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Scofield
16 abonnés
544 critiques
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3,5
Publiée le 21 novembre 2024
Après "Fantomas" de 1964, voici le deuxième film de la trilogie, qui n'est pas meilleur que le premier, mais avec quelques scènes assez mémorables (De Funès chez les psychiatres italiens, le coup de la troisième main, la fausse jambe). C'est un agréable divertissement avec un certain charme et la nostalgie des années 60. On ne présente plus Fantomas, en tout cas pas aux anciens.
Dans la lignée du film précédent, une folle course poursuite avec les mêmes acteurs au sommet de leur art. De Funès prend le pas sur Jean Marais dans ce film, davantage comique que le précédent.
Ce deuxieme film est aussi bon que le premier avec des blagues drôles , même si ce film est ancien , il est toujours aussi bien et drôle . Dommage que la saga soit poussé aussi loin , ils veulent pas capturer Fantomas
Première impression qui saute aux yeux : c’est plutôt Louis de Funès qui se déchaîne. Le personnage Fantômas me paraît plus en retrait que dans le premier épisode. Hommage à James Bond avec ces gadgets amusants et d’autant plus amusants que c’est Louis de Funès qui les manipule. Que dire de la trouvaille de la DS volante ? Voiture qui cette fois inspirera, me semble t-il James Bond. Un prêté pour un rendu ! Comme quoi la comédie à la française franchouillarde peut inspirer un personnage iconique issu de sa gracieuse Majesté la Reine d’Angleterre ! J’ai trouvé ce Fantômas plus plaisant que le premier avec cette séquence où le commissaire Juve tente d’expliquer aux psychiatres italiens qu’il n’est pas fou. Le débit de l’acteur est d’une fluidité réjouissante.
Le deuxième film de la trilogie, « Fantomas se déchaîne » a été réalisé en 1965 par André Hunebelle, avec toujours Louis De Funès, Jean Marais et Mylène Demongeot dans les rôles principaux. Le film raconte toujours la traque de Fantomas par un journaliste, joué par Jean Marais, et un commissaire de police interprété par Louis de Funès. L’action se déroule principalement en Italie. Inspiré par l’univers de James Bond, les gadgets et les subterfuges font leur apparition du côté de la police. Fantomas utilise des gadgets de plus en plus sophistiqués, notamment sa DS volante, qui montrent qu’il a toujours une avance sur la police. On passe un très bon moment en regardant ce deuxième volet de la trilogie "Fantomas", notamment les péripéties dans le train de nuit pour l’Italie. A noter, la première apparition à l’écran, sur 6, d’Olivier de Funès, fils de Louis.
Dans la même veine que le volet précédent, "Fantômas se déchaîne" offre un divertissement léger et un peu nostalgique, agréable à regarder, notamment grâce à la prestation de De Funès, quelques bon gags et quelques scènes meilleures que les autres.
J’adore, toute mon enfance, mon fantômes, vu et revu… A voir et à revoir tous les épisodes. Fan inconditionnelle de fantomas avec le beau Jean Marais et l’excellent louis de Funès.
L' inspecteur Juve alias Louis de Funès porte ce second Opus à bout de bras. Les scènes comiques dans le train sont succulentes entre le "bon appétitat", le monocle qui tombe dans la tasse de café et la vieille qui attend désespérement devant les toilettes........... Pour moi,cette suite n' atteint toutefois pas le meilleur de la trilogie qui est et restera Fantomas contre Scotland Yard...
En 1965, soit un an après la sortie du premier volet, André Hunebelle propose une nouvelle aventure de Fantômas. Encore plus imprégné de l’univers de James Bond, ce film demeure moins loufoque que le précédent malgré la présence plus imposante de Louis de Funès au détriment d’un Jean Marais devenu insipide. L’intrigue devient vite paresseuse et les scènes d’action très minimalistes. Bien que la cascade finale (celle de la chute d’avion) ait constitué une prouesse technique pour l’époque, elle s’inscrit dans un dénouement marqué par des effets spéciaux très datés. Bref, un divertissement bâclé.
Ce second volet de Fantomas est poussif, rapidement ennuyant et terne. Avec un scénario rachitique, Louis De Funes et Jean Marais ont trop de mal à faire ressortir quelque chose de qualité. Cela mérite un très petit 2 sur 5.
Après le succès de "Fantômas" et l’aura acquise par Louis de Funès, une suite est évidemment mise en chantier. Bien moins généreuse que son prédécesseur (si ce n’est la chute libre, on n’y retrouve aucune séquence de l’ampleur de celle de la grue ou de la course-poursuite finale), elle ne se repose presque exclusivement que sur les pitreries du commissaire et ne donne aucune direction à son imbroglio scénaristique.
La superbe trilogie Fantômas, avec un Louis De Funès à son prime. On est pris dans l'histoire, une comédie française de l'époque comme on les aime. A voir !
Un 2ème opus en peu en deçà du 1er, l'effet de surprise étant passé !! Malgré un scénario ambigu, il reste des scènes comiques réussis et des monologues de De Funès toujours aussi drôle !! Le film regorge une fois de plus de cascades assez impressionnante pour l'époque !!
Un poil supérieur au premier opus cette nouvelle aventure du duo Juve/Fandor face au diabolique Fantomas a bien mal vieilli. Plus tourné vers la caricature des James Bond dont il est fait mention dans un dialogue, les quelques sourires proviennent une nouvelle fois des pitreries de De Funès qui fait participer son jeune fils Olivier dans un second rôle (ce qui deviendra récurrent)
Le deuxième épisode de Fantomas par André Hunebelle, dans lequel Fandor le journaliste et Juve le commissaire sont amenés à poursuivre de concert Fantomas jusqu'en Italie, est du même esprit et du même style que le premier. Hélas, suis-je tenté de dire; car la mise en scène et le scénario sont ici de la même simplicité, pour ne pas dire pauvreté, que les premières aventures sorties l'année précédente. On retrouve ici cette propension au déguisement (et aux quiproquos grossiers qui en résultent) qui devient presque une marque de fabrique, où l'on verra Fantomas et Fandor se faire le visage d'un savant que le premier menace de kidnapper, tandis que Louis de Funès spoiler: portera le costume d'un officier italien, d'un stewart ou celui d'un pirate à l'occasion d'un bal masqué.
Ce qui change, en revanche, c'est l'importance des rôles. Hunebelle opère un rééquilibrage entre les co-vedettes du film au profit de Louis de Funès. Celui-ci, moins effacé que dans le premier "Fantomas", devient le personnage central, de sorte que l'aventure tire davantage vers la comédie. Et c'est tant mieux, car la série n'existe véritablement que par et pour le commissaire Juve et son interprète. Le pauvre Jean Marais, dans le rôle superficiel de Fandor, n'a plus que quelques bagarres pour exister (il est vrai qu'il incarne aussi Fantomas).