Un film générationnel culte qui a pas mal vieilli (ou sans doute c’est moi !) malgré son récit d’apprentissage universel mettant en exergue les arts martiaux comme philosophie de vie. Et puis Elisabeth Shue. 2,25
Ce n'est qu'au début de la saison 4 de Cobra Kai que mon cerveau surperformant a compris que la série faisait suite à plusieurs films, et que les flashbacks tout au long des épisodes étaient donc tirés de ceux-ci et non tournés en même temps que le reste. Une fois la saison 4 terminée, j'ai donc suspendu mon visionnage et lancé Karaté Kid, curieux de voir ce que ce premier film avait à raconter, même si je me doutais que je n'apprendrais pas grand chose. Et j'ai finalement beaucoup apprécié, les deux heures de film sont passées très vites. Le jeu d'acteurs est très bon, et le fait que ceux-ci tiennent le même rôle dans la série et les films, qui sont espacés de presque 40 ans, est remarquable et rajoute de l'authenticité aux intrigues. Les flashbacks de Cobra Kai se succèdent donc au fur et à mesure du film, pas forcément dans le sens où je l'aurais imaginé d'ailleurs, et permettent de mieux comprendre certains points de la série, notamment autour du personnage d'Ali. Je pense en fin de compte qu'il est plus intéressant de regarder ce film après avoir vu les premières saisons de Cobra Kai, je n'aurais peut-être pas autant accroché si je ne connaissais pas l'univers et les personnages. La rivalité naissante entre Johnny Lawrence et Daniel LaRusso, ainsi que les enseignements de l'excellent Miyagi auprès de ce dernier, prennent beaucoup plus de sens quand on connaît la suite de l'histoire. En revanche, Karaté Kid a déjà bien vieilli, je lui aurais donné 10 voire 15 ans de plus sans hésiter. La fin est également bancale, et n'offre aucune conclusion. Je ne sais pas si le deuxième film qui a suivi était déjà prévu lors de la production du premier, ce qui pourrait expliquer ce final qui n'en est pas un, mais pour un spectateur en 1984 cela devait être assez frustrant. Je recommande néanmoins sans hésiter, surtout si vous avez déjà regardé Cobra Kai.
Karate Kid est un véritable classique des années 80, incarnant l'esprit du karaté et de la culture américaine de l'époque. Avec une histoire inspirante sur la persévérance et la maîtrise de soi, le film parvient à toucher un large public. Les performances, notamment celle de Pat Morita en tant que mentor, ajoutent une profondeur émotionnelle qui reste gravée dans les mémoires. C’est une masterclass de l'époque qui a su allier action, humour et leçons de vie. Un incontournable à redécouvrir ou à découvrir.
Karaté Kid est avant tout une leçon de vie. À force d'acharnement et de travail, on peut arriver à ses fins. Ce message est parfaitement transmis par le duo d'acteurs, très à l'aise dans son interprétation. Karaté Kid, c'est aussi l'art du sport partagé entre humour et émotion. Ces critères permettent d'obtenir un film culte aux ondes positives.
« Karaté Kid » est une véritable référence des années 80, supérieure au remake plus récent. Ce film raconte l'aventure d'un jeune adolescent découvrant l'amour et la quête de soi à travers le karaté. La relation entre Daniel et son mentor, un sage chinois « voleur », « tricheur » et « menteur », apporte une touche de sensibilité et de fantaisie à l'histoire. Même si les scènes de combat ne sont pas d'une grande intensité, elles sont portées par une bande originale efficace et une mise en scène qui capture bien l'essence des années 80. Le charme rétro et la nostalgie associée à ce film rendent le visionnage agréable, malgré certaines longueurs et un manque d'originalité dans le scénario. Les acteurs, notamment Ralph Macchio et Pat Morita, sont très bons dans leurs rôles, apportant une certaine authenticité aux personnages et symbolisant une époque révolue du cinéma pour adolescents. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Merci à mon ami de m'avoir fait découvrir les Karate Kid, je n'avais pas spécialement envie de me plonger la dedans étant donné que celui avec le fils Smith m'avait suffit. Et wow j'ai adoré, certe c'est la même chose du coup, et j'aurais du commencé par celui-ci ! On ne s'ennuie pas, Pat morira est très fort, d'un naturel qui donne des frissons, l'acteur est authentique et c'est lui qui porte tout le scénario. Le film véhicule de très belles valeurs, et devrait être regardé dès le plus jeune âge. Un petit bonbon de bonheur à regarder sans pression et sans modération. Bien sûr il y a beaucoup de stéréotype classique et c'est un film à l'américaine, mais pour le coup ici ce ne me dérange pas. simple et efficace!
Karaté kid est un film culte de 1984. Il relate l'histoire d'un adolescent qui s'installe avec sa mère en Californie. Malheureusement pour lui il devient le souffre douleur d'une bande, qui pratique le Karaté. Pour pallier à ça, il va apprendre le Karaté avec son voisin un ancien maître de cet art, et ensemble ils vont affronter l'académie du Cobra Kai. Le film nous montre la culture du Karaté et l'histoire d'une complicité entre un gamin et son maître. Le film est réalisé par John G Avildsen réalisateur du premier Rocky et on reconnaît bien la patte du réalisateur. Un bon film qui a peut être vieilli depuis mais qui reste culte.
Ah Karaté Kid ! Nostalgie quand tu nous tiens. Très heureux de le revoir. Les enfants ont adoré et je dois dire que j'ai probablement pris autant de plaisir.
Toujours aussi excellent aujourd'hui, film culte à l'époque, il garde toutes ses qualités. Alors oui c'est très basique comme histoire, mais c'est pas comme si c'était récent. Tout est très simple mais fonctionne très bien, l'acting est cool, malgré quelque persos un peu clichés. Mais globalement ça tiens très bien la route, et ça fait toujours du bien de revoir ce film culte, on n'arrive plus à faire ce genre de film de nos jours sans être plat, alors autant profiter de celui ci.
Après avoir regardé les 5 saisons de Cobra Kai, j'ai voulu revoir les films Karaté Kid que je n'avais pas revu depuis 30 ans.. Franchement ce premier film est excellent, l'entrainement du héros est mythique, et mine de rien, même avant qu'il n'apprenne à se battre le petit Daniel ne le laisse pas faire lorsqu'il se fait embêter, et l'humour est plutôt bon et bien placé, même en 2023 on passe un très bon moment devant.
Je n'en avais que peu de souvenirs, seulement les scènes les plus marquantes, mais nom de dieu qu'est-ce que ça a mal vieilli ! Mise en place longuette, jeu d'acteur très limite, dialogues au rabais, c'est peu dire que l'on trouve le temps long durant deux heures et ce malgré le capital sympathie de certains personnages. C'est vraiment de la série B à l'ancienne et finalement peu de soin était apporté au métrage. J'aurais peut-être dû en rester au souvenir de ce coup de pied final mythique, j'aurais peut-être eu plus envie de me lancer dans Cobra Kai ...
Une sorte de Rocky pour ados. John avildsen est d'ailleurs le réalisateur des deux films. Un film pas bête, qui prône la sagesse et la patience, au travers du personnage du voisin incarné par Pat Morita. Qui prône aussi l'écoute des anciens L'histoire d'une émancipation d'un gars chétif quand La romance a de son côté un petit côté Roméo et Juliette, et c'est la belle Élisabeth Shue dans le rôle féminin. C'est un peu trop long, un peu caricatural mais c'est sympathique. Côté bande son, puisque c'est les années 80, le formidable Cruel Summer des Bananaramas