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    Le Justicier de New York
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    GyzmoCA
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    178 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 août 2020
    Charles Bronson alias Paul Kersey incarne une troisième fois le justicier en lutte avec les voyous américains.
    Le premier décryptait une situation sociale dans la ville de New-York , le deuxième était plus action dans la ville de Los Angeles , ce troisième opus revient du côté de la ville cosmopolite .

    Le réalisateur est toujours le même que les deux premiers (Michael Winner) et les producteurs golam / globus (cannon) remettent ça.

    Ils arrivent que des misères aux proches du héros ... vraiment pas de chance :-).

    Cannon avait déjà bien entamé le crédit du justicier avec le deuxième et il continue à pousser Paul Kersey bien loin de l’inspecteur Callahan , dans le monde des nanars.
    J ai peur pour le 4 et 5 ....

    Mais pour l’instant on reste sur le 3. Le justicier a affaire aux gangs des punks dans un New-York toujours proche du chaos.Et là papy justicier va sortir la grosse artillerie : bazooka , mitraillette , .... tout y passe, on est plus proche de commando ou de Chuck Norris que du thème « societal » du premier (arme à feu et insécurité).

    Les derniers films du grand Bronson sont des nanars dans le justicier à New York est le chef de file pas totalement dénué d intérêt . Les dernières quinze minutes sont limites parodiques faisant plus penser à un police academy qu un policier .
    xlr8
    xlr8

    69 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    Film de genre totalement assumé, il plaira à ceux qui aiment les films manichéens, avec des coups de feu en tous genres en veux-tu en voilà, aux adeptes de l'autodéfense. Il déplaira à ceux qui détestent les scenarii simples, ceux qui exècrent l'idée de justice par soi-même. L'histoire est tellement grotesque qu'il faut la prendre au 27e degré.
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    46 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    J'ai un vague souvenir que c'est dans cet opus que Bronson pulvérise à coup de bazooka un dealer doté d'une coupe de cheveux plus qu'improbable. Et ce à vingt centimétres de distance sans que sa vénérable et vigilante moustache ne subisse le moindre dégat. Pour tout homme étant un tant soit peu empreint d'humanisme, atomiser des dealers de façon expéditive, qui plus est au bazooka, ne saurait se justifier. Par contre, la coupe de cheveux étant vraiment intolérable, l'humanisme le plus primaire justifie la sanction. Bronson acquité!
    Carne
    Carne

    80 abonnés 1 116 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2007
    Troisième volet de la saga Death Wish, Le Justicier De New York est une tuerie au sens propre comme au figuré. Particulièrement violent et jouissif (et ce malgré son côté réactionnaire et extrémiste), les aventures du justicier Charles Bronson sont toujours aussi funs grâce à un rythme effréné, des personnages attachants (excepté le méchant que l'on a envie de voir crever du début à la fin), des séquences violentes à la pelle et à un scénario simple mais très efficace.
    Le plus amusant est de rire de ce film signé Michael Winner à cause de son côté paroxystique alors qu’il a des connotations purement visionnaires et que ce que l’on voit à l’écran pourrait être une réalité dans les années à venir.
    Quel plaisir nostalgique... Vive le cinéma hard boiled des années 80 !!!
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 avril 2016
    A côté de ce film, L'inspecteur Harry passe pour du cinéma d'art et d'essai. Le scénario, pour autant qu'on puisse le qualifier de scénario, n'est qu'un prétexte à une série de fusillades, dont la fréquence croît progressivement jusqu'à prendre l'aspect d'un vaste stand de tir urbain dans la dernière partie. Bronson traîne un peu la patte, du coup ses armes deviennent plus grosses pour compenser. C'est Rambo, mais en plus vieux, moins musculeux, et donc moins crédible et moins sexy... Dans ce film, les gentils sont très gentils et les méchants très méchants. Aucun délinquant n'essaie jamais de se ranger, de changer, de refaire sa vie. Mis à part la délinquance de rue, brillamment mise en scène dans toute sa riche palette, aucune autre forme de tare de la société n'est jamais montrée : violence domestique, détournements de fonds, corruption, alcoolisme, etc. C'est NOUS contre EUX. Michael Winner est décidément le roi de la nuance...
    Napoléon
    Napoléon

    143 abonnés 1 565 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 novembre 2017
    Un film assez fou, pas structuré qu'il faut prendre au second degré. Mais il reste vraiment regardable avec un charismatique Bronson et un style des années 80 qui a totalement disparu actuellement.
    Max Rss
    Max Rss

    199 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2019
    Après un premier épisode réussi, un deuxième étant un vrai copié-collé de son prédécesseur mais se regardant bien malgré l‘effet de surprise passé, voici dont le troisième opus de la saga du Justicier, toujours avec Charles Bronson devant la caméra et toujours Michael Winner derrière la caméra. Sauf que cette fois ci, il y a un petit changement. On passe de la série B nerveuse au nanar ! Oui, il faut dire les choses comme elles sont, ce « Death Wish III » est un gros nanar qui tâche. Mais quand on y regarde de plus près, il n’y a rien d’étonnant étant donné que cette « oeuvre » est estampillée Cannon. J’ai lu pas mal de critiques dont les auteurs se montraient tout simplement indignés par le côté réactionnaire des deux premiers opus. Et bien j’ai envie de répondre une seule chose à ces personnes. N’approchez jamais, de près ou de loin ce troisième épisode, vous risqueriez de ne pas vous en remettre. Il est vrai que pris au premier degré, on reste sans voix face à cette avalanche de stupidité. En revanche, pris au second degré, c’est limite jouissif, je dis bien limite jouissif, car il y avait une erreur à ne pas faire et Winner l’a faite: tomber dans la surenchère sans penser à injecter ne serait-ce qu‘un petit brin d‘humour. Avant le carnage final, ça tenait plutôt bien la route, on avait trois ou quatre meurtres suivi de trois ou quatre coups de pétards dans une atmosphère et un décor bien cradingue. Puis d’un coup, ça part en vrille, ça flingue de tous les côtés, ça fout le feu et ça explose ! Pour le coup, la réalisation nerveuse de Winner ne fait pas l’affaire et s’avère particulièrement brouillonne. Cependant, il y a un passage d’anthologie: celui dans lequel Charles Bronson tue le chef de gang au lance-roquette, dans un appartement de 10 ou 15m², je vous jure ! C’est le genre de truc que l’on ne croit pas si on ne le voit pas. Je vais être franc: je suis tout de même déçu, je m’attendais à autre chose. Comme quoi, même les nanars peuvent parfois décevoir.
    NeoLain
    NeoLain

    4 980 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2011
    Le justicier troisième volet. Feu !!! Michael Winner se charge encore de la réalisation et cela sera la dernière avec Bronson. Au programme nous avons le justicier contre des skinheads, un Bronson McGyver qui prépare des pièges. C'est toujours violent comme les précédents volets, ça tire, ça agresse et le final est bien mouvementé dans un quartier ou Bronson fout carrément une guerre à la Rambo
    vinke H.
    vinke H.

    6 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 août 2013
    un film qui nous procure un plaisir coupable: on sait que c'est réactionnaire, simpliste voire nauséabond par moment. Mais on adore voir ce bon vieux Charles Bronson flinguer des truands aussi caricaturaux que stupides, le chef de gang étant d'ailleurs particulièrement gratiné. Impossible d'oublier la guérilla finale, ça flingue à tout va,c'est grotesque mais on prend son pied. Pourquoi? Ben peut-être par nostalgie, dans des genres bien différents et de qualités variables, on ne voit plus des films comme Death Wish, Class 1984, Mad Max 1....des films sans concessions, dérangeants, d'une violence primitive typiques des années 80.
    Pour ce Death Wish 3, même s'il campe un personnage simpliste, Bronson a toujours cette présence magnétique, la réalisation est alerte et la bande-son terrible. Une série B voire Z culte!
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2021
    Death Wish 3 ne cherche jamais à rendre crédibles son intrigue ou ses personnages, à la fois manichéens et uniformes, pions posés sur un vaste échiquier qu’il s’agit de dézinguer à coup de Magnum ou de mitraillette. Cette ode à l’autodéfense, bien moins intelligente et provocatrice que la version signée Eli Roth (2018), a néanmoins le mérite de transformer la ville en un parcours de cibles mouvantes, les entrées et sorties de Paul Kersey ayant pour unique but de sauver les braves gens des griffes des méchants. Méchants vraiment très méchants, spécialisés en sévices gratuits et cruels, à ce point violents avec les habitants que nous nous demandons comment ces derniers ont fait pour rester en vie aussi longtemps. La démarche de Michael Winner, brut de décoffrage quoique plutôt efficace lors des séquences de traque, s’apparente à celle d’un jeu vidéo composé de niveaux successifs : l’action est livrée en kit, papy la bricole arrange tout ça avec un marteau et beaucoup d’ingéniosité – il invente d’ailleurs la tapette à souris pour voleurs, à breveter ! Tapette à souris qui récolte deux dents à sa victime, exécution de la petite souris échangeant les chicots perdus contre de l’argent. Voici donc un Mad Max aux couleurs de l’Oncle Sam, un appel à l’armement individuel idiot qui a l’heureuse idée de ne pas se prendre au sérieux : il ne cesse de se scruter dans le miroir de la fiction réduite au divertissement pur, vidée de sa substance humaine en ce que les femmes ne servent qu’à attiser le désir de vengeance des hommes, en ce que les crimes et les larcins se succèdent dans une vaste mascarade. Au milieu de tout cela, pourtant, une facilité à éliminer la vermine et à purger un quartier de ses maux qui suscite moins le débat qu’elle ne joue avec le feu, au risque de causer des incendies.
    mx13
    mx13

    245 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2019
    Une enquête policière sympathique, un troisième volet Death wish réussi, la saga ne s’essouffle pas. Suspense et adrénaline au programme. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    24 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Le meilleur cartoon que j'ai jamais vu. Du fun non-stop. Bronson continue à faire une sévère concurrence à Mr Propre. Bronson Président !!!!!!!
    dahbou
    dahbou

    206 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2010
    Hormis le premier, La serie des justiciers est composé de nanar. Mais voila, le 3ème volet l'œuvre est aussi débile que jouissif. Profondément react le film raconte le retour de Bronson dans la ville de New York ou rapidement il va s'allier à une bande de vieux pour démonter de la racaille à tout va. Ne cherchons pas de scénario ou de psychologie, il n'y a que papy Bronson avec ses gros flingues et notre buriné moustachu préféré n'a besoin de rien d'autre. Si le début n'est pas palpitant, Bronson va vite enfiler les cadavres jusqu'au final complétement dingue et irresponsable ou avec des potes retraité il va exploser des hordes de jeunes sauvageons venus mettre le bordel. L'imbécilité est telle que même Luc Besson n'y a jamais penser faut dire que dans le genre on ne fera jamais aussi fort que Death Wish 3, c'est sans doute la Bronson touch.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 753 abonnés 12 431 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2018
    Ce troisième volet, toujours rèalisè par Michael Winner, ne faillit pas à la tradition bien ètablie du genre! De l'action avant tout: bagarres, courses-poursuites, crèpitements d'armes à feu, meurtres barbares! Charles Bronson, malgrè ses soixante-cinq balais, fait avancer à très grand rythme son personnage de granit dans l'enfer urbain d'un New York entièrement reconstituè à Londres! Les moyens mis à la disposition de Paul Kersey tiennent en effet plus de la troisième guerre mondiale dans ce troisième opus! il faut le voir brandir une sulfateuse et abattre les punks par dizaine! A voir donc au second degrè ou Bronson pousse le volume au maximum...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 235 abonnés 7 516 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2021
    Paul Kersey avait dû quitter précipitamment New York à la fin du premier opus pour trouver refuge à Los Angeles (dans le second volet). Cette fois-ci, il est de retour et va rapidement constater que c’est toujours autant la zone, voir pire dans certains quartiers, comme c’est le cas à Belmont où il assiste à l’assassinat de l’un de ses frères d’armes (ils ont fait la guerre de Coréen). Le chef de la police va le pousser officieusement à reprendre du service (passer au Kärcher la cité en échange de sa libération) car il a bien conscience qu’un type comme lui est bien plus efficace que la police et la justice réunies.

    On retrouve une fois de plus Charles Bronson aux côtés d’Ed Lauter & Martin Balsam au cœur d’un polar qui détonne complètement des précédents opus, comme s’il avait été réalisé par un tout autre réalisateur (alors que Michael Winner a justement réalisé les trois premiers opus de la saga).

    Si vous pensiez avoir tout vu avec les précédents opus, détrompez-vous, Michael Winner ne cesse de nous surprendre. Alors certes, le film est moins « violent » dans le sens où on échappe aux scènes de viols qui étaient légion dans les précédents opus (excepté un viol qui sera seulement suggéré, bien loin des précédentes atrocités). Ici, c’est l’apologie de la violence, comme si le Chuck Norris d’Invasion U.S.A. (1986) avait pris la relève de Charles Bronson. D’ailleurs, c’est à se demander si le film n’aurait pas été financé par la NRA (le lobby des armes aux États-Unis) tant ces dernières sont sur-représentées (entre le Wildey 475 Magnum, la mitrailleuse Browning ou encore le lance-roquette).

    On sent rapidement que le film n’est pas là pour enfiler des perles et que ça va défourailler sévère. Si le pitch de départ est improbable, on finit rapidement par y faire abstraction tant le degré de violence est un cran au-dessus. Tout ce joyeux bordel devient rapidement jubilatoire, voir Charles Bronson (la soixantaine tout de même) faire des sprints pour tenter de rattraper des loubards (il n’y arrive jamais) ou dégainer la sulfateuse, c’est tout bonnement jouissif, et ce, malgré un certain côté nanar qui colle au film (les différents pièges imaginés par le héros pour nuire aux assaillants, le trop plein de séquences surréalistes, les mannequins en mousse qui tombent des toits d’immeubles et des loubards grimés en punk qui frisent le ridicule, mention spéciale à Gavan O'Herlihy complètement hideux en badguy avec sa coiffure chelou).

    Le Justicier de New York (1985) est racoleur et prône la violence, mais il s’avère être aussi un vrai moment d’entertainment généreux (notamment lors de la dernière partie, quand c’est tout le quartier qui part en vrille, se transformant en guérilla urbaine). D’ailleurs, il faut souligner l’excellent travail au niveau des décors pour représenter le quartier Belmont (tourné en réalité à Brixton et au Lambeth hospital, un gigantesque complexe hospitalier désaffecté à Londres).

    Une suite badass où l’on en a pour notre argent, une suite décomplexée qu’il faut prendre au second degré, pour ce qu’elle est, à savoir une Série B à l’ultra violence où notre héros dézingue à tout va, tire dans le dos arme au poing, avant de se faire acclamer par la foule tel le messie.

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