Avis sur Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan

Le film est centré sur la relation privilégiée entre le dernier né d'une fratrie de 5 enfants et sa mère. La malformation dont il souffre ne va pas être un frein pour sa mère qui va lutter envers et contre l'avis des médecins pour qu'il puisse vivre une vie normale.
Cet amour inconditionnel est beau et cette lutte acharnée jusqu'à l'obsession pour cette noble quête est touchante.

Leïla Bekhti est fabuleuse dans ce rôle qu'elle porte à bout de bras !! Honnêtement, je pense que c'est le meilleur rôle dans lequel je l'ai vu !
Elle est totalement incarnée et elle est attachante autant qu'agaçante c'est bluffant.

Jonathan Cohen est à contre-courant de ses rôles habituels et il montre ici un côté un peu plus sensible et dosé. Peut-être l'ouverture à lui d'un nouveau panel de beaux rôles.

Ce film se veut être une ôde à l'amour maternel et ça transparaît dans la première partie ! On sent tout l'amour de cette mère qui croit en son enfant contre l'avis tranché et radical des médecins.
Mais je n'ai pas pu m'empêcher d'être heurtée par la toxicité de cette relation une fois à l'âge adulte....
Ce trop plein d'amour finit par être envahissant et ça se ressent tellement ici !
Aimer ses enfants c'est aussi les laisser partir et accepter qu'ils fassent leurs propres choix de vie.

J'ai été emportée par la première partie mais beaucoup moins par la dernière et c'est dommage...

Vous l'aurez compris, le récit est découpé en deux parties inégales. La première m'a emporté et j'ai été séduite, tandis que la seconde m'a gêné et laissé perplexe....

Vu en avant première, ce film est merveilleux, tendresse humour, émotions et quelle interprétation de Leïla Bekthi!!!
J'irai le revoir à sa sortie avec ma mère elle risque de se reconnaître un peu😂
Seul point noir: l'horrible deepfake dans la scène de l'interview.

On pourrait dire : C'est du cinéma ! Mais non, c'est réel !
Quand l'amour d'une mère brise les barrières, l'intervention "divine" modifie le réel et la présence ignorée de Sylvie Vartan accompagne chaque jour la famille, le "miracle" tant souhaité arrive.
Magnifique, émouvant et drôle aussi. Bravo pour cette histoire hors du commun. Bravo aux acteurs Leïla Bekhti et Jonathan Cohen.

Ce film, tiré d'une histoire vraie, se révèle soigné dans l'ensemble.
Le scénario est assez prenant, avec des émotions marquées. Un mélange habile d'humour et de tristesse est bien présent. Les acteurs sont superbes et insufflent une véritable énergie au récit. Mention spéciale à Leïla Bekhti, qui interprète avec justesse cette mère aimante et pleine d’espoir. La direction artistique, tout comme l’aspect technique, est maîtrisée et apporte du charme à l’ensemble.
Une comédie dramatique intelligente et bien réalisée, même si je m’attendais à un peu mieux.

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le film m'a plu : très touchant et faisant remonter les souvenirs de l'enfance,
de très bons acteurs, convaincants et investis, à voir !

Leila Bekhti est incroyable, à tous ses âges, pour son fils de Naim Naji à Jonathan Cohen, pour la vie du rire aux larmes 🫶

Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan de Ken Scott 👍une comédie inspirée de faits réels au cinéma dès le 19 mars 2025 avec Sylvie Vartan❣️ et des acteurs.trices qui incarnent l'entourage, les proches, les enfants 👏

Merci au Pathé Bellecour pour ce moment d'émotions pour L'avant-première du 5 février 2025.

Une Leïla Bekhti magique, magnifique, somptueuse, charismatique, charmante, bouleversante, magistrale ...
Il n'y a pas assez de mot pour la décrire.
Une mère possessive et étouffante suite à la maladie de son fils.
Tantôt adorable, tantôt détestable mais toujours courageuse.
Le film est extraordinaire, avec énormément d'émotions.
Jonathan Cohen joue très bien et essaye de se sortir tant bien que mal de la spirale d'amour de sa mère.
Leïlla Bekhti est parfaite dans ce rôle et apporte une touche personnelle (lorsqu'elle touche le visage de son enfant et dit : "ça c'est à moi, ça c'est à moi, ça c'est à moi", cette scène n'était pas prévue au scénario mais Leïla le fait avec ses vrais enfants et l'a reproduit instinctivement dans le film).
Tous les traits de son visage, ses rires, ses pleurs, on vit tout cela avec elle.
C'est une relation très extrême et parfois toxique entre sa mère et son fils malade mais on retrouve quand même beaucoup d'humour, de sincérité, d'amour, de passion.
A voir d'urgence

Un film magnifique qui mérite son succès avec une actrice principale qui incarne à fond cette mère juive et un Jonathan Cohen transformé excellent dans ce role qui lui convient parfaitement. Un film qui restera, foncez y!

J'ai reçu une grande claque d'émotion en voyant ce film qui m'a touchée pas tant par l'histoire qui y est racontée mais par l'ambiance qui y règne surtout en première partie. L'auteur nous plonge dans les années 60, ce qui a suscité chez moi, pour les avoir vécues, de vieux souvenirs bercés par les premières chansons de Sylvie Vartan, dont "La Maritza" et "la plus belle pour aller danser". Toujours est-il que le mouchoir ne m'a pas quitté tout au long du film. J'ai trouvé Leila Bekti étonnamment merveilleuse en mère juive. J'aurais pour seule critique négative l'apparition, lors de la scene de son interview, d'une Sylvie quadragénaire rajeunie dont le visage façonné par l'IA dérange et provoque l'effet contraire à celui qu'il était sensé provoquer. Autrement c'est un film à ne surtout pas rater !

Ce film est tiré d’une histoire vraie… je pense que l’auteur du livre a inventé pas mal de choses... Y’a bcp d’incohérences. Mais ce qui me choque le plus c’est de mettre en avant le comportement de la mère comme un comportement d’amour alors que ses comportements relèvent clairement de la maltraitance et de la toxicité !! Déjà quelle image est-ce que ce film renvoie du handicap ? C’est terrible. De plus une mère qui Prive son enfant de son enfance et l’attache à un lit pendant un an et demi sans qu’il ne puisse rien faire, pour que son pied redevienne « normal » ce n’est pas de l’amour, c’est de la maltraitance !!

Quelle fabuleuse histoire ! J'ai été vraiment enchanté par ce petit bijou de délicatesse, miracle (c'est le cas de le dire) de drôlerie et d'émotion. Si la première partie du film qui conte l'enfance de Roland, la détermination de sa mère à faire de lui un enfant "comme les autres" et la découverte de l'icône Sylvie Vartan s'avère nettement plus drôle et palpitante que la seconde, plus dramatique, c'est en grande partie grâce au jeu extraordinaire de Leïla Bekhti, absolument irrésistible en mère courage au tempérament de feu. Elle porte le film sur ses épaules et fait des étincelles, de bout en bout. La reconstitution soignée des années 60 et l'esthétique rétro dans laquelle on aime se lover participent également à l'enchantement visuel du film. Aux côtés de Leïla Bekhti, tous les acteurs sont convaincants, notamment Jeanne Balibar, délicieusement détestable. Jonathan Cohen est quant à lui très juste, mais peut-être moins épatant que ses camarades de jeu et surtout trop vieux pour interpréter un jeune étudiant... Si elle n'est finalement pas le sujet central, on a beaucoup de plaisir à entendre spoiler: (puis voir)
la grande Sylvie Vartan dont la musique régale et berce le spectateur au rythme de ses plus grands succès. spoiler: Il est cependant dommage de ne pas conclure le film par un dernier refrain de "La Maritza", chanson dont l'émotion aurait sans doute touché davantage à ce moment précis.

Dans un esprit proche de "La promesse de l'aube", roman autobiographique de Romain Gary qui narre l'amour et l'emprise d'une mère sur son fils, "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" évoque avec justesse le sentiment maternel et rend hommage à toutes les femmes, celles qui nous aiment et celles qu'on aime, pour leur courage à toute épreuve et pour l'amour, un jour, toujours. Une réussite.

Je m'attendais à un biopic sur Sylvie Vartan, j'ai fini par découvrir l'histoire du maître Roland Perez, de sa mère Esther et l'influence de Sylvie Vartan dans leur vie.

Ce n'est pas la Méthode Williams, mais là Méthode Esther dont on parle ici : son fils, né handicapé avec un pied bot ("pas beau") est selon les médecins condamné à vivre appareillé. Sa mère refuse toute fatalité et prie plusieurs fois par jour en espérant que sa foi produise un miracle. Jusqu'au jour où une rencontre change leur vie.

On parle d'handicap, de la maladie, de l'amour maternel aussi nourrissant qu'envahissant, des conflits culturels, du judaisme et de la vénération de la chanteuse des années 60 avec qui Roland a appris à lire avec les paroles de ses chansons. Plein de sincérité, d'amour, d'affection, d'espoir, ce film ne laisse personne indifférent.

"Un écrivain anglais a dit : dieu ne peut pas être partout, il a alors créé les mères"

Film vu en avant-première. Leïla Bekhti est incroyable dans ce film. Elle endoce le rôle d’une mère à perfection. Je suis passé par toute la palette de l’émotion. Un grand coup de chapeau à l’équipe maquillage. Je conseille ce film à 100 %.

Un bel hommage à toutes les mamans porté par Leïla Bekhti qui est d'une incroyable justesse.
Touchant et parfois même drôle, on ne voit pas le temps passer devant cette adaptation très bien rythmée.

Très surpris par ce film, je comptais ne pas y aller car je trouvais le scénario un peu fade. Mais le film est très efficace, il parvient à nous toucher émotionnellement, à rire aussi de temps en temps.
Prestation de haute volée de Leila Bekhti, Jonathan Cohen s'en tire plutôt bien, même si il y a de grands progrès à faire encore. Petit bémol pour un effet utilisé dans le film mais rien de trop grave finalement.