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GodMonsters
1 297 abonnés
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3,0
Publiée le 11 janvier 2011
Personnellement, je n'ai absolument pas eu peur devant ce long-métrage. Pas le moindre frisson ! Je m'attendais à nettement mieux, surtout que certains n'hésitent pas à le décrire comme un film effrayant et efficace. D'habitude j'adore le cinéma d'épouvante à "l'ancienne", mais là j'ai trouvé ce "Amityville" insipide et soporifique. Par contre, j'adhère à la musique qui s'accorde bien avec les images et à quelques séquences bien réalisés qui font leurs petits effets. Bref, "Amityville, la maison du diable" ne mérite peut-être pas son statut de film culte mais c'est à voir pour vous faire une idée...
Bluffant, ténébreux, flippant, terrifiant, le film de Stuart Rosenberg qui date de 1979 n'a pas pris une seule ride. Mélange de fantastique et de thriller psychologique et parapsychologique, il n'est pas étonnant que ce film mérite une telle renommée dans le genre de l'épouvante. Scénario très travaillé, très profond, très riche en évènements magnifié par une réalisation réussie grâce à des plans superbement travaillés mêlés à des effets spéciaux géniaux, ce long-métrage pénètre à l'intérieur du spectateur car il met en scène une famille typique des années 1970, une femme avec ses trois enfants et un homme avec qui elle vient de se marier. Il faut bien signaler que le personnage interprété par James Brolin est le beau-père de ces gosses car il représente un détail capital dans la compréhension et la logique de cette histoire éprouvante et épouvantable. Margot Kidder, révélée par Brian De Palma dans "Soeurs de sang" interprête avec brio cette mère de famille tendre avec ses enfants et amoureuse de son homme jusqu'à ce que des phénomènes anormaux se produisent. Le fait d'habiter dans une maison où un massacre a été perpétré un an plus tôt génère une perturbation au niveau de la psychologie surtout lorsque l'histoire avance au fur et à mesure. Après la vision de ce film, on peut se poser des tas de questions. Ces phénomènes sont-ils le reflet de l'imagination perturbée ou existent-ils vraiment? L'assassin est-il bien celui que l'on croit? Cette mare de sang est-elle le fruit de ses actes? On pense beaucoup à "Shock" de Mario Bava réalisé en 1977 et à "Shining" réalisé par Kubrick en 1980. Toujours est-il que ce film vous met tout de suite dans l'ambiance dès les premières minutes et que dès que vous y entrez, vous désirez absolument connaître le dénouement de cette histoire. Pas de doute, l'angoisse est au rendez-vous du début à la fin. Au final, le réalisateur signe un long-métrage réussi sur tout. Les acteurs sont parfaits, la musique est terrifiante, le scénario très poussé, bref voici un des chefs-d'oeuvre de l'épouvante.
C'est dans la nuit du 13 novembre 1974 dans la petite ville d'Amityville près de New York que Ronald DeFeo Jr assassine toute sa famille (soit six personnages au total), prétextant lors du procès que des voix lui auraient dit "attrape-les, tue-les". Les Lutz, la famille qui emménage après partira au bout de 28 jours, effrayé, selon eux, par divers évènements surnaturels...
C'est à partir de cette histoire vraie que Stuart Rosenberg signe "Amityville : La maison du diable". Il braque sa caméra sur la famille Lutz et, sous forme de carnet de bord, nous raconte leurs 28 jours dans cette maison.
Dans l'ensemble, je dois reconnaitre que je m'attendais à mieux. Loin d'être honteux mais passé un montage d'introduction ingénieux où l'on découvre l'arrivée des Lutz en même temps que les précédents meurtres, "Amityville" connaît quelques coups de mou. 117 minutes pour un film qui raconte si peu, c'est bien trop. De plus, Rosenberg aborde plusieurs points (la ressemblance du père de famille avec l'ancien meurtrier, les mouches, les yeux derrière la fenêtre...) mais de manière totalement inachevée voire même incompréhensible par moments.
L'atmosphère troublante, pesante et d'angoisse met du temps à se mettre en place mais une fois bien installé, elle provoque ses petits effets. Rosenberg instaure une tension qui se fera de plus en plus présente. Les acteurs sont très bons et arrivent à donner vie à leur personnage, notamment le couple James Brolin/Margot Kidder.
Dans l'ensemble déçu. Le film me semble trop long et inachevé malgré quelques effets d'angoisses et de tensions qui marchent bien ainsi qu'une atmosphère, notamment dans la deuxième partie du film, qui arrive à se faire pesante et presque mystique.
Si je devais résumer ce film en un mot ce serait celui-ci : excellent ! On parle beaucoup trop de son remake mais celui-ci est de loin le meilleur, ce film apporte de l’horreur pur, est très bien mis en scène pour l’époque, et plusieurs scènes sont à glacer le sang : vous vous devez de le voir !
Un "classique" du film d'épouvante qui s'inscrit dans la lignée des Exorciste et Shining. Margot Kidder est sublime et la réalisation est impeccable.Alors oui les "effets spéciaux" ont vieilli mais ce film reste la référence dans le genre
Un film glauque, noir, la maison est flippante même de l'extérieur, elle est hantée, y a pas de fantômes ni d'images de synthèses et c'est ce qui fait qu'on y croit, c'est immersif, ce film m'a marqué quand j'étais enfant et cette musique flippante, James Brolin joue à merveille ainsi que le prêtre et Margot Kidder.... Ce prêtre représentant le bien contre le mal mais complètement abattu face à cet maison rend une atmosphère de désespoir et de peur durant le film... spoiler: La scène finale du père qui rentre dans la chambre des enfants avec une hache à la main est bluffante d'effroi. . Bravo au réalisateur !
La maison aux fenêtres quart-de-lune (et non en demi comme j'ai pu le lire) semble déjà nous épier dès le début du film, drôle de sensation... D'après une histoire vraie (enfin vraie d'après les dires hein ! on se comprend !) Amityville vend une maison suite au massacre d'une famille. La nouvelle famille s'installe mais des choses étranges se passent... Très classique le film tient grâce aux interprétations des acteurs car de fait les effets spéciaux sont minimes. James Brolin est impressionnant en homme qui perd pied, je pense même qu'un certain Christian Bale y a trouver son inspiration pour "The machinist"... Parenthése mise à part la petite fille est aussi impressionnante. La mise en scène de Rosenberg ("Luke la main froide" tout de même !) utilise bien les gros plans fixes et sait faire monter la pression. La scène des mouches et la musique auraient pu être mieux travaillé, avoir un impact plus flagrant. Ca reste un grand film, culte s'il en est il n'est néanmoins pas un chef d'oeuvre. A voir.
J ai découvert cette première version d Amityville, après le remake avec Ryan Reynolds et je trouve que pour une fois l original souffre de la comparaison avec son remake. En effet cette histoire de maison hantée est bonne mais souffre d une mise en scène plutôt plate comme ses longs plans fixes sur la maison considérée on l'a compris comme un personnage maléfique mais qui ne crée pas le frisson. La peur n est d ailleurs pas mise en scène et le film ne parvient que trop rarement à créer la tension mise à part par le biais de la musique très réussie. Le personnage du père est en revanche mieux écrit que dans le remake et James Brolin joue parfaitement l emprise morale mais aussi physique que la maison tient sur lui. S il a beaucoup marqué l'histoire du film de maison hantée il reste un film plutôt moyen.
Superbe film d'horreur des années 1970, un classique qui aura beaucoup influencé le cinéma du genre (le film est d'ailleurs le premier d'une assez longue saga inspirée de l'affaire d'Amityville)... On y retrouve James Brolin, simplement exceptionnel dans ce rôle culte. La bande-originale du film est terriblement réussie, ainsi que la mise en scène on est dedans du début a la fin (même encore plus a la fin qu'au début..), l'histoire est saisissante, et superbement exploitée. Une réussite.
Un classique du film d'horreur ayant marqué son époque. Aujourd'hui , même vieillit, il vaut bien mieux que ces ignobles remakes ou suites déplorables.
Ah si ces murs pouvaient parler...leurs hurlements réveilleraient les morts.Adaptée du célèbre best-seller,cette effrayante maison ou des meurtres atroces, des incidents surnaturels sont au rendez vous ,un thriller très angoissant qui frappe en plein coeur.
Après L'exorciste et La malédiction, le diable fait encore parler de lui dans les années 70 avec cette adaptation du livre de Jay Anson, "La maison du diable". Basée sur une histoire censément vraie, celle d'une famille aux prises avec une maison possédée, la réalisation quelque peu désuète de Stuart Rosenberg fait néanmoins son effet : séquences-choc et apparitions surprises provoquent des sursauts inattendus (la scène où Kathy voit cette « chose » à travers la fenêtre me fera toujours autant sursauter). Mais le film est surtout porté par une interprétation haut de gamme, de la magnifique Margot Kidder à un James Brolin littéralement habité, sombrant peu à peu dans la folie avec son teint pâle et ses yeux rougis. Ainsi, en prenant le pari risqué de faire revenir la maison hantée au cinéma, Stuart Rosenberg accomplit ici un exploit, même si la fameuse maison n'est pas totalement exploitée... Dans tous les cas, preuve qu'Amityville est encore aujourd'hui une référence dans le genre pour un film certes vieilli mais dont l'impact est toujours aussi réussi.
Pour un vieux film sa se laisse regarder. C'est le premier de la saga et je n'ai encore pas vu les autres, mais l'histoire est prenante. Se que j'ai trouvé bizard c'est qu'a la fin la famille quitte la maison avant que le père ne menace de les massacrer. Dans le remake c'est comme sa en tout cas; ils sont obligés de l'éloigner de la maison pour qu'il retrouve ses esprits. En tout cas pour une histoire vrai sa fait réfléchir. Avis aux amateurs d'occultisme. 3/5
AMITYVILLE premier du nom respecte assez bien ses promesses de film de maison hantée même si, franchement, il est vraiment très classique. En même temps, peut-on vraiment le lui reprocher. On peut noter tout de même la superbe musique de Lalo Schifrin. Et bien sûr le fait que le film ait démarré le phénomène Amityville qui comptera 11 (?) films (à nuancer en fonction des critères). Le sous-texte du film était un peu facile : la légitimisation des violences de l'homme du couple par le surnaturel... Moué