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Votre avis sur Presidio, base militaire, San Francisco ?
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spoiler:
J'ai connu des bâtiments avec lesquels il était plus facile de parler qu’avec toi.
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Un film dramatique policier atmosphérique du réalisateur et directeur de la photographie Peter Hyams, qui capture l'atmosphère de San Francisco tout en la filmant magnifiquement.
Sean Connery dans le rôle du Lieutenant-Colonel Alan Caldwell, Mark Harmon dans le rôle de Jay Austin, un Détective du SFPD et ancien soldat de la Police Militaire, et Meg Ryan dans le rôle de Donna Caldwell, la fille du Lieutenant-Colonel
Alan Caldwell, sont suffisamment charismatiques et expérimentés pour rendre leur personnage intéressant et attachant.
Caldwell et Austin forment un duo de « Buddy Cops » atypique, qui mène l’enquête afin de démanteler une association de malfaiteurs au sein des forces armées.
Des qualités qui font de “Presidio” un film agréable non seulement à regarder mais aussi à revoir.
3.9/5
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Un film dramatique policier atmosphérique du réalisateur et directeur de la photographie Peter Hyams, qui capture l'atmosphère de San Francisco tout en la filmant magnifiquement.
Sean Connery dans le rôle du Lieutenant-Colonel Alan Caldwell, Mark Harmon dans le rôle de Jay Austin, un Détective du SFPD et ancien soldat de la Police Militaire, et Meg Ryan dans le rôle de Donna Caldwell, la fille du Lieutenant-Colonel
Alan Caldwell, sont suffisamment charismatiques et expérimentés pour rendre leur personnage intéressant et attachant.
Caldwell et Austin forment un duo de « Buddy Cops » atypique, qui mène l’enquête afin de démanteler une association de malfaiteurs au sein des forces armées.
Des qualités qui font de “Presidio” un film agréable non seulement à regarder mais aussi à revoir.
3.9/5
Film.policier assez classique sur le duo qui se déteste avec ici en prime la fille de l un amoureuse du second.
C est bien mené sans temps mort Avéc une alternance action humour. Le spectateur se sent au milieu du film . Comme à son habitude Sean Connery est impeccable
C est bien mené sans temps mort Avéc une alternance action humour. Le spectateur se sent au milieu du film . Comme à son habitude Sean Connery est impeccable
Santu2b
En 1988, Peter Hyams signe l’un de ses films les plus oubliables : "Presidio". Peu de choses sont en effet à retenir de l’ensemble qui n’est ni un grand moment de polar, ni un grand moment de cinéma. Un meurtre est d’abord commis dans une base militaire, avant de céder la place à une succession de situations plus lourdes les unes que les autres. L’emballement ne figure à aucun moment du visionnage, jusqu’au final très prévisible. "Presidio" demeure donc un long-métrage ultra conventionnel dont la seule garantie reste la présence de l’impeccable Sean Connery. Sans lui, il aurait été directement expédié aux oubliettes.
Quelle déception !
On pourrait attendre un peu plus de ce film, certes avec un tandem que tout oppose, avec une idylle bien glamour, un Sean Connery charismatique, une Meg Ryan ravissante, et puis c'est tout.
Le scénario est inexistant, il y a un meurtre mais l'enquête est inexistante, pour arriver à la fin à démanteler les méchants, et les exterminer à coups de 38 et de 45, face à des armes lourdes.
Tout est bancal, aucune tension, aucun enquête, on survole tout, on rajoute des scènes "torrides", des scènes de pseudo combat, rien qui ne donne un vrai engouement. Je ne m'éterniserais pas sur le pauvre Mark Harmon qui ne joue que sur une note et joue faux.
Un film qui aurait mérité bien mieux, c'est ni fait, ni à faire comme dirait l'autre.
On pourrait attendre un peu plus de ce film, certes avec un tandem que tout oppose, avec une idylle bien glamour, un Sean Connery charismatique, une Meg Ryan ravissante, et puis c'est tout.
Le scénario est inexistant, il y a un meurtre mais l'enquête est inexistante, pour arriver à la fin à démanteler les méchants, et les exterminer à coups de 38 et de 45, face à des armes lourdes.
Tout est bancal, aucune tension, aucun enquête, on survole tout, on rajoute des scènes "torrides", des scènes de pseudo combat, rien qui ne donne un vrai engouement. Je ne m'éterniserais pas sur le pauvre Mark Harmon qui ne joue que sur une note et joue faux.
Un film qui aurait mérité bien mieux, c'est ni fait, ni à faire comme dirait l'autre.
Un bon film policier assez typique des années 80 : un film de buddy movie, basé sur un duo d'enquêteurs très différents et qui apprennent à se connaître. Dans ce film il s'agit de Sean Connery (excellent comme toujours) qui campe un colonel de la police militaire et Mark Harmon (très fringant) en policier civil. Les deux hommes qui ont connu un gros différent auparavant vont devoir enquêter ensemble sur un meurtre commis dans l'enceinte du presidio. Une histoire d'amour entre la fille du colonel (délicieuse Meg Ryan) et le policier vient compliquer encore la situation. Le film est bien construit et offre quelques bonnes scènes d'action. Un divertissement de qualité avec peu de violence.
Harmon et Connery ont des performances correctes. Meg Ryan dépasse les bornes dans le rôle de la fille gâtée du recteur. Le reste de la distribution n'est que compétent mais on ne leur demande pas d'en faire plus. Sinon il s'agit d'un film d'action de copain flic tout à fait classique de la fin des années 80. Il y a une intrigue totalement prévisible sur la contrebande de diamants mais aucune complication et aucun sens de l'humour. Les meilleurs films de ce genre avaient de fortes doses de comédie 48 Heures, Beverly Hills Cop et L'arme fatale. S'il y a quelque chose qui est censé être amusant ici je l'ai manqué. Au lieu de cela nous avons une romance assez incroyable qui occupe cette histoire. Il y a aussi une bagarre dans un bar qui n'a absolument rien à voir avec l'histoire. C'était peut-être censé être amusant mais je me suis juste senti confus et déprimé en la regardant. Malgré le titre le film n'a pas grand-chose à voir avec la célèbre base militaire. Il tente de transmettre un salut genre la guerre du Vietnam est terminée aux soldats qui ont combattu là-bas donc je suppose qu'il obtient une étoile pour sa conscience sociale. Le reste n'est qu'un gaspillage de talent de lieu et d'intérêt du public...
Roub E.
Franchement je m’attendais à mieux. Presidio est un policier sans grand relief qui a pour seule originalité le fait de se dérouler en grande partie dans une base de l’armée. J’ai un peu eu l’impression d’un film en pilote automatique, qui cochait des cases pour arriver à quelque chose de convenu, pas dérangeant mais peu satisfaisant. L’histoire entre Meg Ryan et Mark Harmon n’est pas crédible et heureusement que Sean Connery est là pour faire patienter jusqu’à la fin.
pierrre s.
C'est du Peter Hyams, donc c'est plutôt bien foutu et agréable à suivre. Mais c'est tout. Son film manque de rythme et ses personnages d'épaisseur à tel point que son thriller rentre dans la catégorie vite vu, vite oublié.
Redzing
Un meurtre est commis sur la base militaire de Presidio, à San Francisco. Le responsable de la police militaire, appuyé par un inspecteur civil ayant quitté l'armée, vont collaborer malgré leurs différents... "The Presidio" contient sur le papier les ingrédients du buddy-movie typique des 80's, mais laisse finalement presque ceux-ci de côté. En effet, l'enquête policière passe complètement au second plan, se contentant de donner une trame de fond, pour être résolue en quelques dialogues dans les dernières minutes. L'intérêt est plutôt la relation entre les deux protagonistes, un flic tête brulée (Mark Harmon, correct mais au personnage excessif par moment), et un vieux colonel plus respectueux des procédures (Sean Connery, qui a toujours la classe !). Une relation qui se laisse suivre, mais qui est parfois un peu maigre pour tenir le film. On passera en revanche sur la romance avec le personnage enflammée de Meg Ryan, qui sert surtout de point clivant entre les deux hommes. Sur la forme, "The Presidio" est mené avec professionnalisme, mais ne brille guère, à l'image d'une bonne partie de la filmographie de Peter Hyams. L'ensemble est ainsi un divertissement qui se laisse regarder, mais peu mémorable.
Avec "Presidio", Peter Hyams nous invite à une guerre des nerfs entre un lieutenant-colonel (Sean Connery) et un inspecteur de police casse-cou (Mark Harmon) qui se dètestent cordialement! Autant dire que nous avons là un tandem que tout oppose obligès de bosser ensemble pour une enquête au pas de charge! Au milieu du militaire et du flic, Meg Ryan, une jolie et sèduisante blonde au tempèrament explosif! Problème, c'est la fille de Connery qui tombe amoureuse du jeune flic [...] Comme toujours chez Hyams, son film intègre le spectateur au coeur des scènes :
spoiler:
course-poursuite de nuit dans les rues de San Francisco, baston instructive dans un bar entre Connery et Zumwalt (l'un des rois du bras de fer), puis une autre poursuite, pèdestre, tout aussi spectaculaire dans les rues de Chinatown!
C'est du policier très efficace et bien fait avec une mise en scène qui emporte l'action et l'humour vache sans temps mort, les pics sont bien placès et la collaboration excellente! V.F parfaite...
C'est du policier très efficace et bien fait avec une mise en scène qui emporte l'action et l'humour vache sans temps mort, les pics sont bien placès et la collaboration excellente! V.F parfaite...
Avis personnel. Clairement tourné dans le style téléfilm, Praesidio n'en est pas moins réussi. Prévisible? Assez, oui. Simpliste? On peut dire ça aussi, oui. Avec un solide Sean Connery/lieutenant-colonel Alan Caldwell en autoritaire vétéran teigneux et un Mark Harmon/inspecteur Jay Austin en charmeur indiscipliné très bon sous ses faux airs de Tom Cruise, on se balade dans une petite guéguerre des polices civile et militaire qui n'ira jamais plus loin que des escarmouches. Les deux hommes s'affrontent dans une collaboration forcée et nous permettent, au cours de leur enquête, de découvrir des vues superbes de San Francisco proposées par des cadrages aussi simples qu'efficaces. De belles plongées contre-plongées sur les rues vallonnées amplifient encore le sentiment que la ville n'est qu'une succession de collines. La réalisation très simple va toujours droit au but, aussi bien dans la succession des scènes que pour la psychologie des personnages. De ce fait, on peut trouver que cela manque un peu de nuances mais de temps en temps, j'aime bien. C'est comme une bonne blanquette de veau en plat du jour: je connais la recette par cœur mais je trouve ça bon. Quant à Meg Ryan/Donna, elle n'a pas grand-chose d'autre à faire que d'être très mignonne mais elle le fait à la perfection. Ah oui... Elle est aussi un peu clou de cercueil pour son papa, le colonel Adam Caldwell et en plus, de temps en temps, elle fait aussi un peu semblant de jouer à la garce dans un jeu de séduction qui trouble ardemment le bel inspecteur Mark/Jay. Un bon "film du jour".
Un colonel de Presidio, la base militaire de San Francisco, vieux soldat droit, bourru et handicapé du dialogue, doit travailler de concert sur une enquête de meurtres de policiers intervenus à la fois en ville et sur la base, avec un jeune et insolent lieutenant de Police opiniâtre, qui fut autrefois sous ses ordres et avec qui persiste l’amertume d’un vieux conflit. Les deux partenaires ennemis aiment et sont aimés de la fille du colonel, indépendante, malicieuse et faussement volage, ce qui compliquera outrageusement les turbulences d’une enquête qui s’avère épique et tendue, mais grâce à laquelle nos héros escaladeront leurs pitons respectifs d’incompréhension.
Malgré des flics et des bandits mous et maladroits, les dénouements policiers attendus, une enquête et des actions manquant clairement de spectaculaire et d’originalité, ce film, moins thriller que comédie sentimentale romantique et bon enfant, perce et séduit grâce aux charmes particuliers de Sean Connery, Meg Ryan et Mark Harmon d’il y a 30 ans déjà.
Malgré des flics et des bandits mous et maladroits, les dénouements policiers attendus, une enquête et des actions manquant clairement de spectaculaire et d’originalité, ce film, moins thriller que comédie sentimentale romantique et bon enfant, perce et séduit grâce aux charmes particuliers de Sean Connery, Meg Ryan et Mark Harmon d’il y a 30 ans déjà.
ManoCornuta
Sujet on ne peut plus basique, tellement retourné dans tous les sens qu'on en finit par ne plus savoir à quel genre nous avons affaire ici: on semble s'orienter vers l'action dans un premier temps, pour dévier vers une fausse enquête policière puis un drame romantique... Les acteurs relèvent un peu la sauce, mais c'est très insuffisant pour compenser l'insigne faiblesse du scénario, sans même parler des dialogues très convenus ou de la mise en scène, qui fonctionne par à-coups dans les scènes d'action mais s'avère très monotone par ailleurs. Bref, le résultat final laisse à désirer.
Yannickcinéphile
Bon, je rejoins la plupart des critiques, sur ce film : un métrage très quelconque en fait ! Ce film déçoit par sa fadeur, c’est le film ultra-conventionnel, pas vraiment déplaisant a priori car il a des arguments, notamment le casting, et la recette est faite pour marcher, mais ça n’a strictement aucune personnalité.
L’histoire débute bien, puis peu à peu elle s’enlise dangereusement. Une romance très foireuse entre le héros et Meg Ryan, un rythme chaotique, une intrigue des plus convenues qui se termine d’ailleurs de façon très convenue, il n’y a guère de quoi s’enthousiasmer sur l’histoire de ce Presidio, qui suinte l’attendu et les conventions les plus dures de ce genre de cinéma. Jamais un mot plus haut que l’autre, jamais un peu d’impertinence ou d’éloignement des sentiers battus, honnêtement, sur un thème approchant, et malgré ses défauts manifestes, Le Déshonneur d’ Elizabeth Campbell n’est nettement au-dessus de ce film ultra-académique.
Cela se retrouve sur la forme. Rien d’original. Mise en scène appliquée de Peter Hyams, certes, comme il en a l’habitude, décors corrects avec tournage sur les lieux réels du Presidio, on ne peut pas dire que le film soit vilain, mais c’est fade. C’est comme du pain sans sel quoi, ça manque de saveur, et on sent le produit qui fait tranquillement son petit bonhomme de chemin s’appuyant sur son budget confortable et son casting en se disant que ça suffira. Alors certes on dira que Peter Hyams n’est pas le roi du cinéma personnel, mais là c’est d’une neutralité qui frôle la fainéantise. Même la musique est ultra-classique.
Finalement on attend pas mal du casting, et il n’est pas mauvais. Ok, Meg Ryan est juste là pour la partie romance, autant dire que la pauvre elle est dans le pire morceau du film ! Mais bon, elle est jolie ! Mark Harmon enquête déjà dans l’armée bien avant NCIS, et il impose une certaine présence, bien qu’il reste fadasse face à Sean Connery, qui trouve un rôle bien dans son style, provocateur, râleur parfois incisif. C’est bien le seul à être incisif d’ailleurs, et il apporte souvent un peu de piquant au milieu d’une montagne de consensualité, vous l’aurez compris.
En conclusion Presidio n’est pas foncièrement raté, dans le sens où on se retrouve avec un spectacle appliqué. On ne peut pas dire qu’il y a de gros défauts, de la réalisation au casting c’est plutôt propret, mais alors c’est presque du niveau d’un téléfilm basique pour l’intérêt. Ça coule mollement, au gré de choses systématiquement déjà vu ailleurs, et ça ne chercher jamais à surprendre ou à montrer une identité, un style, à revendiquer une personnalité. Une œuvre qui aurait pu être faite par un robot. 2
L’histoire débute bien, puis peu à peu elle s’enlise dangereusement. Une romance très foireuse entre le héros et Meg Ryan, un rythme chaotique, une intrigue des plus convenues qui se termine d’ailleurs de façon très convenue, il n’y a guère de quoi s’enthousiasmer sur l’histoire de ce Presidio, qui suinte l’attendu et les conventions les plus dures de ce genre de cinéma. Jamais un mot plus haut que l’autre, jamais un peu d’impertinence ou d’éloignement des sentiers battus, honnêtement, sur un thème approchant, et malgré ses défauts manifestes, Le Déshonneur d’ Elizabeth Campbell n’est nettement au-dessus de ce film ultra-académique.
Cela se retrouve sur la forme. Rien d’original. Mise en scène appliquée de Peter Hyams, certes, comme il en a l’habitude, décors corrects avec tournage sur les lieux réels du Presidio, on ne peut pas dire que le film soit vilain, mais c’est fade. C’est comme du pain sans sel quoi, ça manque de saveur, et on sent le produit qui fait tranquillement son petit bonhomme de chemin s’appuyant sur son budget confortable et son casting en se disant que ça suffira. Alors certes on dira que Peter Hyams n’est pas le roi du cinéma personnel, mais là c’est d’une neutralité qui frôle la fainéantise. Même la musique est ultra-classique.
Finalement on attend pas mal du casting, et il n’est pas mauvais. Ok, Meg Ryan est juste là pour la partie romance, autant dire que la pauvre elle est dans le pire morceau du film ! Mais bon, elle est jolie ! Mark Harmon enquête déjà dans l’armée bien avant NCIS, et il impose une certaine présence, bien qu’il reste fadasse face à Sean Connery, qui trouve un rôle bien dans son style, provocateur, râleur parfois incisif. C’est bien le seul à être incisif d’ailleurs, et il apporte souvent un peu de piquant au milieu d’une montagne de consensualité, vous l’aurez compris.
En conclusion Presidio n’est pas foncièrement raté, dans le sens où on se retrouve avec un spectacle appliqué. On ne peut pas dire qu’il y a de gros défauts, de la réalisation au casting c’est plutôt propret, mais alors c’est presque du niveau d’un téléfilm basique pour l’intérêt. Ça coule mollement, au gré de choses systématiquement déjà vu ailleurs, et ça ne chercher jamais à surprendre ou à montrer une identité, un style, à revendiquer une personnalité. Une œuvre qui aurait pu être faite par un robot. 2
L'intrigue débutait plutôt bien malgré la scène d'introduction ridicule du personnage joué par Mark Harmon. Vient ensuite une "love story" inutile, peu crédible et freinant considérablement le rythme d'une histoire très banal qui n'en avait certainement pas besoin. Le talent de Sean Conney ne parvient pas à sauver la mise.
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