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    Les Ombres persanes
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    55 critiques spectateurs

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    velocio
    velocio

    1 297 abonnés 3 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2023
    Le cinéma iranien est vraiment d'une richesse incroyable et il sait construire des films sur des scénarios vraiment surprenants ! Comme ce couple qui découvre que, dans la ville où ils vivent, Téhéran, existe un autre couple dont la femme et l'homme sont leurs sosies parfaits. Une fois ce point de départ accepté, le spectateur se demande ce que le réalisateur va en faire et, franchement, il ne va pas être déçu, même si certains rebondissements s'avèrent quelque peu "téléphonés" ! Tout cela fait avec une science consommée de l'ellipse et du hors champ. En passant, le film montre que deux homme peuvent se ressembler physiquement comme 2 gouttes d'eau et être moralement aux antipodes l'un de l'autre, que deux femmes peuvent se ressembler physiquement comme 2 gouttes d'eau et être très différentes en matière de pouvoir de séduction (C'est le choix du réalisateur d'avoir choisi les hommes en ce qui concerne le comportement et les femmes en ce qui concerne le pouvoir de séduction, je n'y peux rien !). Le football joue un rôle relativement important dans le film, avec des matchs qui passent à la télévision avec des commentaires en anglais, avec de grands portraits de deux ayatollahs qui dominent une tribune d'un grand stade de football. C'est, bien entendu, la même comédienne, Taraneh Alidoosti, qui interprète les 2 rôles féminins. C'est une comédienne qu'n a déjà vue dans de nombreux films iraniens, en particulier chez Asghar Farhadi. Une fois de plus, elle est excellente ! C'est bien entendu le même comédien, Navid Mohammadzadeh, qui interprète les 2 rôles masculins. Lui aussi, on commence à bien le connaître ("La loi de Téhéran", "Leila et ses frères"). Lui aussi est excellent.
    Yves G.
    Yves G.

    1 452 abonnés 3 476 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2023
    Farzaneh souffre d’une grave dépression. Depuis qu’elle est tombée enceinte, elle a dû interrompre son traitement, ce qui n’arrange rien à son état. Quand elle voit Jalal, son mari, entrer dans l’appartement d’une inconnue, alors qu’il lui avait dit s’absenter de Téhéran pour la journée, elle croit à une hallucination. Mais bientôt se révèle à elle l’incroyable vérité : Jalal a un sosie, il s’appelle Mohsen et il vit avec une femme, Bita, qui ressemble à Farzaneh comme deux gouttes d’eau.

    Le cinéma iranien est décidément enthousiasmant. Après "L’Odeur du vent" le mois dernier, Les Ombres persanes manquera de peu d’être mon film préféré ce mois-ci, juste derrière "Les Filles d’Olfa" et en attendant "Barbie" et "Oppenheimer" que je tarde à voir. Mon enthousiasme pour le cinéma iranien s’explique-t-il par l’envoûtement qu’exerce sur moi la musique du farsi ? ou par la qualité intrinsèque de films aussi âpres que La Loi de Téhéran, Nahid ou Une séparation ?

    "Les Ombres persanes" revisite le thème bien connu du Doppelgänger, ce double fantomatique et angoissant popularisé par la littérature fantastique allemande et utilisé par des écrivains aussi célèbres que Poe, Dostoïevski, Stevenson ("Dr Jekyll et Mr Hyde"), Wilde ("Dorian Gray") ou, plus près de nous Saramago (dont le roman "L’Autre comme moi" a fait l’objet en 2013 d’une adaptation que j’avais beaucoup aimée, "Enemy", avec Jake Gyllenhaal… que j’étais allé féliciter pour ce rôle lorsque je l’avais rencontré en juin 2015 à Paris… c’était ma minute people).

    "Les Ombres persanes" – dont le titre fait peut-être allusion à l’absence d’ombre du Doppelgänger – raconte l’histoire de deux doubles. C’est « le motif du double poussé au carré » pour citer Mathieu Macheret du Monde : Jalal/Mohsen + Farzaneh/Bita, quatre rôles interprétés par deux acteurs diablement talentueux (Taranesh Alidoosti réussit à se métamorphoser à un tel point que j’ai dû aller vérifier dans le casting que c’était bien la même actrice qui interprétait Farzaneh et Bita).

    Chaque sosie renvoie à son double et au double de son conjoint une image plus ou moins attirante. Bita, l’épouse de Mohsen, est une version en mieux de Farzaneh, plus maternelle, plus sexy, plus enjouée. En revanche, Mohsen est une version en pire de Jalal, un macho violent, un père mal aimant, un époux mal-aimant.

    J’aurais pensé que le film se construirait autour d’une énigme qui l’aurait tiré vers le fantastique : ces doubles sont-ils ou non le produit de l’esprit malade de Farzaneh, noyé dans les pluies diluviennes qui s’abattent sans discontinuer sur Téhéran ? J’aurais encore volontiers imaginé que le film pourrait alternativement se construire sur un suspense : les quatre protagonistes vont-ils découvrir l’existence de leur double et, si oui, quelles seront leurs réactions ? Mais ces arcs narratifs qui sont un temps utilisés, tournent court. Une fois ces hypothèques levées, "Les Ombres persanes" prend une autre direction encore plus stimulante que les deux précédentes : l’existence de ces doubles va profondément ébranler les deux couples que forment Farzaneh et Jalal d’une part, Bita et Mohsen d’autre part qui, par cette découverte, prennent conscience de leur désassortiment.

    Mais là encore, "Les Ombres persanes" m’a révélé une dernière surprise. À vingt minutes de la fin, j’en avais pronostiqué le dénouement, avec la morgue péremptoire qui me caractérise. Je m’étais trompé dans les grandes largeurs – même si je maintiens que la fin que j’avais imaginée aurait pu parfaitement s’écrire. [Je reconnais volontiers que ce dernier paragraphe, paralysé par la crainte du divulgâchage, est opaque]. Bref, pour le dire plus clairement, "Les Ombres persanes" ne se termine pas comme je l’avais prévu… et c’est très bien ainsi !
    PLR
    PLR

    462 abonnés 1 553 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juillet 2023
    En abordant une œuvre cinématographique iranienne, on sait d’avance que la censure n’est pas loin et que le scénariste va sans doute tenter de la contourner avec des images ou des propos subliminaux. Mais cette fois, le spectateur d’ici ne retrouvera pas vraiment ce qui fait habituellement la marque de fabrique du cinéma un peu social, à l’occasion politique, propre aux réalisateurs du pays qui s’exportent. Il n’y aura même pas ombre de religieux nulle part. Le scénario est répertorié drame. Les secrets de tournage nous disent que l’objectif était de faire à la fois un film fantastique, social et un thriller psychologique. Mais « sans sacrifier le côté philosophique et abstrait du propos » (sic). Peut-être trop abstrait finalement ? Ou du moins, le thème du double sosie (hommes et femmes), pas suffisamment exploré. L’hypothèse du clone n’aurait sans doute pas plu aux autorités ? On se laisse porter par le récit parce qu’on ne sait pas trop d’où on part et qu’on reste interrogatif, jusqu’au bout, sur ce vers quoi on nous amène. A la fin, pas sûr d’avoir tout compris ! Ça reste un film pour initiés et cinéphiles avertis, lesquels auront toujours tendance à encenser n’importe quoi venant d’un pays en souffrance selon nos critères. On observera ici que les images de la vie quotidienne sont celles de la plus parfaite classe moyenne sans soucis majeurs dans n’importe quel pays occidentalisé. Or c’est l’Iran !
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    371 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mai 2023
    Tourné à Téhéran, sous la pluie, ce film iranien au scénario original est bien réalisé. Le réalisateur a su tenir en haleine le spectateur tout au long de ce film jusqu’à la dernière séquence dans cette histoire pas commune de deux couples qui se ressemblent. Il nous fait découvrir aussi quelques aspects de la vie iranienne actuelle. Le scénario bien huilé fonctionne bien et les acteurs et actrices assurent bien et sont très convaincants dans ce film où l’amour et la manipulation se côtoient.

    Bernard CORIC
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2023
    Thriller iranien passionnant et très fort, les ombres persanes raconte l’histoire d’un couple découvrant avec stupéfaction un couple étant leurs parfaits clones. Une intrigue se met en place. C’est fort, puissant, haletant.
    Joce2012
    Joce2012

    203 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2023
    Très bon film, très bon scénario et suspens assuré, bonnes interprétations, un bon moment qui passe très vite et scotchant
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    339 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2023
    "Les Ombres Persanes" (Tafrigh) cloturait la 10ièmes édition du festival films d'Iran, une belle manifestation logée au Nouvel Odéon (Cinéma) et animée par des passionnés.

    Film hypnotique à plus d'un titre, il démontre encore une fois que le cinéma iranien cerné de toute part par la censure et un régime dictatorial arrive à faire germer de la créativité et des messages subliminaux.

    Dans le centre de Téhéran, Farzaneh, jeune monitrice d'auto-école, aperçoit son mari, Jalal, entrant dans l'appartement d'une femme. Lorsqu'elle le confronte, Jalal prétend qu'il avait quité la ville pour son travail. Il décide alors de visiter le bâtiment par lui-même. Là, il rencontre une femme qui est le portrait craché de Farzaneh. Elle s'appelle Bita. Abasourdis, les deux comparent les photos de famille : le mari de Bita ressemble également à Jalal...

    Passé le trouble et l’incompréhension va naître une histoire d’amour... et de manipulation.

    Taraneh Alidoosti, Navid Mohammadzadeh sont à tout point de vue fantastiques dans leur double rôle, la photographie est superbe et la fin d'une noirceur digne d'un roman noir.

    Sortie : Fin juillet 2023
    Djifunk
    Djifunk

    32 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2023
    Au final on y croit de moins en moins au fil de l intrigue pour une conclusion qu on finit par rapidement deviner, le tout en mode explication au cas où on ait du mal à insérer
    l environnement et cette belle langue apportent cependant un petit charme.
    Cinememories
    Cinememories

    479 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2023
    "Dédoubler sa personnalité est une chose, mais à l’échelle d’une société fondamentaliste, il est possible de générer un double que l’on convoite, autant qu’on le redoute. Les Ombres persanes interroge alors sur la façon dont ces alternatives peuvent pousser les Iraniens à renoncer à leur identité dans un thriller captivant et flirtant avec une aura fantastique."

    "Farzaneh (Taraneh Alidoosti) et Jalal (Navid Mohammadzadeh) forment un couple fragilisé par le temps. Il existe donc peu de place pour l’amour ou pour un peu de sensibilité dans leur monde. Ces derniers commencent alors à interroger la pertinence de leur existence face à un couple, physiquement identique et diamétralement opposé dans leur personnalité. On a beau s’y voir comme dans un miroir, le reflet de soi tétanise quand on réalise que nous sommes condamnés à nous multiplier selon les codes sociaux. Mani Haghighi met ainsi l’accent sur la Psychose qui s’empare de certains de ses protagonistes, qui entrevoient une possible échappatoire, tandis que les autres méditent encore sur ce qu’ils doivent préserver à tout prix."

    "Ces doublons existent donc bel et bien pour des raisons obscures, mais cela servira notamment à chambouler la passion qui sommeille dans le cœur de ces gens. Que l’on mène une vie aisée ou très modeste, le décor insiste sur le fossé culturel qui sépare les deux couples et qui se découvrent un magnétisme inattendu. D’un service rendu à un autre, la nature des relations change et les identités s’échangent. L’un d’entre eux s’infiltre soudainement dans la vie de l’autre et le quotidien de tous est bouleversé. Ce jeu de substitution tient une part importante dans Les Ombres persanes, car ces héros, bien qu’ils soient ordinaires et humains, semblent n’avoir que des regrets et un sentiment de culpabilité pour les aider à fonder la famille dont ils ont toujours rêvé."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    Regine C.C
    Regine C.C

    34 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2023
    Ce film qui met en scène 2 couples parfaitement sosie l'un de l'autre ne va pas dans le sens de la morphopsychologie. Si l'extérieur se ressemble, l'intérieur pas vraiment. Et c'est plutôt les liens psychiques qui sont mis ici en avant. D'où la naissance de 2 nouvelles histoires d'amour car il semble bien qu'il y ait eu un bug.....
    Le scénario est bien mené jusqu'à une fin tragique plus ou moins présentie.
    Supfan
    Supfan

    38 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2023
    Très bon film, l'intrigue ne faiblit pas et les personnages sont impeccablement mis en avant. A voir
    Jorik V
    Jorik V

    1 266 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2023
    Le thème du double est un sujet maintes fois vu sur les écrans de cinéma. La liste des œuvres qui traite de cela sont légion dans l’Histoire du cinématographe, que ce soit par la simple gémellité, par le biais du clone ou encore une projection de l’esprit, des multiples personnalités voire même une banale ressemblance. Et on pourra remarquer que la plupart le fond par le prisme du film de genre, que ce soit par celui du cinéma fantastique, celui du thriller à tendance psychologique ou non ou autre. L’investir sous l’angle purement réaliste comme ici dans « Les Ombres persanes » est plus rare. D’autant plus qu’il s’agit d’un film iranien, un cinéma qui ne braconne que très rarement dans ces terres plus bis du cinéma. Et ajoutons également qu’ici, ce sont le mari et la femme d’un couple qui fait la rencontre de leurs doubles exacts. Hormis Jordan Peele dans le perturbant et complexe film de genre « Us », personne n’avait osé. Et c’est peut-être là que le bât blesse : prendre un postulat pareil et le traiter avec sérieux et comme si cela était possible ne fonctionne qu’à moitié.

    En effet, quelle est la probabilité dans ce monde concret qui est le nôtre que deux couples soient des sosies parfaits l’un de l’autre et qui, en plus, habitent à côté? Cette probabilité est proche de zéro voire totalement inexistante. Cela crée dès le départ un détachement de la réalité qui ne joue pas en faveur de « Les Ombres persanes » et qui se répercute sur l’investissement du spectateur dans l’intrigue proposée ici. On regrette aussi que le déroulement du scénario ne soit pas plus ample, plus mystérieux et passionnant. Finalement (et contrairement à « Us » et ses développements plus dingues les uns que les autres), le script proposé ici ne casse pas quatre pattes à un canard. Une histoire de mutation et d’excuses qui irait bien mieux dans un thriller social à la Asghaf Farhasi que dans ce contexte de doppleganger. Pas inintéressante ni mal négociée pour autant, le scénario n’est juste pas vraiment en adéquation avec un tel sujet, surtout quand on connaît l’appétence de Mani Haghighi pour les histoires perchées comme le prouvent ses précédents longs-métrages, « Valley of Stars » ou « Pig ».

    Il n’empêche, « Les Ombres persanes » parvient tout de même à nous captiver notamment grâce au (double) jeu de ses deux acteurs principaux, Hasan Majuni et Leila Hatami. Dans des rôles dédoublés, ils ne sombrent pas dans un jeu forcé destiné à montrer que les doubles sont opposés mais dans une zone de gris et de nuances plus réaliste et justifiée comme le nécessitait le chemin pris par le film. Ce thriller pluvieux moins fou et tortueux que prévu nous capte donc tout de même, malgré le fait qu’il gâche un postulat incroyable en restant trop terre-à-terre. On est tout de même quelque peu bousculé, intrigué et dans un doute permanent. L’incroyable et vertigineux final, tout aussi improbable que le reste, nous prouve néanmoins que tout le film aurait pu être de cet acabit. Un thriller pour le moins maîtrisé et qui fait passer un relatif bon moment, nappé dans un mystère peut-être trop timide et quand bien même on en attendait totalement autre chose.

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    ferdinand75
    ferdinand75

    544 abonnés 3 842 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2023
    Un idée de départ à laquelle on a du mal à adhérer . Trop peu crédible, la rencontre d' un couple qui serait exactement votre double, on attend une part de mystère , puis un suspens qui ne vient jamais. Le scénario a du mal à tourner autour de cette équation.Une ébauche d'explication médicale fuse à blanc . Les 15 dernières minutes où l'auteur essaye un twist "policier " sont plus vivantes . Le film est très lent . Tout est tourné sous la pluie , avec des commentaires expliquant que le monde moderne ira vers la pluie . Ironie ! je n'ai pas compris. Réalisation banale avec beaucoup de plans serrés, pas de mouvement , pas de plans larges. Les acteurs sont bons et sauvent le film d'un grand ennui .
    mem94mem
    mem94mem

    116 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 juillet 2023
    Que d'eau ! Que d'eau ! Le spectateur reçoit de l'eau à l'écran du début à la fin. J'étais mouillé au bout de 10mn. Mani Haghighi est bien conscient des limites du postulat de base. Il surenchérit sans cesse ses scènes d'extérieur, par un déluge, mais n'est pas réalisateur coréen qui veut. Le film tourne en rond, empêtré dans la boue. Je n'ai jamais cru aux intentions de base des acteurs, tant la direction des acteurs est faible. Le scénario est tarabiscoté à souhait et laisse le spectateur sur le bord de la route. Mani Haghighi est un nom à se rappeler pour ne jamais aller voir ses films. Je dirai que le film sort en France, uniquement parce que c'est une réalisation franco-iranienne.
    islander29
    islander29

    851 abonnés 2 349 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2023
    Un film assez surprenant, il commence comme une comédie de mœurs et finit comme un pur polar. Je dois avouer que même si la première heure est plutôt calme, la seconde partie apporte son lot de surprises, notamment au niveau du scénario ? Cette histoire de sosie est originale, les acteurs sont impeccables, il suffit de deux pour en faire quatre .On est entre deux eaux, dans un no man’s land…dans un Téhéran où il pleut à cause du dérèglement climatique ??? En résumé si vous voulez être surpris, je conseille…..Le réalisateur Mani Haghighi pourrait vite nous surprendre.....
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