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Un navet, peu réaliste, un scénario qui semble fait par un ado pour des ados, on avance avec de gros sabots s’il existe une expression « acteurs qui sur- jouent » il y a des réalisateurs qui « sur- réalisent » et ça prétend s’inspirer de Melville …
A part ça de grands acteurs, le problème c’est juste la direction d’acteurs qui en voulant « casser la baraque » finit par faire n’importe quoi pourvu que ça mousse.
A part ça de grands acteurs, le problème c’est juste la direction d’acteurs qui en voulant « casser la baraque » finit par faire n’importe quoi pourvu que ça mousse.
Olivier Marchal livre un polar sombre et intense, avec de nombreuses scènes de huit clos, quasi documentaire, où les flics troubles et les truands tourmentés se ressemblent étrangement. Les interprétations de Richard Anconina en gangster coriace et celle d’Anne Parillaud sur un mode paumée jusqu’au boutiste sont convaincantes, Gérald Laroche confirme ses qualités d’acteur dans son interprétation inquiétante et François Levantal droit dans ses bottes est tout à fait éloquent. La tension monte tout le long et le final arrive comme une grande claque.
Excellent polar , le duo Anconina Parillaud fonctionne à merveille , le suspense nous tiens en haleine jusqu'à la dernière minute . Du grand Olivier Marchal qui renouvelle le policier français. Bravo
Apres avoir vu 12 homme en colere j'ai decider de voir un autre huis clos gangsters (2001) d'olivier marchal et clairement 12 homme en colere lui est superieur. ici malheureusement on a droit a trop de flash back qui casse l'ambiance du film apres on a quand meme de bon moment comme
spoiler:
le moment ou il comprend quand le "flic' emmene nina en promenade
J'ai bien aimer une scene spoiler: celle ou le flic touche les seins de nina devant son homme qui etant menotte ne peut rien faire
ou encore spoiler: la scene de fusillade dehors a la fin du film
la fin je pense aurait du etre differente spoiler: genre 2 petite scene de 2 3 minute chacune ou on voit nos heros puis l'ecran se coupe en 2 on voit nos heros penser l'un a l'autre mais ne pas pouvoir se voir ca aurait pu etre bien c'etait d'ailleurs la fin de white zombie
J'ai bien aimer une scene spoiler: celle ou le flic touche les seins de nina devant son homme qui etant menotte ne peut rien faire
ou encore spoiler: la scene de fusillade dehors a la fin du film
la fin je pense aurait du etre differente spoiler: genre 2 petite scene de 2 3 minute chacune ou on voit nos heros puis l'ecran se coupe en 2 on voit nos heros penser l'un a l'autre mais ne pas pouvoir se voir ca aurait pu etre bien c'etait d'ailleurs la fin de white zombie
Pour résumer ce film, je dirai qu'il a un scénario très proche de « Flic ou Voyou » de Georges Lautner (1979) avec un Bébel policier chargé de trouver les ripoux dans la police niçoise en se faisant passer pour un voyou, mais sans l'humour et les dialogues du maître Michel Audiard tout en incorporant la touche ultra-réaliste du réalisateur et scénariste Olivier Marchal. Cela fait souvent penser à « L.627 » de Bertrand Tavernier (1992). Coup de chapeau aux acteurs, tous excellents. J'ai passé un très bon moment en regardant « Gangsters » ... même si j'ai préféré personnellement « 36 Quai des Orfèvres » du même réalisateur car le scénario de ce dernier est plus étoffé.
Il a vécu et vu ce réalisateur autrefois flic à l’ancienne, une ambiance de mise en scène musicale attractive et son intrigue armée, des ripoux tabassants mauvais garçon et prostitué dans la classe du 18ème arrondissement. Ça fait stéréotypé comme personnage de représentant des forces de l’ordre, alcool, tabac, un peu de drogue et pour rendre encore plus humain, des parties de jambes en l’air de ses collègues avec les filles de joies. C’est une ode virile de l’image de la police nationale selon le cinéaste resté flic dans l’âme, le côté impulsif bastonnade de sa fonction face au situation délicate. Le sort réservé aux membres policiers est seul intérêt d’un film non nécessaire, laisser le grand cinéma américain parlé de polar.
Si Olivier Marchal parvient à donner de la force virile à son film, s'appuyant sur son vécu, il échoue toutefois dans la construction scénaristique. Confusion et montée en tension mal maîtrisée, tels sont les deux faiblesses de cet énième polar mettant à l'index les dérives de la police française. Dans la litanie des déceptions, on pourra également relever une bande originale plus que cheap ainsi qu'une qualité d'image plus proche des années 70 que des années 2000. Au final, l'atout majeur de "Gangsters" est probablement le niveau relevé des dialogues, digne des meilleurs films du genre.
Le début d'une longue série de chefs d'œuvre du genre. Souvent copié jamais égalé. Personnages écorchés vifs aussi paradoxaux que humains. Âmes sensibles s'abstenir!
Shephard69
Très bon polar à la sauce française réalisé avec brio par Olivier Marchal. Très sombre, intense, sans concessions, très réaliste. Un jeu d'acteurs très convaincant même dans les seconds rôles.
vraiment un bon film français ; une excellente surprise
Un bon petit film policier. Les acteurs sont bons et charismatiques, l'histoire est originale (tirée d'une histoire vraie), on ne s'ennuie pas. Après, il manquait quelque chose : émotion, intensité, coup de théâtre. La réalisation est propre mais elle n'est pas assez ambitieuse à mon sens. Mais c'est quand même un film que je recommande.
NeoLain
Plus vous creusez ma tête, plus je vais retournez tout contre vous... Gangsters est un polar ou la tension monte petit à petit et ne lâche rien. Le personnage de Richard Anconina ne manquant pas d'estomac et machiavéliquement zen puis l'acteur François Levantal toujours incroyable avec une gueule rare au ciné.
Un polar très faible,très télévisuel qui se fait un plaisir de démonter tous les clichés du type Navarro,pour aller vers d'autres,ceux des commissariats sombres et poisseux,de la dissolution entre flics et voyous et de l'argotisation des dialogues. Olivier Marchal ne témoignait pas d'un réel talent pour la mise en scène,ni pour un scénario étrangement inabouti. Cette histoire de suspects qui cachent quelque chose,que l'on découvre par le biais de flash-backs n'a rien d'attirante. "Gangsters"(2001) vaut seulement pour la prestation proche de Nikita,d'Anne Parillaud.
Huis clos nerveux qui ne perd pas son temps en poncifs sur la police ou les gangsters, droit... à l'attente entre les murs. Marchal nous appâte comme Anconina appâte le ripou avec les diam's dans ce jeu subtil. Super casting, dialogues au quart de poil, un très bon film!
pierrre s.
Pour un premier film, Gangsters est une vraie réussite. Des dialogues percutants et de très bons acteurs sauvent un scénario parfois léger. Peut-être le meilleur film de Marchal.
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