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    L'I.A. du mal
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    1,8
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    79 critiques spectateurs

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    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 août 2024
    Probable challenger au titre VF le plus subtil de l'année (la VO ne fait pas mieux pour une fois avec son "AfrAId") "L'I.A. du mal" est une extension de l'univers du déjà pas très fameux "Megan" et de sa poupée high-tech meurtrière, chargé de nous terrifier avec les nouvelles technologies. Comme si absolument aucune fiction n'avait déjà utilisé ce point de départ depuis des dizaines d'années (un certain HAL qu'un scénariste se permet de citer ici par l'intermédiaire d'un personnage, "Black Mirror", l'épisode des "Simpson" où une I.A. à la voix de Pierce Brosnan en pince pour Marge ou même un très récent segment de "American Horror Stories" n'ont apparemment jamais existé... parmi tant d'autres), Blumhouse nous sort donc du placard la bonne vieille intelligence artificielle domestique qui se met à méchamment dérailler au point de vouloir éliminer ses propriétaires humains.

    Les écrans, le virtuel, tout ça, ce n'est pas bien ! Et, si vous ne l'aviez pas encore compris, le prologue de "L'I.A. du mal" va vous le rappeler avec la finesse d'un ragondin en rut avant de dresser ensuite les portraits de chaque membre de sa famille héroïne, tous heureux de remettre leurs vies respectives entre les mains de la si bienveillante AIA, une Alexa pimpée par des as du tunning informatique.
    Bien entendu, chacun a ici ses petits soucis clichés: la fébrilité du papa à assumer son rôle lui donne des envies adultérines, la maman a mis de côté ses rêves professionnels depuis trop longtemps, l'ado aînée naïve fait des nudes à la demande de son petit copain bien trop entreprenant pour être honnête (la sous-intrigue la plus involontairement drôle par son pouvoir de prévisibilité continue), l'ado pré-pubère n'a pas d'amis en dehors de son IPad et l'innocence du cadet ne peut que le faire devenir le parfait jouet de l'intelligence artificielle.
    Vous l'aurez deviné, si tous vont trouver en AIA une éphémère porte de sortie à leurs contrariétés, le revers de la pièce numérique va vite leur revenir en pleine poire quand, toute contente de faire le bonheur de ses nouveaux proches de chair, l'intelligence artificielle va commettre de plus en plus d'actes démesurés pour révéler la dangerosité de son emprise tentaculaire. Et pour une "créature" qui possède "intelligence" dans sa dénomination, on ne peut pas dire que AIA en fasse tellement preuve dans la quête des objectifs qu'elle énonce tant elle ne peut que susciter à un moment ou à un autre la méfiance de certains de ses petits protégés par ses agissements. La faute en revient principalement à un déroulement scénaristique des plus téléphonés, reprenant sans once d'originalité tous les poncifs qu'une telle intrigue peut déployer et ayant l'obligation de mettre en avance rapide le peu de virages mystérieux derrière son entité omnisciente du fait de la courte durée du long-métrage.
    Faisant explicitement de cette dernière l'équivalent d'un Cloud olympien (la maman lit de la mythologie grecque à son enfant au cas où vous ne compreniez pas le rapprochement), le film de Chris Weitz aura au moins le mérite d'offrir un dernier acte plus mouvementé en mettant la famille face à la réalité de la toute puissance AIA-esque mais n'échappera pas, en plus du caractère indécrottablement convenu de sa trame, à un climax absolument grotesque, s'essayant à un mini-twist auquel il est impossible d'accorder le moindre crédit.

    On sauvera tout de même de ce marasme -bien artificiel- les interprètes des parents, Katherine Waterston et John Cho, venus sans doute là pour des raisons alimentaires mais donnant par moment un peu d'âme à ce couple pris dans la tourmente et, surtout un épilogue qui a, pour une fois, la bonne idée de s'extraire de la formule "happy-end" à laquelle la plupart de ces insignifiantes productions Blumhouse nous ont habitué. Néanmoins, comme "L'I.A. du mal" fait partie du fond du panier le plus basique de ce que la firme d'épouvante Industrielle a à proposer, il vaut mieux qu'un bon vieux virus vienne nous débarrasser définitivement de AIA et de potentielles suites la mettant en scène
    Kévin VAN BOGHOUTE
    Kévin VAN BOGHOUTE

    3 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 août 2024
    Je ne comprend pas trop les notes assez punitif sur ce film. Certe ce n'est pas le chef-d'œuvre de l'année, mais il a beaucoup de potentiel. Je pense que la plupart des personnes qui sont allez voir cette séance s'attendaient à une véritable épouvantante avec des jumpscares de partout. Or la nous sommes bel et bien sur un film psychologique et angoissant.
    L'ia du mal met en avant l'intelligence artificielle qui prend encore plus de places que ce qu'elle prends deja dans notre société actuelle. Ce film montre les côtés néfastes que cela pourrait avoir en se produisant à l'avenir dans nos vies (un peu comme black mirror fait à la perfection).
    dadidu06
    dadidu06

    27 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 août 2024
    Le navet de l’année !
    Le vide abyssal !
    Aussitôt commencé qu’il a terminé peut être la seule chose positive du film : la durée 1h24
    Pas un sursaut , pas un frisson le seul frisson c’est celui de la gêne quand le supplice a pris fin .
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 351 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 septembre 2024
    La famille Curtis est sélectionnée pour accueillir au sein de leur foyer une toute nouvelle génération d’I.A. (Intelligence Artificielle). Cette dernière va apprendre les comportements de la famille et pouvoir anticiper tous leurs besoins, afin de s’assurer que rien, ni personne, ne vienne les gêner…

    On ne va pas se mentir, on savait pertinemment dans quelle galère on mettait les pieds. Les films d’horreur produits par Jason Blum étant ni fait ni à faire, des productions aseptisées et calibrées pour les ados et avec lesquelles il ne faut absolument rien attendre d'original. Derniers exemples en date, Five Nights at Freddy's (2023) qui était d’un ennui abyssal, Night Swim (2024) anémique et lénifiant ou encore Imaginary (2024) parfaitement inoffensif.

    Le film surfe sur l’actualité et l’engouement du grand public pour les nouvelles technologies, à travers l’I.A. domestique, il fallait donc s’attendre à voir débarquer un jour ou l’autre un film d’horreur là-dessus (bien que ce ne soit pas la première fois qu’Hollywood s’empare du sujet, sans parler de la télévision, par le passé au cinéma, il y avait déjà eu, entre autre, Generation Proteus - 1977).

    Nul besoin d’avoir vu le film pour commencer à avoir de sérieux doute sur le potentiel du film (rarement on aura vu un titre ”franciser” être aussi stupide. Il aurait été moins grotesque de conserver le titre original " AfrAId" (jeu de mot entre “effrayer” et “IA”) ou alors de faire comme nos cousins les québécois en le traduisant par “TerrifIAnte”, un titre qui reste moins ɔon que le nôtre).

    En dehors du titre qui pourrait être une broutille pour certains mais qui à titre personnel me pique les yeux, c’est du côté de la réalisation où c’est clairement la douche froide, le scénario est d’une rare ineptie et l’ensemble des protagonistes se retrouvent tous engoncés dans leurs propres clichés qui les caractérisent (rendant l’ensemble du film parfaitement prévisible) et ne comptez pas sur John Cho (Searching - Portée disparue - 2018) & Katherine Waterston (Alien : Covenant - 2017) pour sauver les meubles, on a bien compris qu’ils étaient là pour le chèque et rien d’autre. Enfin, concernant l’I.A, cette dernière ne s’appelle pas Siri ou Alexa mais AIA et ressemble à une vulgaire lampe contemporaine qui clignote (ils se sont pas foulé pour travailler le design).

    Bref, c’est anecdotique et insignifiant, comme bon nombre de productions estampillées BH.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    43 abonnés 1 334 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2024
    Un très bon film d'horreur intelligent sur la peur de l'intelligence artificielle et des nouvelles technologies.
    Jean N.
    Jean N.

    270 abonnés 611 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 août 2024
    Je suis allé voir ce film par défaut car à la lecture du titre "l'I.A du Mal "ça me laissait présager le nanar Blumhouse du mois !!!
    Alors que j'ai lu que le titre original était "AFRALD" ,(ça claque + non? ) Pourquoi rebaptiser ça en "IA du Mal " , titre ô combien ridicule?? A quand l'IA du Diable aussi, non ??
    Et bien au final , c'est pas si mauvaise pioche que ça !! C'est loin d'être la daube envisagée!
    Déjà le casting est propre :Katherine Waterson et John Cho (c'est des bons pour initier de l'empathie)sans oublier les seconds rôles de Havana Rose Liu et David Dastmalchian et les enfants du couple, auxquels il est laissé quelques petits moments de frayeur.
    Et puis le sujet arrive rapidement à créer l'angoisse(déjà la scène d'intro ....) !Car oui, le sujet des intelligences artificielles fait facilement peur, et L’I.A. du Mal met généreusement en scène ce qui peut passer par la tête du pinpin moyen lorsqu’il voit défiler sur ses écrans des visages numériques aux sourires déformés et des textes sans queue ni tête signés ChatGPT!
    Ça abuse un peu du jump scare? Oui! et c'est très bien !! Quand on visionne ces images torturés on sait que ça va envoyer à un moment ou à un autre et ....ça envoi !!
    Ce film va aussi mettre le doigt (un peu maladroitement ,hélas) sur le lien entre la progression fulgurante des IA et la montée (fulgurante elle aussi) de la haine et du harcèlement en ligne !! Et il est le 1er à le montrer clairement , rien que pour ça , bravo!
    Après , évidement c'est loin d'être un chef d'œuvre car sans doute à cours d'idée, le metteur en scène Chris Weitz , se voit obligé de de suppléer à la noirceur immatérielle de l'IA par ...(.je vous dirais pas par quoi sans spoiler 🤗🤗) mais ça redevient beaucoup plus basique ! Un conseil : évitez de visionner la BA , c'est mieux pour voir le film sans savoir.
    Du coup , le final est assez foutraque et raté!
    Vous l'aurez compris , ce film m'a pas déplu du tout alors que j'y allais avec un a priori plus que négatif.
    Je vous conseille d'aller voir ce lointain rejeton du HALL de 2001 l'Odyssée de ...
    Rachid H
    Rachid H

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2024
    Je trouve les critiques assez sévères avec ce film. Certes ce n’est pas un film d’épouvante-horreur comme la BA le présente ; plutôt une science-fiction. Quoique…
    Bien que les IA commencent à intégrer nos vies lentement mais sûrement, personne ne sait jusqu’où l’IA nous mènera-t-elle.
    J’ose espérer que ce film ne soit pas « déterré » quelques années plus tard avec son côté visionnaire à l’instar de « Her » (avec Joachim Phœnix) qui était sortie incognito en 2013 et adoubé par la critique aujourd’hui pour son côté « actualité » avec des interactions IA-humain, amitié ou plus si affinités.

    Alors oui ce IA du mal n’est pas le blockbuster de l’année, mais il a le mérite d’explorer des thèmes pas si ringards que ça (le Frankenstein qui échappe à tout contrôle). C’est plus subtil en abordant le côté affectif et utile que peut apporter l’IA dans (tout ?) les aspects de nos vies. spoiler: La fin du film pose la question (en filigrane) : l’IA est-elle bonne ou mauvaise pour l’humanité ? La question est vite tranchée par cette même IA : vous n’avez de toute façon pas d’autre choix que d’accepter notre supervision et notre bienveillance… pour le meilleur et pour le pire
    sunshine1
    sunshine1

    103 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 septembre 2024
    Pas envie de perdre mon énergie après avoir vu cette série z digne d'un téléfilm de M6 .,. Et au passage quelques scènes manquantes qui sont dans le trailer... Une vraie arnaque ce film
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    65 abonnés 256 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2024
    Tres mauvais. Ce n'est pas un film d'horreur. Rythme plat et histoire pas intéressante. Très déçu. Je ne conseille donc pas ce film. Quelque personne sont parti au fur et a mesure du film...
    Nikiwii
    Nikiwii

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2024
    Ce film est tellement nul que je pense que le scénario a été écrit par une intelligence artificielle.
    La séquence d'ouverture, générée par IA, est interessante et donne de faux espoirs... le récit s'écroule ensuite sous le poids d'un scénario incohérent. Qu'une IA prenne le pouvoir au sein d'une famillle soit, mais que les scènes de "vie" restent cohérentes ! Par exmple, la scène où le patron est remplacé est absurde ce qui rend le film baclé.
    Tout va trop vite ou trop lentement !
    Zola Ntondo
    Zola Ntondo

    21 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 août 2024
    L’I.A. du mal” se présente davantage comme un thriller psychologique qu’un film d’horreur à proprement parler. Réalisé par Chris Weitz et James Moran, ce long-métrage met en vedette John Cho, Katherine Waterston et Havana Rose Liu. L’histoire tourne autour d’une famille qui teste un assistant numérique révolutionnaire, lequel devient rapidement une menace pour eux. Il s’agit d’une production de Blumhouse Productions, et tous les codes sous-entendus par ce label seront respectés.
    J’ai trouvé les performances de John Cho et Katherine Waterston particulièrement sympathiques. Ils apportent une profondeur émotionnelle aux personnages qui rend l’intrigue encore plus captivante. Le film réussit à créer une atmosphère tendue et angoissante, rappelant des classiques comme “Terminator” et “2001, l’Odyssée de l’espace”. Cette ambiance m’a tenu en haleine du début à la fin. L’exploration des dangers de l’IA est très actuelle et bien traitée. J’ai apprécié la réflexion sur notre dépendance croissante à la technologie et les questions éthiques soulevées par le scénario.
    Cependant, j’ai trouvé l’intrigue un peu prévisible par moments, mais cela reste un point commun de pas mal de ce genre de films. Bien que le film soit intéressant, je pense qu’il aurait fait un excellent téléfilm. Le format cinématographique semble parfois un peu étiré pour l’histoire proposée. Toutefois, l’intrigue est bien menée, mais elle manque légèrement de profondeur et aurait méritée un meilleur développerement. Cependant, cela n’est pas un défaut majeur et n’affecte pas significativement l’appréciation globale du film.
    “L’I.A. du mal” est un film captivant qui mérite d’être vu, surtout pour ceux qui s’intéressent aux questions éthiques et aux dangers potentiels de l’intelligence artificielle. Cependant, ne vous attendez pas à des frissons constants, mais plutôt à une réflexion sur notre futur technologique. On retrouve ici une thématique similaire à celle de “M3GAN”, où l’intelligence artificielle devient une menace pour les humains. Les deux films explorent les dangers potentiels de la technologie avancée et soulèvent des questions sur les limites de notre contrôle sur ces créations.
    Avis à contre courant
    Avis à contre courant

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2024
    Décidément l’écurie BH est très prolifique depuis quelques années en matière de films fantastico-horifique pour les non-initiés au cinéma de genre. Très clairement on est loin de leur premiers métrages pour se dédier à un public plus large. Beaucoup de cinéphiles confirmés vont clairement être déçus pour ce tournant. Néanmoins, même si ce film aborde des thématiques anciennes comme IA qu’on avait dans « 2001 odyssée de l’espace », le manga « Ghost in the shell », « Terminator 2 (surtout) » et plus récemment « Megan, produit par la même maison », il les renouvelle avec les appareils que toute une petite famille utilise, et aborde des problématiques de notre société. Malgré certaines incohérences narratives pardonnables, et une fin laissant des questions sans réponses, le film est plaisant. Enfin un film qui ne se donne pas de prétentions justifiant une durée infinie. Le film est court et c’est très bien. Le traitement des personnages est également mieux mené que dans d’autres films: ils ne font pas d’actions debiles et on peut ressentir pour eux une certaines empathie. Bref, satisfaite je suis
    LE PASSIONNÉ
    LE PASSIONNÉ

    24 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2024
    superbe film psychologique angoissant qui nous fait réfléchir et nous effraye car nous en sommes pas loin du tout ! on se questionne tout de même encore a la fin de ce qui à amené ce prédateur machiavélique dans les familles... vraiment flippant. très bien !
    pascal camurati
    pascal camurati

    12 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2024
    Dans la lignée du genre voulant voguer sur la vague pseudo I.A qui est déjà en train de se casser ma gueule.

    Dans le temps les copies auraient été enterrées dans un désert.
    Scofield
    Scofield

    18 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    La SF d'aujourd'hui est la réalité de demain. Il y a bien une exagération volontaire afin de nous sensibiliser au thème de l'IA. Le réalisateur nous propose un film d'une durée limité qui est une nouvelle ébauche de ce qui nous attend. Notre monde ultra connecté va un jour connaitre un beau bazar informatique. Quand des aéroports ne fonctionnent pas à cause d'une mise à jour défectueuse d'un antivirus, ou quand une voiture de luxe est détruite dans une fourrière parce que l'algorithme l'a décidé, eh bien il y a de quoi s'inquiéter (2 exemples parmi des centaines). Ajoutez y des livres écrits par l'IA et des brouteurs qui font des "deep fakes", ça promet ... C'est le deux ou troisième film que je vois sur l'IA. Dans 5 ans, j'écrirais probablement "énième film" car le sujet fascine les gens et les réalisateurs.
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