Votre avis sur Massacre à la tronçonneuse ?
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Excellent film d'horreur, dans une ambiance moite un groupe d'adolescents perdu dans un Sud peu accueillant se retrouve pourchasser par un colosse défiguré avec une tronçonneuse. Le film retranscrit bien la folie, la peur et l'angoisse qui suinte de tous les ports de ce cauchemar éveillé, ne trouvant d'aide nulle part, les pauvres victimes connaitrons leurs salut que dans la souffrance et la mort. Si ces derniers ne sont pas très caractérisé leurs parcours cauchemardesque nous les rendra plus qu'attachant malgré leurs tendances plus suspectes à se jeter dans la gueule du Loup.
Si le film assure dans sa partie horrifique, il aurait été intéressant de ne pas trop savoir sur le Boogey man le faisant passer parfois comme un gros bébé un peu attardé ce qui enlève un peu de son coté effrayant. N'ayant pas vu l'original je ne peux comparé mais je toutefois dire qu'il fait honneur à celui ci et loin du ratage il donne envie de découvrir l'original.
Si le film assure dans sa partie horrifique, il aurait été intéressant de ne pas trop savoir sur le Boogey man le faisant passer parfois comme un gros bébé un peu attardé ce qui enlève un peu de son coté effrayant. N'ayant pas vu l'original je ne peux comparé mais je toutefois dire qu'il fait honneur à celui ci et loin du ratage il donne envie de découvrir l'original.
Remake du film culte de Tobe Hooper, "Massacre à la Tronçonneuse", réalisé cette fois-ci par Marcus Nispel, est une œuvre américaine plus ou moins sanglante inspiré de faits réels.
En 1973, lors d'une perquisition à la ferme de Thomas Hewitt, ancien employé de l'abattoir de Travis County, au Texas, la police découvrait les restes de 33 êtres humains. Cette effroyable trouvaille mit en émoi la population locale. Arborant les grotesques masques de chair de ses victimes et brandissant une tronçonneuse, le tueur fut macabrement surnommé Leatherface. Les autorités locales abattirent un homme portant un masque de cuir, mettant ainsi fin à l'affaire, mais au cours des années suivantes, plusieurs personnes accusèrent la police d'avoir bâclé l'enquête et d'avoir tué un innocent en toute connaissance de cause. Pour la première fois, la seule victime ayant survécu au massacre brise le silence et raconte ce qui est vraiment arrivé cette nuit-là, sur une route déserte du Texas, à cinq personnes qui sans le savoir, roulaient vers leur pire cauchemar... Tel est le fantastique synopsis (bien que repris) de ce film d'horreur produit par Michael Bay sortit en 2004.
Gérant mieux la tension mais sans créer un réel effroi que J. Liebsman, Marcus Nispel réalise un slasher honnête à l'univers anxiogène et poisseux.
Les acteurs de ce film sont tous très convaincants : bien que R. Lee Ermey (le Shérif Hoyte), Jessica Biel (Erin) et Andrew Bryniarski (Leatherface) se démarquent. Le scénario, plus inventif et abouti spoiler: (par exemple la scène où Erin se cache dans une carcasse d'animal dans l'abattoir)
, est plus efficace que son/sa préquel(le).
Le rythme du film est plus effréné, il est augmenté par la bande sonore et augmenté par les scènes gores/chocs. Grâce à ces qualités que je viens d'énumérer, un petit stress s'instaure pendant le visionnage du film mais sans créer de vraie peur. Ce qui est dommage.
Au final, ce "Texas Chainsaw Massacre" est un honorable remake que je conseille pour les amateurs de bons vieux slashers mais pour ceux qui sont rangés du côté de la frayeur, il ne faudra non pas aller dans cette demeure à droite mais plutôt à celle du bout de la rue à gauche^^.
En 1973, lors d'une perquisition à la ferme de Thomas Hewitt, ancien employé de l'abattoir de Travis County, au Texas, la police découvrait les restes de 33 êtres humains. Cette effroyable trouvaille mit en émoi la population locale. Arborant les grotesques masques de chair de ses victimes et brandissant une tronçonneuse, le tueur fut macabrement surnommé Leatherface. Les autorités locales abattirent un homme portant un masque de cuir, mettant ainsi fin à l'affaire, mais au cours des années suivantes, plusieurs personnes accusèrent la police d'avoir bâclé l'enquête et d'avoir tué un innocent en toute connaissance de cause. Pour la première fois, la seule victime ayant survécu au massacre brise le silence et raconte ce qui est vraiment arrivé cette nuit-là, sur une route déserte du Texas, à cinq personnes qui sans le savoir, roulaient vers leur pire cauchemar... Tel est le fantastique synopsis (bien que repris) de ce film d'horreur produit par Michael Bay sortit en 2004.
Gérant mieux la tension mais sans créer un réel effroi que J. Liebsman, Marcus Nispel réalise un slasher honnête à l'univers anxiogène et poisseux.
Les acteurs de ce film sont tous très convaincants : bien que R. Lee Ermey (le Shérif Hoyte), Jessica Biel (Erin) et Andrew Bryniarski (Leatherface) se démarquent. Le scénario, plus inventif et abouti spoiler: (par exemple la scène où Erin se cache dans une carcasse d'animal dans l'abattoir)
, est plus efficace que son/sa préquel(le).
Le rythme du film est plus effréné, il est augmenté par la bande sonore et augmenté par les scènes gores/chocs. Grâce à ces qualités que je viens d'énumérer, un petit stress s'instaure pendant le visionnage du film mais sans créer de vraie peur. Ce qui est dommage.
Au final, ce "Texas Chainsaw Massacre" est un honorable remake que je conseille pour les amateurs de bons vieux slashers mais pour ceux qui sont rangés du côté de la frayeur, il ne faudra non pas aller dans cette demeure à droite mais plutôt à celle du bout de la rue à gauche^^.
Étant fan de slashers et plus particulièrement de cette saga, j'ai été curieux de voir le remake, sans m'attendre à quelque chose d'extra. C'est ce qui est arrivé : un film bien mais sans être extra. Pris à part, le film n'est pas mauvais, il est même très bien et nous présente pas mal d'hémoglobine. Mais comparé au film culte original, ce volet de la saga est assez décevant car pas aussi fort (le dégoût prend ici le dessus sur l'effroi) et trop loin de l'esprit d'origine. Résultat très positif donc, à condition de ne rien connaître à la saga...
Dans l'ensemble, un bon film d'horreur, avec des moments vraiment angoissants. Cependant, le caractère prévisible du déroulement de l'histoire déçoit un peu. Et puis, sans doute vaut-il mieux privilégier le film original de 1974 !
C'est bien d'avoir fait un remake; cette version est bonne mais sans plus. Ce film est très stressant avec de bon acteurs, de sombres décors. On ne s’ennuie pas, on reste dans le grand suspens. Mais, j'ai été très déçu qu'on ne voit pas vraiment les "découpages" des corps, contrairement au "Commencement". Il n'est pas assez gore, pourtant produit par Mickaël Bay, c'est dommage.
Très bon film, j’ai adorer ! Celui ci suit parfaitement l’histoire « vrai » du film original des années 70 ! Pas du tout déçu et attend vraiment une belle suite !
Un bon remake mais qui ne vaut pas l’original .
Ça se regarde bien sans tomber dans le glauque .
Jessica Biel si sexy, joue bien. Film d’épouvante horreur qui fait le boulot .
Ça se regarde bien sans tomber dans le glauque .
Jessica Biel si sexy, joue bien. Film d’épouvante horreur qui fait le boulot .
En 2003 Marcus Nispel rendait hommage à Massacre à la tronçonneuse et on peut sentir en le regardant tout l'amour qu'il a envers cette saga et l"envie de faire plaisir aux fans.
L'atmosphère à la fois caniculaire et poisseuse s'en dégage, le Leatherface proposé est plutôt convaincant et nous offre quelques bons moments de tension. L'idée du shérif fait partie des points forts également, quasiment tous les personnages de cette famille sont malsains et repérables instantanément, évidemment le scénario n'est pas plus poussé que pour l'oeuvre initiale mais on sait à quoi s'attendre en le regardant.
Notre geule de cuir préférée se téléporte à plusieurs reprises ce qui ne convainc pas toujours, on peut trouver dommage le comportement de certains personnages mais aussi le comportement de la réalisation, car pendant une bonne partie du film, nous ne suivons pas Jessica Biel, notre victime principale, mais plutôt soit sa poitrine, soit ses fesses, et c'est très agaçant car les séquences où l'on voit son visage apeuré sont excellentes, ça gâche à mon sens une partie de l'oeuvre et la rend malsaine, pas pour les bonnes raisons malheureusement.
Je ne trouve pas non plus cet épisode meilleur que le premier, c'est un bel hommage mais il ne révolutionne ni atteint ce que Tobe Hooper avait fait en 1974.
L'atmosphère à la fois caniculaire et poisseuse s'en dégage, le Leatherface proposé est plutôt convaincant et nous offre quelques bons moments de tension. L'idée du shérif fait partie des points forts également, quasiment tous les personnages de cette famille sont malsains et repérables instantanément, évidemment le scénario n'est pas plus poussé que pour l'oeuvre initiale mais on sait à quoi s'attendre en le regardant.
Notre geule de cuir préférée se téléporte à plusieurs reprises ce qui ne convainc pas toujours, on peut trouver dommage le comportement de certains personnages mais aussi le comportement de la réalisation, car pendant une bonne partie du film, nous ne suivons pas Jessica Biel, notre victime principale, mais plutôt soit sa poitrine, soit ses fesses, et c'est très agaçant car les séquences où l'on voit son visage apeuré sont excellentes, ça gâche à mon sens une partie de l'oeuvre et la rend malsaine, pas pour les bonnes raisons malheureusement.
Je ne trouve pas non plus cet épisode meilleur que le premier, c'est un bel hommage mais il ne révolutionne ni atteint ce que Tobe Hooper avait fait en 1974.
Ambiance glauque, acteurs plutôt bons, c'est un bon remake, je le préfère à l'original, manque un peu de gore mais l'atmosphère est malsaine et c'est bien stressant , bon film
Honnête remake de ce qui est sans doute l'un des plus beaux fleurons du genre. Alors bien sûr, M. Nispel et les scénaristes de la chose ne prennent pas trop de risques en décalquant de nombreux passages de l'original mais il ont aussi revisités certains trucs. Au niveau mise en scène, je suis surpris de voir autant de belles lumières, avec des scènes en forêt particulièrement belles. D'ailleurs, c'est l'un des points faibles du film cette forêt car notre héroïne y fait de trop nombreuses allées et venues, meublant avec un peu de peine les 1h30 du film. Les acteurs sont plutôt bons, la mise en scène alterne plans gores et mouvements élégants, privilégiant les montées de suspenses. Il en résulte un film efficace, assez prenant, assez bourrin et sanglant, qui joue avec nos nerfs et nous plonge avec délice dans une ambiance poisseuse, humide et scabreuse. Plutôt bon donc. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Ambiance malsaine et poisseuse, sa aide a instaurer un climat de violence et de dégout. Ce film d'horreur reste classique mais reste très efficaces. Le gore reste "supportables" certaines séquences sont hard mais dans l'ensemble sa passe contrairement au commencement qui est juste atroce !
Pas amateur de films d'horreur, ce film se laisse regarder et on ne s'ennuie pas. Un peu flippant par moments même.
Ce remake du célèbre "Massacre à la tronçonneuse" réalisé ici par Marcus Nispel est un bon film qui est même bien mieux que l'original et il relève la saga qui commençait à partir en vrille. Je partait pourtant avec des aprioris en commençant à regarder ce film en me disant que les remakes sont souvent mauvais et que le film commence bien mais qu'il va se finir, comme toujours mal. Eh bien j'avais tort car pour une fois c'est un très bon remake et de plus, il change du tout au tout, car on n'a plus ces scènes interminables à table et il est moins glauque tout en gardant cet esprit bizarre de "Massacre à la tronçonneuse" des années 70. Ce qui est dommage, c'est que c'est vraiment trop prévisible, plus rien n'est surprenant et dès le début, quand on voit les personnages dans le van, on sait tout de suite qui va survivre. "Massacre à la tronçonneuse" est donc un bon remake et il vaut vraiment le coup d'être vu.
15/20 : Le réalisateur allemand Marcus Nispel nous livre en 2003, le remake du film culte de Tobe Hooper : Massacre à la Tronçonneuse.
On aurait pu penser que ce remake contiendrait des scènes très gores où les corps coupés en deux et les tripes à l’air auraient été au menu. Hors, même si certaines scènes restent tout de même assez éprouvantes (car oui, il ne s’agit tout de même pas ici d’un épisode de La Petite Maison dans la Prairie), le film s’oriente davantage vers l’effroi (le spectateur assiste à de nombreuses courses poursuites entre l’impressionnant Leatherface et ses malheureuses victimes – rien que le fait d’entendre rugir la tronçonneuse, votre cœur palpite à 100 à l’heure) que vers le gore outrancier (ici, les scènes de meurtre sont en général suggérées, nous devinons et ne voyons peu).
Les acteurs sont tous performants, que ce soient les jeunes victimes tels la splendide Jessica Biel (incarnant ici la courageuse et attachante Erin), bluffante par son excellente interprétation. L’actrice est tellement douée qu’elle semble vivre réellement ce carnage. L’acteur Jonathan Tucker, qui interprète Morgan, le binoclard (un des amis d’Erin), est également convaincant. Le gigantesque Leatherface (ou Thomas Hewitt si vous préférez) interprété par Andrew Bryniarski est effrayant de part son 1m96, son masque de peau humaine et son imposante tronçonneuse. Sans oublier l’excellent Ermey (que certains auront pu découvrir dans Full Metal Jacket de Stanley Kubrick) tenant le rôle du sadique shérif Hoyt.
Marcus Nispel nous plonge avec succès dans une atmosphère glauque et brute de décoffrage où y règne une famille tuyau de poêle.
"Massacre à la Tronçonneuse" de Marcus Nispel, est d’une efficacité redoutable et mené par de très bons acteurs. Ce remake est devenu culte à nos yeux.
VOUS AIMEZ LE CINEMA ? ALLEZ SUR ARTEMISIA POUR Y DECOUVRIR DES CRITIQUES, DES NEWS ET DES MONTAGES VIDEO ! BONNE VISITE ! Voir le lien ci-dessous !
On aurait pu penser que ce remake contiendrait des scènes très gores où les corps coupés en deux et les tripes à l’air auraient été au menu. Hors, même si certaines scènes restent tout de même assez éprouvantes (car oui, il ne s’agit tout de même pas ici d’un épisode de La Petite Maison dans la Prairie), le film s’oriente davantage vers l’effroi (le spectateur assiste à de nombreuses courses poursuites entre l’impressionnant Leatherface et ses malheureuses victimes – rien que le fait d’entendre rugir la tronçonneuse, votre cœur palpite à 100 à l’heure) que vers le gore outrancier (ici, les scènes de meurtre sont en général suggérées, nous devinons et ne voyons peu).
Les acteurs sont tous performants, que ce soient les jeunes victimes tels la splendide Jessica Biel (incarnant ici la courageuse et attachante Erin), bluffante par son excellente interprétation. L’actrice est tellement douée qu’elle semble vivre réellement ce carnage. L’acteur Jonathan Tucker, qui interprète Morgan, le binoclard (un des amis d’Erin), est également convaincant. Le gigantesque Leatherface (ou Thomas Hewitt si vous préférez) interprété par Andrew Bryniarski est effrayant de part son 1m96, son masque de peau humaine et son imposante tronçonneuse. Sans oublier l’excellent Ermey (que certains auront pu découvrir dans Full Metal Jacket de Stanley Kubrick) tenant le rôle du sadique shérif Hoyt.
Marcus Nispel nous plonge avec succès dans une atmosphère glauque et brute de décoffrage où y règne une famille tuyau de poêle.
"Massacre à la Tronçonneuse" de Marcus Nispel, est d’une efficacité redoutable et mené par de très bons acteurs. Ce remake est devenu culte à nos yeux.
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Ce massacre à la tronçonneuse est très convaincant : le film se montre sanglant et intense. Mais il manque un petit quelque chose par rapport à MT le commencement : une certaine folie.
L’histoire commence comme l’original avec un petit groupe de jeunes adultes qui part en week end. Petite frayeur au début, où dès les premières images, on voit un couple à l’arrière de la fourgonnette chaud comme la braise presque prêt à copuler devant leurs amis. J’ai eu peur pour la suite du film mais heureusement que ce n’était juste une petite feinte.
Ensuite, le film s’attarde un peu trop sur la jeune fille (morte) prise sur la route et au vue de la situation, aurais-je été le seul à abandonner le cadavre ? Sérieux, le sheriff n’est pas capable de se déplacer et en plus arrive en retard au rendez-vous, et le gamin déclare qu’il est chez lui à picoler !? What ? La fille s’est suicidée et le sheriff s’en fout donc pourquoi attendre et risquer de s’attirer des ennuis ? Pourquoi être responsable quand une personne étant pour l’ordre et la justice ne prend pas ses responsabilités ? Je trouve la situation un peu invraisemblable et j’aurai préféré que cela soit tourné autrement.
Bon à partir du moment où le sheriff arrive et qu’au même moment l’un des couple va à la maison, le film se lance enfin. L’action commence avec le couple et pour ce qui est des autres, le sheriff fera sourire à tel point il est salasse dans ses propos. Durant tout le cauchemar, certaines scènes seront assez gores et d’autres intenses pour les courses poursuites. Des décors glauques comme on aime notamment l’abattoir. Leatherface avec le visage d’un des amis du groupe sur lui à un moment est bien vu.
Au niveau des interprétations, c’est très bon pour les méchants : le sheriff est excellent et Leatherface est physiquement impressionnant mais un peu dommage que sa violence n’est pas proportionnelle à son physique (je l’ai trouvé un peu douillet et gentillet par moment). Sa tronçonneuse fait toute la différence ici. Pour ce qui est du groupe de jeunes, c’est à peu près correct, en mettant de côté le rôle des personnages, avec Jessica Biel intéressante (et pas que pour son rôle si vous voyez ce que je veux dire…).
Ce massacre à la tronçonneuse est donc sympa et possède de bons arguments mais pour moi le volet indétrônable restera celui du commencement de 2006. Un petit poil de retenu de Leatherface et des jeunes personnages un peu faciles et un peu « plastique » représentent mon seul regret de cette production.
L’histoire commence comme l’original avec un petit groupe de jeunes adultes qui part en week end. Petite frayeur au début, où dès les premières images, on voit un couple à l’arrière de la fourgonnette chaud comme la braise presque prêt à copuler devant leurs amis. J’ai eu peur pour la suite du film mais heureusement que ce n’était juste une petite feinte.
Ensuite, le film s’attarde un peu trop sur la jeune fille (morte) prise sur la route et au vue de la situation, aurais-je été le seul à abandonner le cadavre ? Sérieux, le sheriff n’est pas capable de se déplacer et en plus arrive en retard au rendez-vous, et le gamin déclare qu’il est chez lui à picoler !? What ? La fille s’est suicidée et le sheriff s’en fout donc pourquoi attendre et risquer de s’attirer des ennuis ? Pourquoi être responsable quand une personne étant pour l’ordre et la justice ne prend pas ses responsabilités ? Je trouve la situation un peu invraisemblable et j’aurai préféré que cela soit tourné autrement.
Bon à partir du moment où le sheriff arrive et qu’au même moment l’un des couple va à la maison, le film se lance enfin. L’action commence avec le couple et pour ce qui est des autres, le sheriff fera sourire à tel point il est salasse dans ses propos. Durant tout le cauchemar, certaines scènes seront assez gores et d’autres intenses pour les courses poursuites. Des décors glauques comme on aime notamment l’abattoir. Leatherface avec le visage d’un des amis du groupe sur lui à un moment est bien vu.
Au niveau des interprétations, c’est très bon pour les méchants : le sheriff est excellent et Leatherface est physiquement impressionnant mais un peu dommage que sa violence n’est pas proportionnelle à son physique (je l’ai trouvé un peu douillet et gentillet par moment). Sa tronçonneuse fait toute la différence ici. Pour ce qui est du groupe de jeunes, c’est à peu près correct, en mettant de côté le rôle des personnages, avec Jessica Biel intéressante (et pas que pour son rôle si vous voyez ce que je veux dire…).
Ce massacre à la tronçonneuse est donc sympa et possède de bons arguments mais pour moi le volet indétrônable restera celui du commencement de 2006. Un petit poil de retenu de Leatherface et des jeunes personnages un peu faciles et un peu « plastique » représentent mon seul regret de cette production.