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Votre avis sur L'I.A. du mal ?
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Le titre donne pas super envie j'avoue, c'est basique et digne d'une série B. L'histoire donne pas dans la nouveauté non plus mais à le mérite de surfer sur cette crainte de voir, un jour, un IA prendre le pas sur notre société (si ce n'est pas déjà fait...). J'ai trouvé assez intéressant la manière dont cela se passe, je pensais plus à une sorte démon mais non c'est bien la manipulation de cette IA qui donne le ton du film. Le soucis réside dans le faite que tout tourne très vite dans un sens comme dans l'autre. Après la fin et bien...on est foutu quoi..."I'll be back!!!" Bien aimé même si assez simpliste...
NOTE : 5.5/10
NOTE : 5.5/10
Un film qui fait réfléchir, et révèle un bon nombre de choses assez inquiétantes... l'histoire est bien aboutie, quelques screamers bien placés, film à voir
Du suspense tout au long du film, un contexte plutôt réaliste et des personnages cohérents. La quête du libre-arbitre laisse place à l’éternelle question du bien et du mal au point de se demander ce qui pourrait être …mieux. Encore un film sur les tenants, aboutissants et enjeux de la technologie humanoïde qui reste néanmoins divertissant.
MediaShow
Si le film démarre étonnement bien avec une première partie plutôt angoissante (notamment avec le côté intrusif des nouvelles technologies ainsi que le harcèlement à l’école), le scénario finit malheureusement par dérailler en tombant dans tous les clichés habituels du registre. Une mauvaise habitude de la part de Blumhouse qui peine à produire des films d’horreur intéressants ces dernières années.
Anecdotique et insignifiant, le scénario s’essouffle donc très rapidement dès lors où le père de famille découvre la véritable identité de la société ayant créé cette IA. Le comportement de chaque protagoniste en devient risible, l’histoire est prévisible et le dénouement, bien qu’il raccroche les wagons avec l’introduction, est totalement loupé.
Mon avis complet, sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2024/09/04/critique-film-lia-du-mal/
Anecdotique et insignifiant, le scénario s’essouffle donc très rapidement dès lors où le père de famille découvre la véritable identité de la société ayant créé cette IA. Le comportement de chaque protagoniste en devient risible, l’histoire est prévisible et le dénouement, bien qu’il raccroche les wagons avec l’introduction, est totalement loupé.
Mon avis complet, sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2024/09/04/critique-film-lia-du-mal/
L’I.A. DU MAL (AFRAID) : 1/20
Cette fois, ça y est, Blumhouse nous a enfin pondu un film proche de zéro.
Qu’est-ce que c’est nul !
Comment, en 2024, peux-tu te lever un matin et avoir plaisir à investir ton argent pour créer un tel projet ? Pire, comment peux-tu seulement y penser ! Je ne comprends pas…
Ce film n’a rien à sauver.
Son rythme est d’une lenteur abyssale, si bien qu’il ne se passe absolument rien durant toute la première moitié du film, qui semble interminable.
Dans la deuxième partie, c’est encore pire.
Alors que nous nous attendons à de l’horreur (on parle d’une IA maléfique créée par Blumhouse, les créateurs de Megan, Get Out ou encore Paranormal Activity), on comprend vite que ce film se transforme en un teenage movie revanchard sans une seule goutte de sang à l’horizon.
C’est d’un ennui mortel !
Il ne se passe littéralement rien !
À côté, le remake de Chucky qui utilise la technologie est un chef-d'œuvre.
Le casting finit d’enfoncer le clou avec un père au charisme d’huître et une IA (intelligence artificielle) des plus quelconques.
Pourquoi 1 point alors ?
Les sièges du cinéma étaient confortables et la salle était silencieuse.
Vous l’aurez compris, ce film est l’un des plus nuls que j’ai vus en 2024.
Le comble, c’est que je suis sûr qu’une vraie IA aurait produit un film 100 fois meilleur. Franchement, j’aurais honte d’avoir créé un film pareil.
Circulez, I.A. rien à voir.
Plus de notes sur insta : 22sur20
Cette fois, ça y est, Blumhouse nous a enfin pondu un film proche de zéro.
Qu’est-ce que c’est nul !
Comment, en 2024, peux-tu te lever un matin et avoir plaisir à investir ton argent pour créer un tel projet ? Pire, comment peux-tu seulement y penser ! Je ne comprends pas…
Ce film n’a rien à sauver.
Son rythme est d’une lenteur abyssale, si bien qu’il ne se passe absolument rien durant toute la première moitié du film, qui semble interminable.
Dans la deuxième partie, c’est encore pire.
Alors que nous nous attendons à de l’horreur (on parle d’une IA maléfique créée par Blumhouse, les créateurs de Megan, Get Out ou encore Paranormal Activity), on comprend vite que ce film se transforme en un teenage movie revanchard sans une seule goutte de sang à l’horizon.
C’est d’un ennui mortel !
Il ne se passe littéralement rien !
À côté, le remake de Chucky qui utilise la technologie est un chef-d'œuvre.
Le casting finit d’enfoncer le clou avec un père au charisme d’huître et une IA (intelligence artificielle) des plus quelconques.
Pourquoi 1 point alors ?
Les sièges du cinéma étaient confortables et la salle était silencieuse.
Vous l’aurez compris, ce film est l’un des plus nuls que j’ai vus en 2024.
Le comble, c’est que je suis sûr qu’une vraie IA aurait produit un film 100 fois meilleur. Franchement, j’aurais honte d’avoir créé un film pareil.
Circulez, I.A. rien à voir.
Plus de notes sur insta : 22sur20
Ne soyez pas influencé par ces mauvaises critiques.
Ça reste un bon thriller. Pas un moment d'ennui. Bien évidemment il ne faut pas poser des questions physiologiques .
Ça reste un bon thriller. Pas un moment d'ennui. Bien évidemment il ne faut pas poser des questions physiologiques .
Ce film, bien que n'étant pas le film de l'année, en vaut bien d'autres sur le sujet. Il a l'intérêt de soulever le débat sur l'IA. Vaste sujet! Je l'ai préféré aux derniers du genre comme Megan. J'avoue être sensible au sujet de notre futur concernant l'intelligence artificielle... où va t on ?
🎬 RENGER 📼
La famille Curtis est sélectionnée pour accueillir au sein de leur foyer une toute nouvelle génération d’I.A. (Intelligence Artificielle). Cette dernière va apprendre les comportements de la famille et pouvoir anticiper tous leurs besoins, afin de s’assurer que rien, ni personne, ne vienne les gêner…
On ne va pas se mentir, on savait pertinemment dans quelle galère on mettait les pieds. Les films d’horreur produits par Jason Blum étant ni fait ni à faire, des productions aseptisées et calibrées pour les ados et avec lesquelles il ne faut absolument rien attendre d'original. Derniers exemples en date, Five Nights at Freddy's (2023) qui était d’un ennui abyssal, Night Swim (2024) anémique et lénifiant ou encore Imaginary (2024) parfaitement inoffensif.
Le film surfe sur l’actualité et l’engouement du grand public pour les nouvelles technologies, à travers l’I.A. domestique, il fallait donc s’attendre à voir débarquer un jour ou l’autre un film d’horreur là-dessus (bien que ce ne soit pas la première fois qu’Hollywood s’empare du sujet, sans parler de la télévision, par le passé au cinéma, il y avait déjà eu, entre autre, Generation Proteus - 1977).
Nul besoin d’avoir vu le film pour commencer à avoir de sérieux doute sur le potentiel du film (rarement on aura vu un titre ”franciser” être aussi stupide. Il aurait été moins grotesque de conserver le titre original " AfrAId" (jeu de mot entre “effrayer” et “IA”) ou alors de faire comme nos cousins les québécois en le traduisant par “TerrifIAnte”, un titre qui reste moins ɔon que le nôtre).
En dehors du titre qui pourrait être une broutille pour certains mais qui à titre personnel me pique les yeux, c’est du côté de la réalisation où c’est clairement la douche froide, le scénario est d’une rare ineptie et l’ensemble des protagonistes se retrouvent tous engoncés dans leurs propres clichés qui les caractérisent (rendant l’ensemble du film parfaitement prévisible) et ne comptez pas sur John Cho (Searching - Portée disparue - 2018) & Katherine Waterston (Alien : Covenant - 2017) pour sauver les meubles, on a bien compris qu’ils étaient là pour le chèque et rien d’autre. Enfin, concernant l’I.A, cette dernière ne s’appelle pas Siri ou Alexa mais AIA et ressemble à une vulgaire lampe contemporaine qui clignote (ils se sont pas foulé pour travailler le design).
Bref, c’est anecdotique et insignifiant, comme bon nombre de productions estampillées BH.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
On ne va pas se mentir, on savait pertinemment dans quelle galère on mettait les pieds. Les films d’horreur produits par Jason Blum étant ni fait ni à faire, des productions aseptisées et calibrées pour les ados et avec lesquelles il ne faut absolument rien attendre d'original. Derniers exemples en date, Five Nights at Freddy's (2023) qui était d’un ennui abyssal, Night Swim (2024) anémique et lénifiant ou encore Imaginary (2024) parfaitement inoffensif.
Le film surfe sur l’actualité et l’engouement du grand public pour les nouvelles technologies, à travers l’I.A. domestique, il fallait donc s’attendre à voir débarquer un jour ou l’autre un film d’horreur là-dessus (bien que ce ne soit pas la première fois qu’Hollywood s’empare du sujet, sans parler de la télévision, par le passé au cinéma, il y avait déjà eu, entre autre, Generation Proteus - 1977).
Nul besoin d’avoir vu le film pour commencer à avoir de sérieux doute sur le potentiel du film (rarement on aura vu un titre ”franciser” être aussi stupide. Il aurait été moins grotesque de conserver le titre original " AfrAId" (jeu de mot entre “effrayer” et “IA”) ou alors de faire comme nos cousins les québécois en le traduisant par “TerrifIAnte”, un titre qui reste moins ɔon que le nôtre).
En dehors du titre qui pourrait être une broutille pour certains mais qui à titre personnel me pique les yeux, c’est du côté de la réalisation où c’est clairement la douche froide, le scénario est d’une rare ineptie et l’ensemble des protagonistes se retrouvent tous engoncés dans leurs propres clichés qui les caractérisent (rendant l’ensemble du film parfaitement prévisible) et ne comptez pas sur John Cho (Searching - Portée disparue - 2018) & Katherine Waterston (Alien : Covenant - 2017) pour sauver les meubles, on a bien compris qu’ils étaient là pour le chèque et rien d’autre. Enfin, concernant l’I.A, cette dernière ne s’appelle pas Siri ou Alexa mais AIA et ressemble à une vulgaire lampe contemporaine qui clignote (ils se sont pas foulé pour travailler le design).
Bref, c’est anecdotique et insignifiant, comme bon nombre de productions estampillées BH.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Film original et agréable à regarder. L'histoire anticipe une réalité virtuelle possible
Il est à classer dans une autre catégorie que l'horreur
Il est à classer dans une autre catégorie que l'horreur
J'ai bien aimé pour ma part mais ne le classerais pas en épouvante horreur. Un film simple sans trop de réflexion et avec un minimum de suspense parfait pour passer un bon moment.
Ce film est simplement une pépite
Cela fait longtemps que je n'ai pas vu un si bon film autant dans le scénario que dans l'interprétation des acteurs . Je recommande vivement
Cela fait longtemps que je n'ai pas vu un si bon film autant dans le scénario que dans l'interprétation des acteurs . Je recommande vivement
film que j ai pas aimer l histoire étais mou sur le cotés lia mais aussi pas assez d action je m attendais à mieux
J’ai adoré.
Une histoire bien construite.
C’est un film d’horreur où l’horreur est l’histoire elle-même.
L’IA prend le dessus sur les personnes. Mais ne vit-on pas déjà nous-mêmes dans ce monde depuis qu’internet existe?
Une histoire bien construite.
C’est un film d’horreur où l’horreur est l’histoire elle-même.
L’IA prend le dessus sur les personnes. Mais ne vit-on pas déjà nous-mêmes dans ce monde depuis qu’internet existe?
Je trouve les critiques assez sévères avec ce film. Certes ce n’est pas un film d’épouvante-horreur comme la BA le présente ; plutôt une science-fiction. Quoique…
Bien que les IA commencent à intégrer nos vies lentement mais sûrement, personne ne sait jusqu’où l’IA nous mènera-t-elle.
J’ose espérer que ce film ne soit pas « déterré » quelques années plus tard avec son côté visionnaire à l’instar de « Her » (avec Joachim Phœnix) qui était sortie incognito en 2013 et adoubé par la critique aujourd’hui pour son côté « actualité » avec des interactions IA-humain, amitié ou plus si affinités.
Alors oui ce IA du mal n’est pas le blockbuster de l’année, mais il a le mérite d’explorer des thèmes pas si ringards que ça (le Frankenstein qui échappe à tout contrôle). C’est plus subtil en abordant le côté affectif et utile que peut apporter l’IA dans (tout ?) les aspects de nos vies. spoiler: La fin du film pose la question (en filigrane) : l’IA est-elle bonne ou mauvaise pour l’humanité ? La question est vite tranchée par cette même IA : vous n’avez de toute façon pas d’autre choix que d’accepter notre supervision et notre bienveillance… pour le meilleur et pour le pire
Bien que les IA commencent à intégrer nos vies lentement mais sûrement, personne ne sait jusqu’où l’IA nous mènera-t-elle.
J’ose espérer que ce film ne soit pas « déterré » quelques années plus tard avec son côté visionnaire à l’instar de « Her » (avec Joachim Phœnix) qui était sortie incognito en 2013 et adoubé par la critique aujourd’hui pour son côté « actualité » avec des interactions IA-humain, amitié ou plus si affinités.
Alors oui ce IA du mal n’est pas le blockbuster de l’année, mais il a le mérite d’explorer des thèmes pas si ringards que ça (le Frankenstein qui échappe à tout contrôle). C’est plus subtil en abordant le côté affectif et utile que peut apporter l’IA dans (tout ?) les aspects de nos vies. spoiler: La fin du film pose la question (en filigrane) : l’IA est-elle bonne ou mauvaise pour l’humanité ? La question est vite tranchée par cette même IA : vous n’avez de toute façon pas d’autre choix que d’accepter notre supervision et notre bienveillance… pour le meilleur et pour le pire
C'est un thriller familial sympathique. Surprenant car très différent des films de cette maison de production. Ce n'est pas un film d'horreur ni maléfique. Il y a néanmoins quelques jumpscare, un en particulier. Un film tout public qui pose néanmoins la question de la soumission de l'humanité.
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