité du 1er mais j'ai frissonné tout autant.
Quelques personnages déjà connus et bien joués, deux ou trois séquences de terreur, ainsi que la musique de John Williams ravivent par instants le plaisir éprouvé à la vision du chef-d'oeuvre de Steven Spielberg. Mais c'est malheureusement bien peu sur deux heures d'un film noyé dans une atmosphère non crédible, avec des scènes de conflits verbaux à Amity bien trop pompées sur le premier opus, et qui forcent l'émotion; et avec une bande de gamins de plus en plus hystériques et insupportables à mesure que se rapproche d'eux un gros machin gris (le requin), qui ne fait plus peur tant on le voit souvent. Tant pis.
Malgré une photographie encore une fois superbe, un casting acceptable et quelques plans intéressants sur les mouvements du requin, cette suite est à des années lumières de l’original. Outre un requin encore une fois en carton pâte, celui-ci est indestructible. Mais le gros défaut de cette suite c’est sa redondance terriblement ennuyeuse...
Une suite sans surprise et avec moins de talent. Jeannot Szwarck n’est pas Steven Spielberg et n’arrive pas à instaurer une vraie tension dans son film. Le soucis vient aussi de l’écriture beaucoup trop superficielle des personnages qui fait que l’on a quasiment pas d’empathie pour eux. En revanche le requin est un peu plus réussi que dans le premier Jaws et permet de sauver les meubles.
Excellent film. Une suite digne de ce nom où l'on retrouve un shérif Brody (Roy Schneider) toujours aussi emblématique que dans le premier volet. La plupart des acteurs du premier volet ont été repris dans ce deuxième numéro avec une histoire qui suit très bien celle du premier. Un chef d'oeuvre culte de la fin des années 70 sur les requins comme on en a eu rarement l'occasion de voir par la suite.