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Artriste
116 abonnés
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4,0
Publiée le 10 septembre 2024
Comédie policière, coécrite par Pat Proft et David Zucker, et réalisée par ce dernier, Y A-T-Il Un Flic Pour Sauver Le Président ? est un film fort sympathique. L'histoire se déroule trois années après les événements du premier volet et nous fait à nouveau suivre Frank Drebin qui, ayant continué sa traque contre les malfaiteurs, et compte tenu de ses états de service, se retrouve convié à la Maison-Blanche pour un dîner organisé par le président au cours duquel doivent être abordés les questions énergétiques. C'est alors qu'il retrouve Jane qui est devenue l'assistante du professeur Meinheimer. Mais cette dernière s'est fiancée à Quentin Hapsburg, après ne pas s'être présentée au mariage prévu avec Frank. Seulement, son nouvel amant trempe dans de sombres histoires impliquant le professeur malgré lui. Le lieutenant va se retrouver impliqué dans cette affaire et va devoir sauver la vie menacée du président. Ce scénario s'avère plaisant et divertissant à visionner pendant toute sa durée d'une heure et vingt minutes. Cependant, l'intrigue étant dans la même veine que son aîné, on est moins surpris car on connaît la formule et celle-ci ne bouge presque pas d'un iota. L'intrigue parvient tout de même à fonctionner grâce aux idées originales et aux références ponctuant des scènes toutes plus absurdes les unes que les autres à la faveur des multiples gaffes commises par Frank qui provoque de nombreux dégâts malgré lui. Le rythme des gags est un peu moins soutenu mais l'humour se veut toujours aussi potache, absurde et aberrant, parvenant ainsi à faire rire et sourire tout du long. L'ensemble est porté par des personnages débiles qu'on retrouve pour une bonne partie, interprétés avec sérieux alors que rien ne l'est autour d'eux par une distribution comprenant Leslie Nielsen, Priscilla Presley, George Kennedy et O. J. Simpson. À leurs côtés de nouveaux visages font leur apparition comme ceux de Robert Goulet, Richard Griffiths, Anthony James, Jacqueline Brookes ou encore Ed Williams. Tous ces individus entretiennent des rapports stupides très drôles, soutenus par des dialogues marrants déclamés au premier degré. Sur la forme, la réalisation du cinéaste américain se veut qualitative. Sa mise en scène est pleine de vie que ce soit au premier ou au second plan grâce aux innombrables gags visuels. Celui-ci est accompagné par une b.o. jouant sa partition sans pour autant être très impactante. On retiendra surtout le thème principal de la licence. Reste une fin sans surprise mais tout de même satisfaisante venant mettre un terme à Y A-T-Il Un Flic Pour Sauver Le Président ? qui, en conclusion, est un long-métrage permettant de se payer une bonne tranche de rigolade malgré son petit air de redite qu'on lui pardonne volontairement.
Frank Drebin de la police de Los Angeles est de retour. Après avoir sauvé la reine le gaffeur est de retour pour sauver le président. Toujours égal à lui-même il enchaîne bévues pour notre plus grand plaisir.
Bonjour Difficile pour les films d avoir des suites, mais les frères Zucker en ont l habitude avec les séries de "pilote" ou "flic" et nombreuses parodies de film pour nous faire rire ou sourire A découvrir pour les plus jeunes ou revoir pour les anciens....
ON retrouve notre policier gaffeur et maladroit dans de nouvelles aventures. C'est toujours aussi drôle et Leslie Nielsen est tout simplement parfait dans le rôle du sergent Drebin. Cette fois il se retrouve à la maison blanche et multiplie les gaffes en présence du président. Il retrouve également son grand amour Jane Spencer (Priscilla Presley) et cela nous donne quelques scènes romantiques mémorables.
« My name is Sergent Frank Drebin, detective lieutenant of Police Squad. I was in the middle of getting my car washed when I heard the call over the police scanner. There were a bombing downtown. »
Reprenant une partie de l’équipe derrière (David Zucker, Pat Proft, Robert K. Weiss et Ira Newborn) et devant la caméra (du moins les quatre principaux interprètes, Leslie Nielsen, Priscilla Presley, George Kennedy et O.J. Simpson), cette suite reprend les marques du premier volet (Y a-t-il un Flic pour Sauver La reine ?, 1988), lui même reprenant le ton et le style de la série Police Squad (1982), créée par le trio Zucker, Abrahams, Zucker, auquel Pat Proft s’était adjoint, et déjà produite par Weiss avec Newborn à la musique et Nielsen dans le rôle principal.
Malgré l’absence de Jerry Zucker et de Jim Abrahams, cette suite est dans la droite lignée du premier opus, alternant des gags prévisibles mais bien rythmés et d’autres plus inattendus, certains outrancièrement gras, certains beaucoup plus fins dans les détails. Bref, ce film nous offre un franc moment de poilade.
Une petite comédie très sympathique. Les gags fonctionnent très bien même si je pense qu'il est nécessaire de voir le film plusieurs fois pour vraiment tout voir ! Leslie Nielsen incarne parfaitement le personnage et ça marche ! Une bonne surprise moi qui ai eu du mal avec l'humour des ZAZ !
y a t'il un flic pour sauver le president , qui est la suite du très bon y-a-t-il un flic pour sauver la reine , franchement est très bon, très drôle, très amusant , et loins du politiquement correct de aujourd'hui car beaucoup de séance ou de gags ne pourrait plus être fait à notre époque malheureusement car maintenant on ne peux plis'rien faire et sa devenien ennuyeux de faire des comédie car c'est toujours correct c'est presque impossible de faire de bonne comédie sauf kaamelott qui heureusement sauve encore peux le niveaux mais revenons à notre sujet . Le casting est identique au premier volet , avec des bonne scène drôle et bon gage , des bon 1cteurs qui sont tous en tre grande forme . Histoire de ce second opus est vraiment de meilleur qualité et on vois qu'il on pris plus le temps de divertir le public pour faire rire les spectateurs. Il y a des idées originales, et ça reste agréable à regarder pour se changer les idées et rire un peu sans se prendre la tête. En plus ce n'est pas donné à n'importe qui de réussir ce type de film un peu foufou, et beaucoup de film du genre sont hélas catastrophiques. bref a regarder avec plaisir pour ce détendre et une soiree sans prise de tête après une journée de boulot .
Finalement moins réussi que le premier opus. Le film reste très drôle par moment même si il faut bien se l'avouer, la mise en scène est exécrable et le scénario.que prétexte au pitreries de Leslie Nielson. Mais c'est drôle donc le contrat est rempli !
Dans la lignée du précédent opus, le lieutenant Frank Drebin, alias l'excellent Leslie Nielsen, revient s'attaque à George Bush Senior. Les gags s'accumulent dans tous les coins comme souvent avec David Zucker. On sourit plus souvent que l'on rie mais toujours avec autant de plaisir. A voir et à revoir
Nettement plus faible que « y a t il un flic pour sauver la reine » qui est sans doute le plus réussi de la série. On rit rarement et les gags sont en manque d’inspiration. Evitable.
Ce qui fait la qualité du comique, dans la trilogie The Naked Gun, est le recours systématique au langage cinématographique pour susciter l’hilarité, qu’il s’agisse de la mise en scène ou des nombreuses références extérieures qui sont autant de clins d’œil savoureux. Profondeur de champ, bruitages, mouvements de caméra, hors-champ, éléments de second plan qui viennent perturber le premier – pensons aux serveurs qui ne cessent d’aller et venir lors de la réception organisée par le président et son épouse dans le deuxième volet –, musique qui parodie des thèmes connus, jeu sur les échelles, en témoigne le générique avec sa voiture de police miniature…
Si les ZAZ, comprenons les frères Zucker et Jim Abrahams, empruntent beaucoup aux formes de comique utilisées par le théâtre, ils ont une parfaite conscience du cinéma qu’ils aiment et respectent, ainsi qu’une pleine maîtrise de ses outils. Ils témoignent d’ailleurs d’un sens du rythme inégalé, essentiel pour faire rire : en moins de quatre-vingt minutes s’enchaînent des sketchs tirés au cordeau qui jouissent du talent des comédiens et d’une précision dans le montage. L’intrigue semble alors s’improviser au fil des gaffes et des bavures, à l’instar du centième dealer mis hors service par simple accident de voiture… Voilà la recette d’une excellente comédie, le meilleur opus de la trilogie, The Smell of Fear.
Deuxième aventure pour le lieutenant Frank Drebin, qui se retrouve mêlé à un sinistre complot fomenté par des lobbies de l’énergie de Washington D.C., et croise avec surprise son ex-fiancée. Bien que ce soit essentiellement David Zucker qui signe le film, on y retrouve l’esprit des ZAZ. A savoir, des gags burlesques et absurdes enchaînés au moins toutes les 30 secondes, quelques séquences parodiques spécifiques (dont « Ghost », réalisé 1 an auparavant par Jerry Zucker !). Mais surtout, à l’opposé des funestes successeurs des ZAZ, qui dans les années 2000 se contenteront de parodier sans génie les bandes annonces des blockbusters de l’année et les dernières frasques peoples (oui oui les « machin » movie, c’est de vous que l’on parle), la mise en scène détourne allègrement et avec finesse les canons des films policiers. Au-delà d’un scénario qui enchaîne des gags plaisant avec quelques idées folles, on apprécie bien évidemment Leslie Nielsen, toujours en forme en Frank Drebin aussi sérieux que gaffeur. A ses côtés demeurent la charmante Priscilla Presley, un George Kennedy plein de bonhommie… et O.J. Simpson en adjoint gentillet, la petite touche remplie d’ironie vue d’aujourd’hui (la très médiatisée affaire de meurtre débutera 3 ans après la sortie du film). Par ailleurs, outre son message écologiste primaire -mais relativement original à l’époque- le film se paye aussi allègrement la tête de George Bush senior !
Trois ans après ses premières aventures sur le grand écran, Frank Drebin est de retour et se montre toujours aussi maladroit ! Il n’est jamais facile de se lancer dans une suite et Y a t’il un flic pour sauver le Président ? en est un bon exemple. En effet, quand on a vu la série Police Squad, on s’aperçoit vite que ce film recycle pas mal de blagues déjà diffusées à la télévision. Une explication vient peut-être du départ de Jim Abrahams de l’équipe de scénaristes, en tout cas si l’humour est de la partie il est aussi mêlé à un sentiment de répétition. Le plaisir de retrouver cette joyeuse bande est toujours là et on se marre toujours avec eux mais on sent que ça tire un peu sur la corde.