Derniers Avis : Presidio, base militaire, San Francisco - Page 2

Presidio, base militaire a San Francisco : Un film policier Hollywoodien plutôt bien mené et divertissant comme il le faut. C’est un peut de la même trempe que l’inspecteur Harry ou l’Arme Fatal car il y a « un duo de flic » sauf que la c’est un flic et un militaire qui vont travailler ensemble dans une enquête ou va y avoir de l’action et de l’humour bien sympa avec des répliques qui se lance a la gueule du style homme viril, ça fait un peu vieux jeu mais ça fonctionne bien car on apprécie suive ce duo qui va s’étendre même a un trio avec la fille du militaire qui va sortir avec le flic, ça va pas lui plaire mais c’est amusant a suive, ça donne un bon film humoristique. Sinon, l’enquête est soignée, pas exceptionnelle mais je n’ai pas décroché donc c’est que ça marche. Car c’est un tueur qui a attaqué les militaires et qui a tué une militaire même et ce duo va tous faire pour le démasqué : trouver arme du crime, mobile, faire les interrogatoires a le flic sympa et un peu dur… Enfin voila, pas mal de cliché bad boy qui circule mais ça le fait. Et puis, il faut dire que le casting est bon : Sir Sean Connery en premier ligne qui est charismatique comme d’habitude et il joue avec ça grâce a l’humour. Donc voila, bonne petite comédie policier bien sympa à regarder.

« Présidio, base militaire, San Francisco » est un thriller policier qui vaut surtout par son trio d'acteurs principaux particulièrement efficace. L'opposition entre le « vieux » militaire incarné par Sean Connery (toujours aussi charismatique) et le jeune loup « Mark Harmon » fonctionne très bien et apporte un fort capital sympathie aux personnages qu'ils incarnent. Leurs échanges verbaux sont souvent percutants, parfois drôles ou touchants et l'équipe qu'ils forment sert incontestablement de colonne vertébrale au film. De son côté la pétillante Meg Ryan, encore au début de sa carrière, apporte une touche de charme fort bienvenue. Pour le reste, pas grand chose à signaler ; Le scénario, très marqué « années 80 », ne fait pas dans la dentelle et cette histoire de meurtre dans une base militaire US donne l'impression d'avoir été vue 100 fois. La réalisation signée Peter Hyams (« Outland ») est convaincante mais l'ensemble manque trop de rythme et d'originalité pour emporter vraiment l'adhésion. Ceci dit, si on fait preuve d'un peu d'indulgence et qu'on a 90 minutes à perdre, pourquoi pas !

Une intrigue franchement banale pour un film peu attrayant, signé du réalisateur Peter Hyams.  Seule la confrontation qui oppose Sean Connery à Mark Harmon relève un peu le niveau de ce « Presidio ». Même La présence de Meg Ryan, un plaisir pour les yeux, du moins à l’époque, se révèle être un faux atout tant son rôle de nunuche est désolant.

Film typique des années 80-90 avec un scénario lourdingue, une intrigue vu des centaines de fois et les acteurs du moment.......... C'était aussi l'époque où Sean Connery enchaîné ses apparitions alimentaires dans ces productions dont la seule originalité était d'avoir le même scénariste..............

Un polar classique des années 90 sans grande originalité, mais qui vaut essentiellement le détour pour la confrontation entre Sean Connery et la magnifique (à l'époque) Meg Ryan...

Cinéaste assez peu prolifique, Peter Hyams s’essaye en cette fin des années 1980 au polar stylisé popularisé par Ridley Scott, Peter Yates, Taylor Hackford, avec des films comme « Traquée », « Suspect » ou « Contre toute attente ». Beaucoup de réalisateurs de renom auront cédé avec plus ou moins de succès à cette mode venue de la publicité et du clip qui envahira les écrans durant la décennie. C’est ainsi que les Lumet, Pollack, Penn, Rafelson, Kasdan auront tâté du polar branché où les images léchées et la musique post disco supplantent parfois des scénarios peu imaginatifs offrant une psychologie des personnages assez basique ou pour le moins stéréotypée. On est ici en plein dans le créneau et Yates a choisi pour ravir nos yeux de placer son action sur la base militaire du Presidio à San Francisco. Sean Connery alors au sommet de sa carrière après son petit passage à vide des années 1970 prête sa haute stature à ce colonel un peu rigide mais droit comme un i qui doit veiller à la réputation de son régiment depuis qu’une militaire s’est fait assassinée lors d’une ronde. Le beau Sean porte magnifiquement l’uniforme ce que ne se gêne pas de nous montrer un Peter Hyams admiratif de son acteur qu’il a déjà employé sept ans plus tôt dans « Outland…Loin de la terre ». Face au géant deux jeunes pousses, Mark Hamon et Meg Ryan dont Sean est le papa pour la circonstance. L'idylle est bien sûr au rendez-vous, s'engage alors un mano a mano entre l'ancien et le jeune loup dont les méthodes sont souvent en opposition avec celle de son supérieur mais qui finissent toujours par se rejoindre. Pour le coup Hyams tombe dans une mièvrerie qui plombe une enquête déjà un peu mollassonne . On goûte au passage la présence du toujours solide Jack Warden qui joue les vétérans que l'inaction pousse dans la marge. On file tout doucement vers une fin prévisible pour un film de grande consommation qui ne restera pas dans les mémoires.

Un meurtre est commis dans la célèbre base militaire de San Francisco. Scenaristiquement, le film manque de force, on nous balade sur une enquête dont le dénouement est plat à souhait. Si l'ensemble ne se passe absolument pas dans la base mais plutôt en dehors, après tout, c'est peut-être pas plus mal car parfois on peut tomber encore bien plus bas. Pour ce qui est des scènes d'actions, elles ne manque pas de peps. Je termine avec le cast, Sean Connery en lieutenant colonel, Mark Harmon (NCIS), joue un inspecteur et Meg Ryan va tomber sous le charme du monsieur.

Le réalisateur Peter Hyams avait donné quelques années auparavant un film de science-fiction très prenant "Outland, loin de la Terre", avec déjà Sean Connery ; donc venant d'un cinéaste ayant donné un très bon film de SF je pouvais légitimement m'attendre à un très bon film policier. A cela, le fait que ça tourne autour d'une base militaire donne un cachet d'originalité non négligeable à l'ensemble. Supplément de naïveté, je m'attendais quitte à ce que l'intrigue policière soit un peu conventionnelle à un film qui décrit le milieu d'une base militaire ; un peu comme l'excellent "Witness" l'avait fait quelques années avant avec la communauté amish. Mais en fait, la première scène donne très bien la couleur : "Presidio, base militaire, San Francisco" est un film bien bourrin qui se contente d'accumuler les séquences aussi lourdes les unes que les autres et quasiment en-dehors de la base militaire ; résultat pour la description de ce milieu il vaut mieux s'asseoir dessus. L'intrigue prévisible et totalement invraisemblable n'ajoute qu'au désintérêt que procure le film. Meg Ryan se contente de montrer qu'avant que la chirurugie esthétique la défigure elle avait un joli minois. Mark Harmon est toujours vénère. Seul Sean Connery avec son charisme et bien sûr son talent, et aussi parce qu'il joue l'unique personnage ayant un minimum de consistance, arrive à sauver les scènes dans lesquelles il apparaît. A moins d'être très fan de Sean Connery ou alors que pour vous "bourrin" est synonyme d'"excellence", ce film est totalement dispensable.

Presido, base militaire, San Francisco est un thriller très moyen (en même temps il ne faut pas attendre grand chose de Peter Hyams) mais qui donne parallèlement une idée ce qu'un film peut-être ou pas quand des idées intéressantes sont soigneusement évincées ou évitées, le temps du déroulement des bobines. L'intrigue première au sujet du trafic de diamants dans les bonbonnes d'eau des bureaux faillit, et se dépêche de tirer la langue - comme de toute façon une caniche naine bien éduquée qui sait qu'il ne faut pas trop poser de questions aux généraux étoilés (un peu d'ailleurs comme l'agacante Meg Ryan qui affute ici son numéro de vierge éplorée qui jappe/femme-au-foyer ultra rebelle aux discussions sans fins de In The Cut), on se demande ce qu'il en advient, et tout le reste du personnel déclare forfait. Quant au thème à propos de l'odieuse pourritude des instances dirigeantes, il est aux abonnés absents, à part il faut bien dire un vieux soldat sur le retour qui se presse de se faire subitement assassiner pour avoir trop parler. Sinon, pour le suspense, on verrait bien un second opus à la Naked Gun Academy. Car Presidio est un prouesse: en effet il y a là presque tous les ingrédients de l'authentique et sacré nanar.

Un film anecdotique à l'histoire banal et assez simpliste. Il reste néamoins agréable à regarder grâce à de très bons acteurs : Sean Connery, Mark Harmon et Meg Ryan en tête.

Aaah les bons veiux films policier des années 80.
Sans trop d'actions, sans trop de complication dans le scénar, sans trop de comédiens qui surjouent, enfin bref sans trop mais tellement plaisant à regarder.

Un film très classique basé sur une enquète dans un milieu militaire autour de deux protagonistes qui ne se supportent pas mais doivent traviller ensemble. Peu de surprise au final.

Presidio (1988) n'a rien d'original à nous offrir si ce n'est un casting dès plus surprenant, avec dans les rôles titre : Sean Connery & Mark Harmon, tout deux s'en sortant parfaitement aux côtés de la radieuse Meg Ryan. Par contre, niveau scénario, c'est autre chose, on a l'impression d'avoir affaire à un banal téléfilm ou pire encore, à un épisode de la série télévisée JAG (1995/2005).

Ça sent bon les années 80! Rien de révolutionnaire dans ce thriller si ce n'est le charisme de ses interprètes, qui font de cette simple enquête policière un rendez-vous de choc et surtout de charme.

Peu d’originalité dans ce film qui suit scrupuleusement un schéma appliqué à maintes reprises : une trame policière relativement séduisante, l’union de deux caractères que tout oppose, une gentille histoire d’amour. Ajoutez à cela le poids du passé et le tour est joué. Malgré tout, les nombreuses péripéties et les quelques scènes spectaculaires tiennent plutôt en haleine, San Francisco se révélant une nouvelle fois très photogénique. Et aucune erreur côté casting avec Sean Connery au charisme toujours aussi évident, Mark Harmon qui parvient quand même à exister, et enfin Meg Ryan, décidément bien craquante, qui donne un soupçon d’humanité à ce monde de brutes.