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    Quelque part dans le temps
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    4,0
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    65 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2009
    à voir et à revoir, je m'en lasse pas, rien que pour la musique qui restera gravée à jamais dans ma mèmoire, ha si on pouvait remonter le temps rien que par auto-suggestion et retourner dans le passé pour revivre les bons moments ! mais bon ne révons pas trop
    Régis L.
    Régis L.

    9 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2015
    Un chef d'oeuvre. Christopher Reeves renoue avec le fantastique après Superman. Il interprète un auteur de théâtre qui voyage dans le temps par la pensée et l'esprit pour vivre une histoire d'amour dans le passé. Jane Seymour tient le rôle d'Elise McKenna , une dramaturge perturbée par cette rencontre intemporelle.
    ER  9395
    ER 9395

    87 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2013
    Un des plus beau film romantique qui soit , immanquable .
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 437 abonnés 4 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2017
    J’avais entendu pas mal de bien au sujet de ce film, souvent considéré comme le meilleur de l’inégal Jeannot Szwarc. Je suis d’accord, c’est un film très agréable, qui sans doute n’exploite pas pleinement le potentiel de son sujet, mais ne manque pas pour autant d’intérêt, surtout si vous aimez le cinéma romantique.
    Le film s’appuie d’abord sur l’excellente idée de Matheson, à savoir créer un voyage dans le temps par l’esprit. Le héros se retrouve ainsi amoureux d’une femme qu’il a vu sur une photographie, dans le présent, et qu’il rejoint par l’autosuggestion dans le passé. Malgré quelques longueurs, car finalement le film à un sujet simple, le métrage ne manque pas de force. Souvent drôle, riche en belles émotions, c’est aussi un film grave, à la tonalité mélancolique parfois qui saura ravir ceux qui cherchent au cinéma un peu de poésie, de douceur et de sentiments. Dans ce métrage on peut rire, pleurer, s’émouvoir de quelque manière que ce soit, et c’est réussi, même si dans un mélange approchant, il ne détrône pas l’inégalable Ghost. La faute sans doute à une narration un peu laborieuse.
    Le casting est bon. Le film repose sur un charmant duo Reeve-Seymour. La complicité entre les deux acteurs est manifeste, et tous deux jouent fort bien. Certes, leurs rôles restent ceux de jeunes romantiques, mais ils savent justement insuffler à ce qui aurait pu être des coquilles vides, sans grand relief, une vibration, une force, qui tire le métrage vers le haut. Autour d’eux, quelques bons interprètes, notamment Christopher Plummer qui ne déçoit pas dans un rôle sévère, celui de l’antagoniste pour faire simple. A noter encore la présence anecdotique mais à signaler de William H. Macy. Pour ma part, la bonne surprise est tout de même venue de Christopher Reeve que je craignais un peu trop bellâtre peu expressif ici, engoncé dans un rôle qui n’exploiterait que son physique. Finalement l’acteur va plus loin, et tant mieux.
    Sur la forme, je soulignerai un vrai travail d’ambiance. Si le choix de la photographie vaporeuse pourra paraître cliché dans un film de ce genre, cela apporte au contraire une belle allure aux images. J’ai souvent pensé à des toiles de Boudin ou de certains impressionnistes en regardant le film, sachant que les paysages et la reconstitution d’époque font aussi penser à ces toiles. Ça reste classique, mais vraiment du beau classicisme, élégant, raffiné, avec une mise en scène bien inspiré comme le prouve la réalisation de certaines séquences clés (lorsque Reeve trouve le sou). La bande son de Barry est elle aussi classique, mais vraiment très belle. Un des grands thèmes romantiques du cinéma.
    En somme, Quelque part dans le temps est un film très solide qui mérite sa bonne réputation. Un peu lisse peut-être, trop du moins pour être un chef-d’œuvre véritable, il n’en reste pas moins que le résultat est tout à fait plaisant, et qu’il s’agit d’un incontournable, dès lors que vous aimez les beaux sentiments à l’écran. 4
    Yetcha
    Yetcha

    893 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2009
    Un bien beau film mêlant SF et romance, trop mal connu qui se voit et se revoit avec délice. Son seul défaut est qu'il est bien difficile à trouver!
    Caine78
    Caine78

    6 788 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film bouleversant. Du roman de Richard Matheson, Jeannot Swarc a tiré un film superbe, qui nous remplit d'émotions a de nombreux moments. Le scénario est vraiment très beau, mélangeant vraiment de très belle manière le fantastique et un amour passionnel hors du temps. Les acteurs sont étonnants, notamment Christopher Reeve, vraiment touchant. Dommage que la mise en scène ne nous transcende pas plus. Mgnifique, tout commme la musique de John Barry, qui nous enchante pendant 1h50. Inoubliable!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 juillet 2015
    Bouleversant. Une perle oubliée, une magnifique histoire d'amour impossible à travers le temps. Richard Collier est un écrivain à succès dans les années 70. Un soir alors qu'il fête la première d'une de ses pièces une vieille femme vient le voir et lui offre une montre à gousset en prononçant ces énigmatiques paroles: "reviens-moi, je t'en prie". 8 ans plus tard, cherchant l'inspiration pour une nouvelle pièce, il se rend au "Grand Hôtel" et tombe sur le portrait d'une femme, il en tombe amoureux. Se renseignant il découvre qu'il s'agit d'Elise McKenna, une célèbre actrice au début des années 1900 - et qui se trouve aussi être la vieille femme qui lui avait donné la montre 8 ans plus tôt et qui est morte ce soir là. Il entreprend alors un voyage dans le temps via l'auto-suggestion pour la retrouver ... L'histoire - adaptée du célèbre roman de Richard Matheson - est très originale et magnifiquement bien amenée. L'amour y est ici décrit dans ce qu'il a de plus beau: la fragilité, la pudeur, le romantisme, le mystère, la profondeur. Les sentiments humains à l'état pur, dénudés et sans artifices. Les dialogues sont magnifiques à l'image de ce que dit Elise pendant la pièce et les scènes poignantes se succèdent les unes après les autres spoiler: la rencontre, la pièce, le portrait, la fin ... Il y a un plan terrible à la fin où Christopher Reeve est assis au bord du lac avec les poubelles et les détritus à côté de lui et les bateaux à moteur qui passent
    ; c'est aussi une histoire d'époque, les choses qui ne sont pas immuables et l'amour non plus. Le casting est parfait, Jane Seymour et sublime et Christopher Reeve très touchant. A eux deux ils forment un couple immaculé. Et n'oublions pas Christopher Plummer qui est loin de démériter. Enfin parlons de la musique de ce film qui est un véritable bijoux, composée par John Barry et inspirée par la sublime rhapsodie de Rachmaninov, cette musique met la touche finale a l'émotion inégalable que dégage ce film. Vraiment, les mots ne peuvent pas décrire une telle perle que tout cinéphile se doit d'avoir vu.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    161 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2015
    Une belle romance poétique un peu surannée, aux allures de téléfilm, avec la belle Jane Seymour et Christopher Reeve, dont j'avais oublié le physique impressionnant et le talent d'acteur.
    Une romance calme et fantastique adaptée du roman de Richard Matheson et magnifiquement servie par la musique de John Barry. Ce petit film de 1980 a son charme et fonctionne très bien.
    alf38000
    alf38000

    16 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2020
    En 1980, le discret et besogneux Jeannot Szwarc (encore porté par le succès des "dents de la mer 2") met la touche finale a sa dernière réalisation tirée du roman "le jeune homme, la mort, et le temps" du génial Richard Matheson à qui l'on doit, entre autres "l'homme qui rétrécit", "je suis une légende" ou encore "au-delà de nos rêves".
    Contrairement aux écrits de H.G. Wells ou de Barjavel, le principe du voyage temporel,(qui prend pour base ici, le paradoxe de l'écrivain, via cette fameuse montre qui existe sans jamais avoir été créée) ne nécessite pas ici le recours à une quelconque complexe machine, mais simplement en une volonté inébranlable de croire. L'amour entre les 2 protagonistes (Jane Seymour et Christopher Reeve sont magnifiquement attendrissants dans leurs rôles respectifs) faisant le reste.
    Malgré un prix de la critique mérité au festival d'Avoriaz 1981, ainsi qu'un soin extrême porté à la réalisation, tant au niveau de la B.O qu'au choix de la pellicule (la saturation des couleurs est différente en fonction des époques) le long métrage de J. Szwarc ne connaîtra rien d´autre qu'un maigre succès d'estime lors de sa sortie et ne laissera derrière lui qu'un vague souvenir "quelque part dans le temps".
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    701 abonnés 3 050 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2020
    Le genre mélodramatique entretient avec le temps une relation complexe et essentielle : il le met en suspens, l’accélère, troue son immédiateté de réminiscences ou de perspectives futures. Et Somewhere in Time l’a si bien compris que sa mise en scène fait temps à elle seule, elle recompose une durée hors de la linéarité en usage dans nos conceptions contemporaines et s’axe sur deux cœurs destinés à s’aimer et à se manquer. Jeannot Szwarc joue avec les époques, perce son image de fenêtres ouvertes sur un ailleurs que nous emprunterons au fur et à mesure de la romance : il pense sa réalisation comme une chambre d’échos infinis où le portrait encadré au fond du musée occasionne coup de foudre et actions, où la montre implique la possession matérielle de l’être aimé mais guère physique, où les plans se superposent de sorte à augmenter la réalité, où la géométrie du mobilier et de l’espace participe à la caractérisation émotionnelle des personnages en présence. Richard Collier ne cesse d’être retenu prisonnier dans le cadre : par des troncs d’arbres, par des montants de porte, par la composition de flous ou le recours à la demi-bonnette. La technique cinématographique, ici maîtrisée à la perfection, construit de la poésie, ventile la reconstitution historique, décloisonne les temporalités pour ne cristalliser que la lente mais certaine naissance d’une passion amoureuse. Jane Seymour impose sa beauté sublime et fugace à la fois, une beauté dont la fragilité est mise en évidence à chaque nouvelle séquence : des symboles visibles – la bougie près du lit en est un – rappellent au spectateur et à Richard l’impossibilité de cet amour à s’enraciner dans le concret, que, condamné à manquer l’autre dans son présent, il élit domicile dans le temps, quelque part, pour toujours. La partition musicale signée John Barry enveloppe l’ensemble de textures pleines de nostalgie et d’élégance, apporte une poésie supplémentaire qui suffit à faire de Somewhere in Time un petit chef d’œuvre qui tire sa grandeur et sa force de sa profonde modestie.
    Clarisse N
    Clarisse N

    14 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2011
    vu étant jeune j'avais totalement craqué pour ce film, revu récemment il a quand même pris un coup de vieux, mais j'aime toujours autant cette histoire d'amour originale et l'interprétation de Chrsitopher Reeve.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    764 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2018
    Grâce à une magnifique musique signée John Barry, à un superbe casting composé notamment de Christopher Reeve et de la jolie Jane Seymour, mais aussi à une très élégante photographie et à une mise en scène particulièrement soignée de la part de Jeannot Szwarc, "Quelque part dans le temps" se trouve être l'un des films les plus romantiques que j'ai pu visionner jusqu'à présent. Certes, la façon dont le personnage principal arrive à voyager dans le temps peut porter à sourire au départ, mais cette oeuvre possède tellement d'émotions que l'on ne peut prendre que du plaisir à la visionner.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 mai 2014
    Démodé. Voilà ce que je retiendrai de ce film certainement considéré déjà comme très moyen à l'époque de sa sortie. C'est plutôt kitsch et vaporeux, et ça fait vraiment vraiment daté. Reste la beauté lumineuse de Jane Seymour, à croquer...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 novembre 2010
    L'histoire d'amour est mignonne, mais les personnages auraient gagné à être encore plus épaissis. Reste une base SF excellente, nourrie aux NDE et à la physique quantique, avec une jolie boucle temporelle. Le tout empaqueté avec beaucoup de subtilité. Et bien sûr une BO magnifique.
    overlook2
    overlook2

    25 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2016
    On peut être sensible au charme désuet de cette histoire amidonnée à condition de passer outre la laideur de l’image (kitsh télévisuel tendance « Dallas »), la raideur de la mise en scène et surtout un scénario poussiéreux à souhait (évanescence pour ne pas dire inconsistance abyssale des personnages, coup de foudre sur fond de violons dégoulinants, récit poussif). Ca n’a pas été mon cas.
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