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    Un shérif à New York
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    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Première collaboration de notre homme Clint avec Don Siegel : un polar nerveux, superbement monté, filmé dans le New York de la fin des années 60. On suit le shérif de l'Arizona mener sa traque en macho, entre assistante sociale engagée et ambiances psychédéliques. Moins radical que "Dirty Harry", "Coogan's Bluff" est un film plus attachant qui n'a rien perdu de sa modernité.
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Don Siegel débute sa collaboration avec Clint Eastwood par "Coogan's bluff", un film mêlant le style Western et le polar. En effet, le flic Coogan interprèté par Clint Eastwood a un charisme fou, toujours avec son chapeau de cow-boy même en plein New York et fumant des cigarettes longues, sa présence illumine le film. Son attitude machiste et sa drague permanente de toutes les filles à sa portée m'ont bien fait rire. Tout est très esthétique, New York est subtilement filmé par la caméra du réalisateur Don Siegel. Quelques très belles scènes ont retenu mon attention notamment la scène de sa traversée de la foule dans une boîte de nuit, la bagarre dans une salle de billard et enfin la scène de courses poursuite de fin. Bien que "Un shérif à New York" soit considéré comme un film mineur dans la filmographie de Clint Eastwood, je le trouve tout de même très agréable à visionner et il m'a beaucoup plu. De plus, la BO de Lalo Schiffrin est vraiment très sympathique. Un bon divertissement
    mistermyster
    mistermyster

    59 abonnés 1 279 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2021
    Premier film "contemporain" pour Clint, après la trilogie de Sergio Leone et le film de guerre, Quand les aigles attaquent, le voilà, en tête d'affiche pour un film policier ancré dans son époque. Epoque des Hippies, du LSD, et autres drogues, ou les jupes sont courtes et où le sexe se libère, on peut voir tout cela dans cette Ville de New York, où Clint Eastwood, ne se prête pas au jeu, quitte à montrer un côté réactionnaire, le gars de l'Arizona n'a pas les mêmes principes.
    Ici, on pose les bases, sans le savoir, d'un autre inspecteur, franc tireur, macho, et borderline qui viendra quelques années plus tard sous la direction du même réalisateur, l'inspecteur Harry. Ici, Eastwood joue de son charme et des ses poings, une marque de fabrique qui le suivra dans bien des film.
    L'histoire est assez simple, le film assez court, il est intéressant de le revoir aujourd'hui pour avoir une image de cette époque, cette liberté de ton, et cette décadence qui crève l'écran.
    Xavier D
    Xavier D

    64 abonnés 1 073 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2020
    On retrouve le style et le panache de Don Siegel sur ce film un brin conventionnel qui a un peu vielli et le charisme de Clint Eastwood où l'on sent pointer le personnage de l'inspecteur Harry.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2020
    Un shérif à New York est un film important dans la carrière de Clint Eastwood. En effet, il marque un virage dans celle-ci. Il représente ainsi une transition en douceur entre deux genres qui ont marqué durablement sa carrière d’acteur : le western et le polar urbain. En plongeant un shérif représentatif d’un western moderne dans la ville de New York, cela permet au comédien de s’orienter vers des personnages proche d’Harry Callahan (il porte d’ailleurs un costume proche de celui de ce personnage dans le premier épisode). En outre, cette œuvre marque la rencontre d’Eastwood avec Donald Siegel (qui réalisera 4 autres films avec lui et apparaîtra dans Un frisson dans la nuit, le premier film en tant que cinéaste du comédien) et le compositeur Lalo Schifrin (qui signe une partition proche du western et qui devient plus urbaine au fur et à mesure, illustrant donc l’évolution du récit). Malgré cela, il est surprenant de constater que l’ensemble est un peu mou et possède peu de scènes d’action pendant la première heure de film. Ainsi, si on peut apprécier de retrouver le type d’état d’esprit qui règne dans beaucoup de films mettant Eastwood dans les années 70, on peut également trouver l’ensemble un peu long le faisant appartenir aux films les moins prenants de l’acteur qui n’est pas encore passé à la réalisation. Un shérif à New York est donc un film intéressant mais pas obligatoirement très passionnant.
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    12 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2020
    Vu aujourd’hui, « Un Shérif à New-York » est un petit film sympathique, qui ne manque pas d’humour, de situations intéressantes mais qui est rempli de maladresses et dont le rythme incertain empêche d’emporter tout à fait l’adhésion. Ce jugement à l’emporte-pièce un peu rude oublie de rappeler que, tourné en 1967, il annonce un ultime virage dans la carrière de Don Siegel (qui enchainera quelques perles) et lance la carrière américaine de Clint Eastwood après sa trilogie du dollar.
    Il y interprète un homme de loi aux méthodes westerniennes propulsé dans un univers urbain désœuvré où il peine à d’adapter (ce qui est un thème alors plutôt novateur). A grands traits, c’est un des personnages cinématographiques de Clint Eastwood qui est ébauché ici. Sûr de lui, expéditif, presque asocial, il trimballe sa longue carcasse tout au long de ce film au scénario mal fagoté pour un polar mais parfait pour esquisser un nouvel archétype. Cet archétype sera bien sûr finalisé avec le personnage de Harry Callahan trois ans plus tard mais on trouve déjà ici de nombreuses similitudes. Coogan est certes plus dragueur, moins malin, moins dangereux et efficace aussi, mais il est tout aussi intéressant, et c’est ce qui fait l’intérêt majeur de ce film qui est un film de personnages (avec de savoureuses oppositions).
    Si l’ensemble peut paraître un peu dépassé aujourd’hui et qu’il manque quelques punchlines plus nombreuses, le film marque par sa cohérence, son unité et la qualité de ses personnages. L’intrigue est vraiment secondaire et on s’en désintéresse, au final, aussi vite que le réalisateur. L’affrontement final, s’il manque de violence, reste appréciable et participe au plaisir qu’on peut prendre à ce film qui, s’il a sa propre identité, annonce, à bien des égards, le Clint Eastwood monolithique, mauvais coucheur mais bigrement efficace dans une société moderne rongée par la bureaucratie qu’il interprétera à de nombreuses reprises.
    videoman29
    videoman29

    251 abonnés 1 836 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2018
    Quelques années avant de triompher avec son cultissime « Dirty Harry », le réalisateur Don Siegel tourne « Un shérif à New-York ». On y retrouve un policier provincial aux méthodes pour le moins expéditives qui refuse l'autorité et ne fait confiance à personne... Ça rappelle des choses ! Plongé en plein cœur d'une immense ville dont il ne comprend pas les codes, il est chargé de transférer un dangereux truand qui le déteste royalement... Inutile de préciser que la situation va vite dégénérer et donner lieu à quelques distributions de baffes jubilatoires. Évidemment Clint Eastwood s'imposait pour donner corps à ce shérif, amateur de jolies filles et macho jusqu'au bout des bottes. Ce nouveau personnage est d'ailleurs une transition parfaite entre les rôles de cow-boy qui ont fait sa notoriété et le futur Harry Callahan, encore en gestation. Pour revenir au film, le scénario est hyper classique (donc un peu daté) mais l'action est omniprésente et on s'amuse comme des petits fous... Il est bien dommage que cette œuvre solide et intéressante soit restée aussi confidentielle, elle aurait largement mérité une plus grande exposition. J'adore, malgré le nombre des années qui lui donne quelques charmantes rides !
    this is my movies
    this is my movies

    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2018
    Date importante dans l'histoire du cinéma puisqu'il s'agit de la 1ère collaboration entre D. Siegel, alors vieux routier de la série B, et la star C. Eastwood pour ce polar urbain aux allures de western bien évidemment. On y suit donc le parcours de Coogan, adjoint du shérif en Azizona, dépêché à New York pour récupéré un malfrat. Bien sur, les méthodes et le comportement plutôt rustre du bonhomme donnera lieu à pas mal de scènes savoureuses, son comportement avec la gent féminine est bien sûr sujet à caution mais on a aussi droit à un affrontement savoureux entre un Eastwood à la limite du cabotinage et un L.J. Cobb encore bien fringant. Par contre, sa traque du malfrat manque un peu de mordant, le scénario se perdant parfois dans la nuit new-yorkaise, échouant à traiter son intrigue de manière linéaire (Coogan se déplace beaucoup sans qu'on sache vraiment où ni comment). Toutefois, la mise en scène de D. Siegel est un ravissement pour les yeux, c'est parfois très drôle et rentre-dedans, c'est un polar agréable à suivre malgré quelques menus défauts et on passe un fort bon moment devant ce divertissement plutôt recommandable. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Le Loubar
    Le Loubar

    42 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2018
    Première collaboration entre Don Siegel et Clint Eastwood, "Un shérif à New York" raconte l'histoire de Coogan, un shérif adjoint assez brutal et très vieux jeu qui sera chargé par ses supérieurs de récupérer un prisonnier à New York et de le ramener en Arizona. Le film insiste beaucoup sur la dualité entre urbanisme et campagne, car la ville est ici représentée de manière assez péjorative (drogue, arnaques, vols, ...) et le système de justice n'est pas tout à fait le même. Eastwood, dont le charisme habituel porte le film, campe ici un personnage à mi-chemin entre le cow-boy solitaire des westerns de Sergio Leone et l'inspecteur Harry qu'il tournera avec Siegel quelques années plus tard. Le décalage du personnage avec la ville amène beaucoup de scènes assez drôles car on a vraiment l'impression qu'il s'est échappé d'un western pour poursuivre ce criminel ! Malin, ne servant que ses propres intérêts et surtout très bien entraîné, l'histoire de ce shérif est assez intéressante à suivre et nous offre des scènes d'action plutôt efficaces spoiler: (la bagarre dans le tripot ou encore la poursuite en moto, sorte de rodéo des temps modernes)
    . Un film sympathique qui joue beaucoup sur le second degré, mais qui ne vaudra pas l'excellent "L'inspecteur Harry" qui sortira 3 ans plus tard !
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2017
    Shérif aux méthodes plutôt radicales et brutales, Coogan se voit charger par ses supérieurs de récupérer un prisonnier à New York puis de le ramener en Arizona. Une fois là-bas, il se rendra compte que tout n'est pas aussi simple que cela...

    Trois années avant Dirty Harry, Don Siegel en signe les prémices avec Coogan's Bluff où l'on suit un shérif similaire à l'inspecteur Harry, prêt à faire parler sa brutalité et son franc parlé pour contrer la bureaucratie américaine. Dès la première séquence, Siegel donne le ton avec cette scène pour la gloire de Coogan qui va traquer et attraper un ennemi et tout le long, il le suit sans jamais le lâcher et met en scène un personnage aussi brutal que tête de mule et déterminé, suivant avant tout son propre instinct.

    Rien de bien transcendant, Don Siegel fera d'ailleurs mieux avec Dirty Harry, mais Coogan's Bluff n'en reste pas moins un bon petit polar efficace et bien mené. On se retrouve plongé dans un New York trop moderne pour Coogan et Siegel gère bien l'avancement de l'action et les péripéties qui vont en découler. Il signe une mise en scène bien musclée malgré quelques moments de répit où l'on va voir Coogan à l'oeuvre avec la gent féminine puis ses patrons. Bien rythmé, sans temps mort et avec des scènes d'action plutôt bien foutues, Siegel fait bien le boulot et nous offre même quelques scènes mémorables, notamment lorsqu'il étudie la dualité ville/campagne.

    C'est la première fois (sur cinq au total) que Clint Eastwood tourne pour Siegel et il est de suite à son aise dans ce rôle de shérif viril, parfois drôle et qui n'obéit qu'à ses propres lois. De plus, il est plutôt bien épaulé et notamment par le toujours génial Lee J. Cobb dans un rôle qu'il maîtrise à merveille. Ajouté à cela une bande-originale de qualité et il en faut pas plus pour mon bonheur !

    Quelque temps avant Dirty Harry, on retrouve le même genre de personnages, toujours avec Clint devant la caméra et Siegel derrière. Efficace, bien mené et sans temps mort, ils nous concoctent là un bon petit polar, musclé à souhait sans en oublier quelques petites touches d'humour.
    Serpiko77
    Serpiko77

    61 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2016
    Ce n'est pas la meilleure collaboration Don Siegel - Clint Eastwood qu'il existe mais l'histoire de cet insolent cow-boy qui débarque dans une grande ville nous fait passer tout de même un bon moment malgré un scénario peu original.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 novembre 2015
    Même pour l’époque, à savoir 1968, un long-métrage portant un titre comme Un shérif à New York (Coogan’s Bluff en VO) avait de quoi faire fuir le public, ce dernier s’attendant obligatoirement à une sorte de série B qui peut néanmoins divertir s’il ne se prenait nullement au sérieux. Alors, quand on sait qu’il s’agit de la première collaboration entre Clint Eastwood et le réalisateur Don Siegel (tandem qui donnera naissance à Sierra torride, Les Proies et surtout L’inspecteur Harry), il y a de quoi se poser des questions sur la véritable nature du long-métrage. Et le seul moyen d’avoir la réponse, c’est bien évidemment de le regarder ! Mais honnêtement, si vous aimez le personnage de Harry Callahan (vous allez voir que la comparaison sera inévitable), vous serez plus que déçus par ce film.

    Si l’on pouvait attendre ne serait-ce un minimum de la part d’Un shérif à New York, c’était l’espoir d’y retrouver les prémices à la franchise de L’inspecteur Harry. À savoir un Clint Eastwood en policier (plus exactement shérif comme l’indique le titre) aux méthodes plus qu’expéditives et à la réparties cinglantes. Avec en bonus un décalage humoristique qui joue à merveille le passage de l’acteur du western au polar, en s’amusant des clichés propres aux cowboys. En gros, un divertissement basé sur une enquête policière assez solide mais qui s’amuse à ridiculiser notre cher Clint avec son allure et ses manies d’une autre époque. Malheureusement, Un shérif à New York n’est pas ce style de long-métrage.

    L’un des intérêts du film est sans nul doute l’affaire policière. Celle-ci ne casse pas trois pattes à un canard, il faut bien l’admettre : le héros devant juste retrouver un prisonnier qu’il devait ramener au bercail et qui s’est finalement évaporé dans la nature. Le fait que le personnage principal aille d’un point A à un point B, réalisant de bonnes et de mauvaises rencontres, est une structure scénaristique qui fait toujours son petit effet pour captiver l’attention du public. D’autant plus que le charisme évident de Clint Eastwood y est pour grand-chose. Mais cela s’arrête là, le long-métrage n’arrivant pas à tenir sa promesse, et ce malgré une séquence d’introduction qui annonçait la couleur (à la fois tendue pour la situation et rigolote avec une musique quasi inappropriée). Des répliques faisant mouche, vous n’en aurez nullement. De la baston et des fusillades marquantes, niet ! Juste un Clint qui s’acharne à draguer (pour ne pas dire harceler) de pauvres cruches et à se faire malmener aussi bien verbalement que physiquement. Vu le ridicule de certaines situations, cela prête tout de même à sourire de temps en temps. Mais de là à ce que ça prenne le pas sur l’enquête du scénario alors que le tout semble se prendre un peu trop au sérieux, c’est plutôt navrant de se sentir lasser par le film et de ne pas s’intéresser à la subtilité du plan final (le héros daignant donner une cigarette à son adversaire, symbole de son humanisation) et du concept de base (les conséquences de l’urbanisation, par exemple).

    Surtout que niveau efficacité technique, Un shérif à New York n’est pas de la toute première fraîcheur. Car si le côté homme à femmes de Clint prend le pas sur l’intégralité du script, il ne fallait pas louper le reste, à savoir les quelques scènes d’action. Si la bagarre dans le bar sait divertir, la course-poursuite en motos ennuiera plus qu’autre chose. Se trouvant être un chouïa trop longue sans pour autant livrer un lot de cascades correctes et d’adrénaline. Pire, on se croirait presque devant une séquence sortie du Benny Hill Show, l’effet d’accélération en moins. Heureusement que l’ensemble ne dure qu’une heure et demie. Vu son allure, le film n’aurait pas fait long feu s’il avait duré quelques minutes supplémentaires à moins d’avoir plus d’action et de savoir-faire dans la mise en scène.

    Déception donc de ce Shérif à New York, qui n’arrive pas à la botte du futur I*nspecteur Harry*. Alors qu’il avait de quoi amuser, divertir et faire réfléchir le spectateur, le long-métrage de Don Siegel ne fait que passer le temps par son enquête et le ridicule assumé dans lequel se prête Clint Eastwood. Il est d’ailleurs le principal intérêt de ce projet. Alors, si vous n’êtes pas fans et que vous attendiez à une série B décapante du point de vue humoristique, vaut mieux que vous passiez votre chemin : la déception vous attendra au bout du visionnage !
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    300 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2015
    Un film aux enjeux très simples, pour ne pas dire simplistes. Un shérif envoyé à New York pour rapatrier un détenu en Arizona perd sa cible, et se met à le traquer, avec le concours (ou pas) de la compagne de ce dernier. Pas de quoi casser trois pattes à un canard me direz vous, mais c'est quand même bien foutu et c'est toujours un bonheur de retrouver Clint Eastwood dans un film des années 70. À voir, donc.
    Régis L.
    Régis L.

    9 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2015
    Un chef d'œuvre. L'un des meilleurs films avec le légendaire Clint Eastwood. Un très bon polar qui se passe dans la belle ville de New York City. Un très beau film policier. Susan Clark joue une rousse pulpeuse amoureuse du shérif.
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2015
    Ce film qui marque sa rencontre avec le réalisateur Don Siegel. L'entente entre Eastwood et Siegel est parfaite et offrent un film qui fait le pont entre entre deux époques. En effet Coogan (Eastwood) est un shérif de l'Arizona qui part à la ville pour aller chercher un meurtrier. Il s'agit ni plus ni moins qu'un héros à mi-chemin entre l'homme sans nom de la trilogie du Dollars de Leone et le futur Harry Callahan... Un polar efficace et très sympa, qui ne manque pas d'humour.
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