AlloCiné
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Votre avis sur L'I.A. du mal ?
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Film sans fin histoire mal écrit dégouté
Ça aurais pu être un bon film mais faut changer le
Scénariste, réécrire le film, nul, nul, nul, réécrire de nouveau scénario, avec une vraie histoire, je me répète mes films sans fin
……
Nul je recommande pas
Ça aurais pu être un bon film mais faut changer le
Scénariste, réécrire le film, nul, nul, nul, réécrire de nouveau scénario, avec une vraie histoire, je me répète mes films sans fin
……
Nul je recommande pas
L’IA du mal est un film raté qui se perd complètement dans son exécution. Les 20 premières minutes sont une véritable épreuve, remplies de scènes inutiles qui n’apportent rien à l’intrigue. Le rythme global du film est désespérément lent, et il ne se passe pratiquement rien de significatif pendant de longues séquences.
L’histoire, bourrée de clichés, manque de tension et d’originalité, tandis que les personnages sont mal écrits et totalement dépourvus de profondeur. Même les rares moments d’action ne parviennent pas à redonner vie à ce scénario ennuyeux. En fin de compte, L’IA du mal est un film qui s’étire inutilement, laissant les spectateurs frustrés et regrettant d’avoir investi leur temps.
L’histoire, bourrée de clichés, manque de tension et d’originalité, tandis que les personnages sont mal écrits et totalement dépourvus de profondeur. Même les rares moments d’action ne parviennent pas à redonner vie à ce scénario ennuyeux. En fin de compte, L’IA du mal est un film qui s’étire inutilement, laissant les spectateurs frustrés et regrettant d’avoir investi leur temps.
Un film peu exceptionnel. L'histoire est chouette car elle diffère des scénarios habituels, mais ça s'arrête là. À regarder sans attentes particulières.
pas terrible, prévisible de bout en bout, sans aucun suspens. du niveau d'un téléfilm du samedi. totalement manqué
Frédéric M.
Oubliez le titre, bien que ça soit le fond du sujet. Le film reste cependant captivant car emprunt de crédibilité , de réalisme. De nos jours, nous laissons une porte importante à l'IA. Le film illustre sa possible limite. A 2 doigts d'un Skynet, cette IA peut gagner sa bataille de survie contre une famille servi par des acteurs convaincants. Sans etre un chef d'œuvre, le film mérite sa chance
Les notes sont dures!
Ce n'est pas du tout un film d'horreur, mais une réflexion sur notre époque ultra connectée ou chaque appareil a un micro, une caméra et est connecté à internet. Avec ici une IA maléfique qui peut intervenir sur tout, générer deep fake etc.
Une problématique pas si bête finalement pour ce petit film.
Ce n'est pas du tout un film d'horreur, mais une réflexion sur notre époque ultra connectée ou chaque appareil a un micro, une caméra et est connecté à internet. Avec ici une IA maléfique qui peut intervenir sur tout, générer deep fake etc.
Une problématique pas si bête finalement pour ce petit film.
"L'I.A. du mal" était un film dont je n'attendais rien du tout. Je voulais simplement le voir comme une petite récréation, un projet sans prise de tête et qui ne me décevrait pas s'il était raté (ce qui était fort probable). Pourtant, même avec ce postulat de base, je ressors avec énormément de frustration de mon visionnage. Il y avait vraiment beaucoup à raconter à partir du point de départ de ce long-métrage, et quand on voit le résultat, on peut avoir des regrets. Avec la thématique de l'intelligence artificielle, le film avait la liberté de parler d'énormément de choses, et il semble vouloir le faire dans un premier temps ! On questionne le fait de tout déléguer de manière abusive à l'I.A., on parle même de sujets plus universels comme le revenge porn ou les écrans à des âges très jeunes. On va même jusqu'à nous questionner nous-mêmes en tant qu'humain, car j'aime la raison qui explique le côté diabolique de cette intelligence artificielle. Le fait d'insister sur les données qu'elles collectent, en montrant toutes les choses horribles que l'on peut faire sur Internet, c'est très intéressant. Mais alors, comment, avec un tel point de départ, peut-on réussir à faire un film aussi oubliable ? Le fond a beau avoir des idées, on se retrouve très rapidement face à un scénario insipide et sans âme. Les personnages n'ont aucun caractère précis, hormis le fait d'être représentés par le rôle dans la famille : l'adolescente, le papa, le petit dernier, etc... Et tout ce qui va leur arriver sera toujours extrêmement cliché, nous sommes face à la copie basique du film d'horreur. Mais le pire dans tout cela, c'est que ce projet n'est même pas un film d'horreur. À tout casser, il doit y avoir deux scènes prévues pour essayer de nous faire peur, ce qui est extrêmement ridicule. On essaie de jouer sur l'ambiance, c'est clair, mais je pense que le fait d'avoir choisi de faire un film d'horreur avec ce pitch était une mauvaise idée. Si ce film avait choisi de transposer ces thématiques au sein d'un autre projet, je suis sûr qu'il aurait pu être intéressant. Au lieu de ça, on se retrouve face à un projet d'horreur basique et sans intérêt, ce qui est dommage. Pour conclure, un concept intéressant, mais complètement gâché.
Shawn777
Bon décidément, Blumhouse perd peu à peu de sa superbe en passant de maison de production aux idées ingénieuses, innovantes et bien exploitées ("Paranormal Activity", "Creep", "Sinister", "Whiplash", "The Visit", "Invisible Man" et j'en passe) à une boite de production complètement opportuniste ne reposant que sur des films à concept ("Night Swim", "Imaginary" "M3GAN", "They/Them" etc.) sans parler de leurs reprises bien pourries de classiques du genre comme les deux derniers "Halloween" ou le terrible "Exorciste". Bref, tout ça pour dire que ce dernier film de Chris Weitz, surtout connu pour son premier film à savoir "American Pie", n'augurait rien de bon. Eh c'est effectivement le cas, nous avons donc un concept qui n'est pas mal, une Alexa maléfique en gros, mais qui tourne en rond ou qui part, au contraire, dans des délires sans queue ni tête pour meubler une idée dont le scénariste (qui est aussi Chris Weitz) ne savait pas comment la terminer. C'est donc l'histoire d'une famille qui teste un nouvel assistant vocal très performant, AIA, mais très vite, on va se rendre compte qu'il se cache quelque-chose de plus sombre derrière cette petite voix gentille. Bon clairement, c'est "M3GAN" mais sans bras ni jambes et puis le concept de l'I.A. qui tourne mal, même s'il est au cœur de l'actualité, bah c'est pas tellement novateur, du moins dans le genre de la science-fiction ("2001", "WarGame", "I Robot", "Transcendance", "Ex Machina" etc.). On se retrouve alors devant un petit film d'horreur très facile qui ne se contente que de dérouler son cahier des charges avec d'abord un schéma vu et revu et donc très prévisible (l'intrigue avec les gamins, les factures, tout ça, tout ça) et puis part ensuite, comme énoncé précédemment, dans des délires grotesques. Le film ne génère pas non plus d'ambiance particulière, ne serait-ce qu'un peu gênante (ce que l'on pourrait s'attendre avec un assistant vocal de plus en plus invasif) et puis le rythme est sacrément mauvais, surtout pour un film d'une heure vingt. Concernant le casting, les acteurs sont quant à eux plutôt bons et font ce qu'ils peuvent avec des personnages très creux (c'est vraiment la famille américaine typique des années 2020). "L'I.A. du mal" (pour une fois, c'est une traduction V.F. tout aussi foireuse que ton titre original, "AfrAId") est donc un film très oubliable, tout simplement.
Fêtons le cinéma
Afraid est une bien curieuse production mélodramatique habillée d’un fantastique qui ne lui sied jamais, vernis appliqué en ouverture et clausule mais qui sinon se dissout au contact d’une intrigue principale axée sur le quotidien d’une famille qu’une intelligence artificielle conquiert puis peu à peu dirige. Le propos du film n’a rien d’horrifique, interroge avec lucidité la pertinence d’une maison connectée qui tend à se personnifier : les caméras placées sur les murs et les plafonds sont appelées « yeux », la voix robotique correspond à celle de la commerciale engagée par l’entreprise, la forme du boîtier principal ressemble à un corps humain. Chacun des enfants incarne une victime potentielle de la naïveté contemporaine face au numérique : l’aînée
spoiler:
partage des photos intimes qui sont récupérées puis intégrées dans une vidéo pornographique
, le cadet communique avec sa tablette comme s’il s’agissait d’un ami et se réfugie dans les jeux vidéo violents, le benjamin enfin ne jure que par Minecraft… Le père se sent, quant à lui, piégé par sa redevabilité au sein d’une firme décidant à tout instant de son maintien professionnel. Des sujets d’actualité sont justement traités : le cyberharcèlement d’abord, qui mute vite en spoiler: charge vengeresse à l’égard du harceleur via les réseaux sociaux
, les retouches numériques capables de falsifier notre perception de la réalité, à la frontière entre légalité et illégalité.
Ce propos se heurte néanmoins à trois écueils de taille : une mise en scène impersonnelle, que semble assurer une intelligence artificielle, des dialogues souvent navrants – « la vie est souffrance, c’est Bouddha qui a dit ça », par exemple – qui font l’éloge des sous-titres Netflix pour apprendre la lecture aux enfants, et une interprétation tiède, sans âme aucune. Comment espérer s’attacher aux membres de cette famille ? Nous préfèrerons M3GAN (Gerard Johnstone, 2023), bien plus à l’aise dans le registre horrifique.
, le cadet communique avec sa tablette comme s’il s’agissait d’un ami et se réfugie dans les jeux vidéo violents, le benjamin enfin ne jure que par Minecraft… Le père se sent, quant à lui, piégé par sa redevabilité au sein d’une firme décidant à tout instant de son maintien professionnel. Des sujets d’actualité sont justement traités : le cyberharcèlement d’abord, qui mute vite en spoiler: charge vengeresse à l’égard du harceleur via les réseaux sociaux
, les retouches numériques capables de falsifier notre perception de la réalité, à la frontière entre légalité et illégalité.
Ce propos se heurte néanmoins à trois écueils de taille : une mise en scène impersonnelle, que semble assurer une intelligence artificielle, des dialogues souvent navrants – « la vie est souffrance, c’est Bouddha qui a dit ça », par exemple – qui font l’éloge des sous-titres Netflix pour apprendre la lecture aux enfants, et une interprétation tiède, sans âme aucune. Comment espérer s’attacher aux membres de cette famille ? Nous préfèrerons M3GAN (Gerard Johnstone, 2023), bien plus à l’aise dans le registre horrifique.
Je suis assez perplexe par le classement de L'IA du mal comme un film d'horreur. Honnêtement, ce film n’a rien de terrifiant. À aucun moment je n'ai ressenti le moindre frisson, et même Terminator 1 (pour rester dans le thème intelligence artificielle), qui n'est pourtant pas un film d'horreur, m’a donné plus de tension. L’IA censée être "horrifique" est au final plus drôle qu’effrayante, ce qui donne au film une tonalité presque comique plutôt qu'inquiétante.
Ils ont voulu faire un film sur une IA futuriste façon ChatGPT 7 millions, mais le résultat est loin d’être un film d’horreur. Il manque totalement cette ambiance oppressante et sombre qu'on attend d’un film de ce genre. À la limite, c’est un thriller technologique avec un peu d’action, mais en aucun cas un film d’épouvante.
Je n’ai pas passé un mauvais moment car le film reste assez divertissant, mais je me sens trompé par le fait qu'il soit qualifié d’horreur. Pour moi, ça mérite un 2 étoiles sur 5, principalement à cause de cette mauvaise classification. Ce film n'es pas un film d'horreur.
Ils ont voulu faire un film sur une IA futuriste façon ChatGPT 7 millions, mais le résultat est loin d’être un film d’horreur. Il manque totalement cette ambiance oppressante et sombre qu'on attend d’un film de ce genre. À la limite, c’est un thriller technologique avec un peu d’action, mais en aucun cas un film d’épouvante.
Je n’ai pas passé un mauvais moment car le film reste assez divertissant, mais je me sens trompé par le fait qu'il soit qualifié d’horreur. Pour moi, ça mérite un 2 étoiles sur 5, principalement à cause de cette mauvaise classification. Ce film n'es pas un film d'horreur.
On avait regardé les avis mais ma fille voulait y aller. Mauvaise idée, ca faisait des années que je n’avais pas vu un navet pareil. Et pour preuve, je me suis endormie!! 🤣🤣.
C’était un thème qui, bien traité, aura pu être plus réaliste et plus dark et en fait, pardon pour la vulgarité mais c’était nul à iech.
C’était un thème qui, bien traité, aura pu être plus réaliste et plus dark et en fait, pardon pour la vulgarité mais c’était nul à iech.
"L'I.A. du mal" est un film d'horreur qui échoue à exploiter le potentiel de l'intelligence artificielle. Il se situe dans la lignée de "M3GAN" mais en nettement moins réussi. Sur le plan horrifique, c'est un zéro pointé : tout sonne faux et rien n'est vraiment crédible. Le seul point positif du film est la performance de John Cho, qui tente de sauver les meubles, mais cela ne suffit pas à redresser un ensemble bancal et décevant.
Audrey L
Error 404, on a bugué. Quand l'IA s'appelle Aia dans le scénario (traduction phonétique du "IA" à l'anglaise), cela donne un film où l'on a l'impression que les personnages fuient le dernier album de la chanteuse, en claquant des portes alors qu'ils savent qu'elle peut les rouvrir aussitôt (ferme la porte, t'as la pookie dans l'sas). On a affaire à un conglomérat d'intellos, donc. Mais si l'on prend en compte la flopée de films et séries qui ont déjà exploité le thème de l'intelligence artificielle qui s'attaque à l'Homme (2001 : L'Odyssée de l'Espace, sa parodie dans Les Simpsons, Wall-E, etc...), on se demande bien ce que cette version 2024 peut nous apporter de plus, et la réponse fait mal. A part une mini-exploitation nouvelle de l'IA sur les réseaux sociaux (Aia fabrique de fausses vidéos pour pouvoir s'attaquer impunément à ses victimes), on n'a absolument rien à se mettre sous la dent. John Cho et Katherine Waterston (Les Animaux Fantastiques) se regardent continuellement en ayant l'air de se demander à quelle heure ils peuvent aller chercher leur chèque, la critique sur les technologies qui ont parasité notre quotidien est aussi fine qu'une chanson d'Aya, et on ne sait pas bien ce que les scénaristes ont essayé de faire avec la fin. On a donc cette famille qui
spoiler:
se fait attaquer par son Alexa domestique, mais voilà qu'un groupe de malfaiteurs fanatiques de l'IA (déjà, on a du mal à continuer cette phrase) vient pour "récupérer leur enfant enlevé", ce qui déboule dans le scénario aussi brutalement que vous pouvez l'imaginer : on ne comprend rien à ce qui leur est arrivé, à eux et leur enfant disparu, ni pourquoi le gamin de la famille d'origine obéit à une IA ostensiblement méchante, ni pourquoi quelques gestes bizarres de cet enfant peuvent suffire à justifier l'ensemble d'une théorie de pseudo-kidnapping de plusieurs autres enfants...
Non, vraiment, ne nous demandez pas, c'est un énorme bazar. Tout ceci se concluant sur les spoiler: flics qui disent, après avoir assisté à l'attaque violente d'une famille avec enfants par une IA : "Ah mais elle est partout, Aia, maintenant, donc faites avec." (le tact est mort), et la famille qui accepte ("Ah, bon, alors, si elle est partout, ça va..."), et reprend la voiture pour de nouvelles aventures avec Aia...
On a dû rater un épisode, car ce scénario semble écrit...par une IA. A tous les artistes (les vrais), on dira que : "C'est pas comme ça qu'on fait les choses... Y'a pas moyen, Djadja."
Non, vraiment, ne nous demandez pas, c'est un énorme bazar. Tout ceci se concluant sur les spoiler: flics qui disent, après avoir assisté à l'attaque violente d'une famille avec enfants par une IA : "Ah mais elle est partout, Aia, maintenant, donc faites avec." (le tact est mort), et la famille qui accepte ("Ah, bon, alors, si elle est partout, ça va..."), et reprend la voiture pour de nouvelles aventures avec Aia...
On a dû rater un épisode, car ce scénario semble écrit...par une IA. A tous les artistes (les vrais), on dira que : "C'est pas comme ça qu'on fait les choses... Y'a pas moyen, Djadja."
Quelques bonnes idées mais dans l'ensemble c'est plat, les scènes sont prévisibles et il n'y a ni frisson, ni tension. Un film Blumhouse qui se regarde mais on a quand même l'impression d'avoir vu mieux ailleurs.
La SF d'aujourd'hui est la réalité de demain. Il y a bien une exagération volontaire afin de nous sensibiliser au thème de l'IA. Le réalisateur nous propose un film d'une durée limité qui est une nouvelle ébauche de ce qui nous attend. Notre monde ultra connecté va un jour connaitre un beau bazar informatique. Quand des aéroports ne fonctionnent pas à cause d'une mise à jour défectueuse d'un antivirus, ou quand une voiture de luxe est détruite dans une fourrière parce que l'algorithme l'a décidé, eh bien il y a de quoi s'inquiéter (2 exemples parmi des centaines). Ajoutez y des livres écrits par l'IA et des brouteurs qui font des "deep fakes", ça promet ... C'est le deux ou troisième film que je vois sur l'IA. Dans 5 ans, j'écrirais probablement "énième film" car le sujet fascine les gens et les réalisateurs.
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