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    The Hit : le tueur était presque parfait
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    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2024
    Curieux film. Les motivations des personnages, qui semblent claires de prime abord, sont sans cesse rebattues par leur nonchalance affichée. Willie Parker, recherché par ses anciens complices qu'il a dénoncés à la police dix ans auparavant contre sa libération, est capturé par deux hommes de main engagés par les taulards sortis de prison. Mais Parker, déclarant ostensiblement ne pas avoir peur de la mort, ne cherche pas vraiment à échapper à ses ravisseurs. Ces derniers, qui revendiquent leur professionnalisme, multiplient étrangement les digressions, les arrêts inutiles, les situations ingérables. Les acteurs sont tous épatants. Tim Roth joue les apprentis mafieux avec beaucoup de talent : immature et manquant de confiance en lui, il contraste avec le calme imperturbable de son partenaire. Mais John Hurt présente peu à peu des signes de faiblesse : actions reportées, silences équivoques, une certaine forme de masochisme aussi dans sa relation avec Maggie, enlevée initialement pour faire pression sur un témoin. Seul le début du film est franchement raté : le procès puis l'enlèvement de Parker sont mal mis en scène et mal interprétés.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 753 abonnés 12 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2024
    1500 kilomètres de cavale, une frontière à passer...et la mort au bout qui n'est au fond qu'une ètape du voyage! Second long-mètrage de Stephen Frears, "The Hit" (1984) est un thriller brillant qui expose un milieu noir diffèrent : le road-movie en terre hispanique! Le film ne relate finalement pas grand chose mais tout est exècutè avec tellement de brio que l'histoire se boit ici comme du petit lait! La froideur et l'absence totale d'humour de John Hurt, le côtè imprèvisible de Tim Roth, le regard faussement serein de Terence Stamp et la fascinante sensualitè de Laura del Sol! Un quatuor d'acteurs inoubliable et la gratte de Eric Clapton pour accompagner le tout! Les images d'une Espagne qui n'en finit plus dèmontrent une fois de plus que Mike Molloy, qui a bossè avec Kubrick, Preminger ou Roeg, ètait l'un des spècialistes de la photographie en extèrieurs! A l'arrivèe la première grande rèussite de Frears...
    P.  de Melun
    P. de Melun

    55 abonnés 1 128 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Ce film en déroutera plus d'un : séduisant pour celui qui saura s'en imprégner, visuellement très beau, l’analyse des personnages est plutôt réussie. Ce road-movie psychologique est truffé d’un humour noir corrosif. Mettant en avant des personnages aux tempéraments contrastés courant vers une mort probable, la mise en scène est exquise voire posée, les dialogues minimalistes, ponctués de silence, abordent de belles réflexions sur la vie et la mort. Les acteurs sont truculents avec Tim Roth à l’âge de 23 ans, complètement électrique, augurant une belle carrière cinématographique. Il y a du Tarantino dans ce film, tourné vers la contemplation des personnages et des paysages espagnols mais brûlant de scènes de carnages. Seule la fin est un peu expédiée.
    Pascal
    Pascal

    160 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2021
    J'avais vu ce film lors de sa sortie en salles. A l'époque, cet opus de Stephen Frears était précédé de très bonnes critiques. Pourtant, je dois reconnaître que le film m'avait laissé sur ma faim et je n'avais pas compris l'engouement autour de lui. En le revoyant plusieurs décennies plus tard, je dois admettre que j'étais complètement passé à côté de ce vrai faux film policier, prétexte à une réflexion sur la mort et les passions humaines qui occultent la raison. Un truand repenti qui a dénoncé sa bande et son chef vit des jours heureux en Espagne. Cependant, ses amis trahis veulent lui régler son compte et envoient deux tueurs pour le capturer et le ramener à Paris ou on imagine le sort qui va lui être réservé. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Frears qui débuta avec les représentants de la nouvelle vague Britannique et fit même une carrière à succès aux usa, est un réalisateur de premier plan dont la filmographie comprend des films de moindres importance. Ce n'est pas le cas de "the hit" dont le scénario, la distribution ( terence stamp, john hurt et tim roth) et la réalisation sont très réussies. Ce que nous dit le film est qu'il est difficile d'affronter la mort, malgré les préceptes enseignés par l'école philosophique d'Épicure, que les passions humaines nous conduisent au pire et que la raison est impuissante à les combattre. Un film excellent, qui inspirera sans nul doute Quentin Tarantino. La présence de Tim Roth à ses débuts, qu'on retrouvera dans " réservoir dogs" et pulp fiction " en témoigne. Il faut malgré tout prévenir le spectateur éventuel que le film n'est pas un véritable polar. Le scénario n'est ici qu'un prétexte à la réflexion sur des questions clefs de l'existence humaine. La première partie du film est, de loin, la meilleure.
    Marc D
    Marc D

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2024
    Un film que l'on n'oublie pas en raison de son interrogation métaphysique. Jeu d'acteurs exceptionnel, scénario complexe. C'est sûr que l'on n'est pas dans le registre du film d'action simple. C'est une errance, une réflexion sur l'acceptation de la mort. Le film ne plaît pas à tout le monde (ce qui quelque part est un gage de qualité). En résumé Stefen Frears a conçu un bijou dont le souvenir demeure très puissant.
    FrancoisAix
    FrancoisAix

    2 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2020
    Excellent film d'action sans action, tourné vers la contemplation des personnages et des paysages espagnols , le magistral développement de l'intrigue. La musique de Paco de Lucia renforce ce sentiment de malaise qui vous prend à la première minute et ne vous lâchera plus.
    labadens
    labadens

    14 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2020
    The Hit ressemble par bien des aspects à une relecture du classique d'Hemingway "The Killers", un livre qui nous présentait un personnage, Ole Anderson, qui sait qu'il doit être éliminé par deux tueurs à gages dans un futur proche. A noter que ce livre a déjà été adapté en deux films noirs américains, une fois par Robert Siodmak (1946) et une fois par Don Siegel (1964), ce qui est intéressant puisqu'ils sont tous traités de façons différentes.

    Dans ce roman, le protagoniste reconnaît qu'il est inutile de fuir, puisqu'il dit que la mort arrive de toute façon à un moment ou à un autre. Comment échapper à l'inévitable? Pourquoi ne pas couper court à la chasse et rencontrer son destin de front?

    L'adaptation de Siodmak suit un enquêteur d'assurances qui veut essentiellement découvrir la raison pour laquelle Ole a été tué. L'adaptation de Siegel quand à elle, suit les tueurs à gages (Lee Marvin et Clu Gulager).

    Essentiellement, la version de Siodmak semble prendre la forme d'un film d'enquête classique, celle de Siegel est quand à elle une adaptation du thème philosophique de Hemingway.

    Parlons maintenant du film de Stephen Frears, The Hit, essai néo-noir également inspiré de ce roman. Premièrement, il est intéressant de relever la direction prise au niveau du scénario, en effet nous sommes conscients de la solution au mystère dès le début du film. Willie, un gangster membre d'une bande commettant des braquages, témoigne contre ses anciens partenaires en échange d'un pardon et d'une retraite confortable en Espagne, lorsqu'ils sont confrontés avec le témoignage de Willie, le reste de la bande chante "We'll Meet Again" de Vera Lynn à l'intention de leur ancien collègue. Dix ans plus tard, après avoir passé son temps à se prélasser dans la littérature et la culture du monde, Willie est confronté à une paire de tueurs à gage: Braddock (John Hurt) et Myron (Tim Roth). Willie se rend sans discuter, et le trio entame un voyage pour le conduire de l'Espagne à Paris, où les anciens partenaires de Willie l'attendent pour se venger.

    Mais, car il y a toujours un " mais " , des complications s'ensuivent ...

    Ce qui est intéressant avec The Hit, c'est la façon dont il joue en permanence avec nos attentes. Dès le début du visionnage, on pense regarder un film sur le personnage de Willie, qui finirait par mourir aux mains de ses assassins, sans grande surprise. Pourtant, étant donné que le film n'est pas un film d'enquête, l'intrigue doit changer d'arc narratif pour progresser. Il n'est pas question ici de la structure assez simple que Frears et le scénariste Peter Prince ont donné au film, comme par exemple la transformation de Willie, qui est entièrement motivée par la psychologie et non par la nécessité d'une séquence d'action violente (poursuite ou fusillade). L’intérêt lors du visionnage de ce film est de trouver quel est le véritable cœur dramatique du récit, et c'est là qu'est tout son intérêt justement, alors que dans un thriller classique on aurait passé beaucoup de temps à observer le personnage dit "principal" et l'élaboration de sa méthode pour se sortir de sa situation, on a l'impression que le film s'attache presque plus aux ravisseurs. On observe ainsi la réaction émotionnelle de Braddock face au personnage de Willie, cet homme condamné à une mort certaine pourrait-il changer sa propre vision de la vie? Est-il resté le froid meurtrier calculateur que nous voyons au début du film, ou se rend-il compte sa propre mortalité?

    Ces légères transformations psychologiques sont subtilement traitées ici. Willie, interprété par Terrence Stamp est d'abord confiant dans sa décision, en essayant de bluffer ses meurtriers dans la confusion avec des monologues sur la nature de la vie et de la mort. Pourtant, plus le film progresse, plus Willie commence à douter et l'on commence à réaliser à quel point ses paroles et ses actions ne sont qu'une façade.

    Le caractère et la représentation de Braddock, le personnage de John Hurt, sont difficiles à évaluer, étant donné qu'il est plutôt contemplatif et silencieux, les yeux cachés derrière des grandes lunettes de soleil Ray-Ban. Comme Stamp, cependant, nous commençons à remarquer des changements subtils dans son comportement à mesure que le film continue, en particulier lors de séquences où ils sont confrontés aux sautes d'humeur de Myron, ce dernier jouant le rôle de métronome entre les deux protagonistes principaux.

    Le film comporte également une superbe trame sonore, composée en grande partie par l'espagnol guitariste de flamenco Paco de Lucia avec un titre éponyme réalisé par Roger Waters et Eric Clapton. La photographie du film capte avec merveille les rues ternes et déprimantes de Londres et les juxtapose avec le surexposé des paysages arides de la campagne espagnole. Dans l'ensemble, Frears a réussi à livrer un très bon film réinterprétant l’œuvre de Hemingway à sa manière, une vision peut-être plus personnelle et stylisée que celle de ses prédécesseurs.

    Frears est un cinéaste relativement sous-estimé de notre côté de la manche. C'est peut-être en raison de la diversité de son matériel, ses réalisations les plus connues en témoignent: My Beautiful Laundrette (1985), Les Liaisons dangereuses (1988), High Fidelity (2000), et The Queen (2006). Essentiellement, il s'agit d'un cinéaste tellement éclectique que son œuvre ne possède pas ce qui pourrait être considéré comme une signature personnelle. Pourtant, Frears a tranquillement et humblement contribué au genre du néo-noir au cours des dernières décennies, que ce soit dans son adaptation de Jim Thompson, Les Arnaqueurs (1990), le drame des immigrants Dirty Pretty Things (2003), ou The Hit, pour le coup. Une réalisation assez étrange pour un anglais, compte tenu que la demande en film noir est intrinsèquement largement américaine, et c'en est d'autant plus louable.
    Audrey L
    Audrey L

    639 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2018
    On ne connaissait pas Stephen Frears dans le registre longuet et mou, voilà chose faite... Une petite déception pour un réalisateur que j'apprécie (avec son somptueux Philomena et son beau portrait The Queen...) et que je découvre dans The Hit comme manquant d'ambition, se contentant de filmer ses acteurs (assez bons, surtout le chien fou Tim Roth qui signe une interprétation inspirée et imprévisible) dans des palabres qui n'en finissent plus, avec de rares occasions d'actions, et une fin décevante (rapide et pessimiste). L'intrigue intéresse dans les premiers instants, puis l'on suit de façon nonchalante le film simplement pour en connaître le dénouement, mais sans réelle envie (pas de rire ni sourire, pas de sursaut ni surprise, pas d'émotions...). L'ambiance poussiéreuse et chaude de l'Espagne rappelle certains westerns, et la musique d'Eric Clapton est un petit bijou de guitare pincée frénétiquement. Dommage que les quelques atouts du film soient gâchés par le rythme complètement plat et l'absence d'émotions.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 154 abonnés 5 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2017
    Il se dégage du film une certainement mélancolie. Non pas uniquement à cause de la guitare espagnole mais aussi aux longs échanges verbaux entre les personnages: comment changer les choses ou comment envisager la vie. Un des 4 va trouver la solution et s'évader en solitaire comme si le film allait recommencer.
    Original
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2016
    Alors d'un coté le scénario ne tient pas la route, soit par la volonté du réalisateur ou bien un manque d' intérêt et d'habitude pour le coté film d'action. La scène de l'enlèvement plutôt mal réalisée ferait plutôt pencher la balance dans ce sens. D'un autre coté le réalisateur trouve un ambiance assez unique ou les acteurs font la différence en particulier Tim Roth excellent en petite frappe.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    136 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    Film noir comme je suggère l'affiche ? Film de Gangster comme nous l'indique le pitch ? Un mafieux ayant dénoncé des ex complices se retrouve avec la mort aux trousses, une mort fine, élégante sous les traits juvéniles de Tim Roth. Ou un puissant road movie comme la structure même du film nous le murmure ? The Hit est avant tout un très grand film de Stephen Frears, tourné avec peu de moyens, destiné de mémoire à une exploitation télévisuelle mais qui contient tellement de cinéma qu'il est aujourd'hui considéré comme un petit joyau brut à montrer dans toutes les écoles de cinéma, à faire découvrir encore et encore. Un exercice de style de haut vol et plus encore une leçon magistrale de rythme, de construction narrative de mise en scène de direction d'acteurs... et quel casting : John Hurt, Terence Stamp, Tim Roth,... Il faut franchement le voir ou le revoir.
    Shephard69
    Shephard69

    335 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    Avec un Terence Stamp et un John Hurt excellents comme toujours et un Tim Roth électrique, un très bon polar en forme de road-movie dans les règles de l'art avec un suspense prenant, des personnages intéressants et quelques paysages superbes. Peut-être pas le meilleur polar que j'ai vu mais une franche réussite. Bonne sensation.
    Grandet C.
    Grandet C.

    102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2014
    Un des premiers films du toujours passionnant Stephen Frears ( the Queen, les liaisons dangereuses, etc) dans le style film de gangsters, il réussit à nous tenir en haleine malgré une histoire un peu rabâchée d'une balance, face à son passé et des tueurs venus l'enlever de sa planque. En découle un road-movie ou des britanniques traversent l'Espagne, et doivent prendre en route une jeune fille en otage; les acteurs sont au top, la mise en scène parfaite, on ne s'ennuie pas, on se demande jusqu'au bout comment tout cela va finir, mal on le devine. L'intérêt vient des non-dits: pourquoi la fille est-elle épargnée par ces truands? ( John Hurt, glacial, et Tim Roth, tout jeunot), pourquoi leur prisonnier ne s'enfuit pas? A chacun de répondre, mais au-delà j'ai trouvé l'histoire prenante, et avec le recul une vision de l'Espagne d'il y a 30 trente ans visuellement pleine d'intérêt.
    selenie
    selenie

    6 260 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2013
    13 ans après son premier long métrage ("Gumshoe" en 1971) Stephen Frears se relance sur grand écran avec un polar assez atypique, sorte de road-movie philospohique et fatal. Comme il le dit lui même Frears s'est d'abord fait la main à la télévision (notamment à la BBC) pour oser revenir avec un vrai projet. Le casting est remarquable, plaçant en face à face Terence Stamp et John Hurt, deux visions particulières face à la mort, tandis qu'on remarque dans son premier rôle l'excellent Tim Roth. "The Hit" signifie le coup ou le contrat, le spitch de base n'a rien de confondant puisqu'il s'agit de deux tueurs, évidemment antagoniste (un vieux et un jeune), qui doivent retrouver un traitre et le ramener à leur patron avant de le tuer. La vraie force du film réside dans l'évolution des liens entre les protagonnistes, une collusion à l'insu de leur plein gré, notamment et surtout entre le tueur le plus expérimenté (John Hurt en tueur froid mais vieillissant) et sa victime (Terence Stamp en ex-truand qui se croit préparé à la mort). En effet le "débat" de fond étant le rapport à la mort, lorsque celle-ci arrive. Une atmopshère pesante, voir lancinante s'instaure sur fond de musique éclectique (Eric Clapton au flamenco) finit par nous offrir un magnifique film, trop méconnu. Il est étonnant que le réalisateur n'ait pas replonger dans le genre. Connu également sous le titre "Le tueur tait presque parfait" , ce polar mérite largement qu'on s'y attarde.
    TheManWhoLovesCinema
    TheManWhoLovesCinema

    39 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2012
    Je l'avais vu il y a quelques années ( mais sous le titre de "KILLER$" ) et j'avais été emballé par la mise en scène. La chose qui m'avait particulièrement marqué était la tête de Tim Roth que je n'avais pas du tout reconnu. Le scénario quand à lui, bien que pas très original, reste accrocheur: Willie Parker ( Terence Stamp ), un truand anglais, dénonce ses complices en échange de sa liberté. Il part donc vivre en Espagne. Dix ans plus tard, ses ex-complices sortent de prison; ils engagent deux "professionnels" pour le capturer: Braddock ( John Hurt ), le vétéran, et Myron ( Tim Roth ), dont c'est la première mission. Ils enlèvent Parker et traversent l'Espagne en direction de Paris, poursuivis par la police. Evidemment c'est du déjà vu. Mais je garde un bon souvenir de The Hit.
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