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H SEVERN
2 abonnés
9 critiques
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0,5
Publiée le 17 juin 2024
Ce film n'est pas un nanard, un nanard cela s'affirme et peux même de venir culte. Alors, navet, daube ? Séduit par une idée de départ somme toute convenue mais prometteuse d'une bonne intrigue je me suis fait avoir comme beaucoup d'autres. Le réal a failli me rendre misophone, certainement le but recherché pour être en phase avec la folie du principal protagoniste. J'ai donc attendu en vain l'infanticide dont je rêvais et tant d'autres choses, ce grand secret connu du père ? des villageois ? les raisons du suicide de la mère, le rôle de l'usine et de ses produits chimiques.
J'en étais donc là quand tout d'un coup comme dans l'examen de philo au bac on vous dit vous avez quatre heures et qu'après avoir écrit quelques lignes vous entendez "c'est terminé rendez vos copies" Clap de fin.
Après navet et daube j'ai purge à vous proposer.
Si quelqu'un a des nouvelles du beau frère, merci de me tenir au courant.
Bon merci aux autres critiques de m'éviter de perdre du temps Je trouvais ce film long et sans ressort Aussi j'attendais un rebondissement Mais ne voyant rien venir Suis venue lire les critiques qui confirment mes doutes J'abandonne
Je pense que le scénariste avait beaucoup d'idées à intégrer dans le film mais n'as pas su comment l'intégrer correctement pour que le film est du sens. Personnellement je n'ai pas réussi à accrocher au film parce qu'il n'a pas de ligne conductrice et qu'au final le scénario se casse la gueule. Le mieux aurait été de le présenter en série, ça aurait peut-être plus clair. J'ai été déçu de la fin qui n'apportait aucune réponse. Je ne recommande pas de regarder ce film.
Un navet intersidéral. Il ne se passe rien. Il n’y a pas d’histoire. On attends que le film démarre mais cela n’arrive jamais. Et dire qu’il y a des producteurs pour payer ce genre de film. Alors qu’il existe certainement des réalisateurs talentueux qui ne trouveront jamais aucun budgets.
Franchement si vous ne voulez pas perdre votre temps, prenez un bon bouquin. Je n'ai jamais vu film autant mal fait: scenario absent, le noir complet du début à la fin, de faut suspens etc. Le vide sidéral. Mais c'est qui ce réalisateur ?
Je ne peux pas dire que j'ai trouvé ce film mauvais mais si j'ai été stressée, c'est uniquement par les pleurs incessants du bébé et non par l'intrigue. Je me suis demandée à quel moment va-t-il s'en débarrasser ?spoiler: L'enquête sur l'usine est une fausse piste qui ne mène à rien. C'est juste un élément perturbateur qui vient s'ajouter au traumatisme de l'enfance et au rejet du père. Pas de maison hantée, pas de cadavres sous le parquet ....rien !
La fin ne nous dédommage même pas d'être resté jusqu'au bout !
Mauvais, aucune action, pas de finalité. Il ne se passe rien et on apprend rien, on ne rentre pas dedans, on ne s'accroche pas aux personnages, on ne les déteste pas non plus. Malgré de beaux plans et une belle façon de filmer, cela ne suffit pas à combler le vide qui tapisse tout le reste de ce film.
Comment peut on faire une fin aussi nulle. L'histoire aurait pu être captivante mais c'est navrant de perdre 1h30 à attendre une intrigue qui n'existe pas... J'ai quand même mis une étoile car le bébé est adorable même s'il pleure la nuit
Mais comment est ce possible de réaliser et produire une bouse pareille ? Pas de début, pas de fin, pas de milieu. Rien le vide sidéral. Incroyable de nullité
Perplexe. Un film sans explication à la "Mulloland drive" ou "meurtre dans un jardin anglais". Je vais en risquer une, sans garantie. Le parti pris du film semble être une recherche du père du personnage principal, Mathias. Mais cette quête se trompe d'objet. Il cherche à dévoiler un mystère caché sur l'explosion de l'usine où travaillait jadis son père, qui sombre peu à peu dans la sénilité. On apprend assez tard que ce père a toujours rejeté Mathias, depuis le suicide de sa mère, peu après sa naissance. Et qu'il regrette de l'avoir sauvé plutôt que sa mère. Matthias se jette à corps perdu dans ses recherches sur l'accident, persuadé que le mystère se trouve dans le labyrinthe des sous-sols de l'usine, qui rejoignent quasiment la villa. Son enquête devient une obsession, qui le conduit proche de la folie et de la destruction de son couple. Parallèlement, il supporte de moins en moins les pleurs de son bébé, qui a sensiblement le même âge que lui au décès de sa mère. Toute la symbolique est en place. En cherchant la vérité sur l'accident de l'usine et à dévoiler le complot qui aurait réduit son père au silence, Mathias cherche en fait sa propre histoire. Il veut littéralement 'exhumer les cadavres de leur histoire, et son enquête est en réalité une quête d'identité. Jusqu'au moment où la réalité rejoindra les arcanes de psychologie douloureuse de ce trio :Mathias, père, femme. Mathias sera sauvé de la noyade, et les dernières images laissent penser de la folie, par les mains tendues de sa femme et de son père, qui assume cette fois son geste de l'avoir sauvé. Le silence final nous indique l'apaisement enfin revenu. Alambiqué.
Il y avait pourtant plein de bonnes intentions dans ce film. Malheureusement, trop dense, il n’en exploite pas une seule correctement. Que ce soit le stress post-natal du père, son enquête sur une catastrophe ayant eu lieu dans l’usine de son père, le récit n’est jamais capable d’aller au bout de ses idées et préfère accumuler des effets de style horrifiques déplacés et inutiles.
Il avait du potentiel ce film flamand distribué sur la plateforme au N rouge. Mais comme beaucoup des séries B qui s’y trouvent, elle manque terriblement de rigueur et de finitions. Et c’est donc encore une fois, un film au potentiel et au postulat intrigant et stimulant qui se révèle au final tristement décevant. C’est comme si le seul but des productions Netflix était d’attirer le spectateur, peu importe la qualité de ce qu’il va lui présenter. Et c’est bien dommage. L’histoire de ce jeune couple venant habiter dans l’immense et somptueux manoir familial du père du conjoint avec des évènements étranges à la clé n’avait rien de transcendant, il faut en convenir. Mais la nationalité du film - les films fantastiques flamands étant plutôt une rareté – et l’ajout dans le script du facteur bruit comme perturbateur ainsi que les secrets enfouis de l’ancienne entreprise familiale promettaient une éventuelle bonne surprise.
Las, il faudra surtout se faire à l’idée que « Noise » est le genre de productions qui braconne sur plein de pistes et d’idées pour finalement n’en traiter aucune convenablement et, pire, n’en solutionner aucune. C’est-à-dire qu’à la fin, on se retrouve face à une histoire qui n’explique rien de ce qui s’est passé en plus de ne dresser aucun pont entre toutes ses sous-intrigues qui auraient pourtant et logiquement dues être reliées. Quel est donc le rapport entre les soudaines allergies viscérales a tous types de bruits de la part du père (et notamment les cris de nourrisson) avec les morts qu’il y a eu dans l’entreprise du patriarche dans le passé et le suicide de sa mère? On n’en saura jamais rien. Et c’est ainsi pour quasiment tout ce qui va se passer à l’écran à tel point qu’on se demande si les scénaristes et le réalisateur ne se sont pas payés notre tête ou si des scènes ne se sont pas volatilisées au montage. Des idées, des pistes, des ouvertures, ... Qui ne mènent à rien!
Heureusement, le cadre champêtre et solaire de l’histoire lui confère une atmosphère peu commune et la manière assez stylisée dont le metteur en scène la filme permet de ne pas trop rager sur le vide et le laisser-aller du reste concernant le fond. De plus, il faut noter que l’interprétation est vraiment de qualité, ce qui joue beaucoup aussi sur la tolérance que l’on peut développer à l’égard de « Noise ». Le duo principal est très juste, que ce soit Simon d’Huyvetter dans la folie ou Katelyjne Damen dans l’inquiétude : ils sont d’une justesse indéniable. Il n’empêche, si ce film sait se faire intrigant dans ses prémisses et qu’il peut faire illusion un moment, c’est surtout à une œuvre inaboutie et inachevée dans son écriture, qui ressemble plus à une mauvaise blague, à laquelle on a affaire ici.
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